Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 37 films notés

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  • LA COMPLAINTE DU SENTIER (1955)
    Note : 16/20
    Premier film du metteur en scène qui fut déjà une révélation cannoise !
  • L'HOMME DE LONDRES (1943)
    Note : 15/20
    A redécouvrir d'urgence !
  • LES PLUS BELLES ESCROQUERIES DU MONDE (3) (1963)
    Note : 6/20
    Il suffit d'entendre Charles Denner, en improbable arabe philosopher à qui mieux mieux, pour reconnaître l'insupportable "gogodardisme".
  • L'AMBULANCE (1990)
    Note : 11/20
    Sujet fort bienvenu, particulièrement intéressant que le metteur en scène Larry Cohen, plus doué d'habitude, ne maîtrise pas entièrement.
  • LE MONSTRE DE MINUIT (1942)
    Note : 13/20
    Une série B tout à fait potable.
  • L'ELU (1981)
    Note : 14/20
    D'une grande sincérité, une oeuvre de plus, fort bien réalisée.
  • LA MORT N'ETAIT PAS AU RENDEZ-VOUS (1945)
    Note : 17/20
    Une intrigue subtile et fine, sur une trame scénaristique digne des meilleurs romans de Boileau et Narcejac, (pour ne citer qu'eux) auréolée d'une interprétation haut de gamme des principaux protagonistes et un accessit supplémentaire à l'immense Sydney Greenstreet, nanti d'une filmographie hélas bien trop réduite.
  • CHEB (1991)
    Note : 13/20
    Une oeuvre sobre et attachante !
  • LE RETOUR DU DOCTEUR X (1939)
    Note : 12/20
    Un rôle vraiment inhabituel pour Humphrey Bogart, dont la carrière ne fait alors qu'à peine débuter (et déjà son douzième film).
  • FEVER (1987)
    Note : 17/20
    Décidément, le cinéma australien ne se prive pas de nous étonner.
  • LE NOUVEAU TESTAMENT (1936)
    Note : 14/20
    Réjouissante petite comédie où fleurissent les bons mots.
  • LA TERREUR DES GLADIATEURS (1963)
    Note : 11/20
    Petit peplum qui ne démérite en rien, malgré ses habituels stéréotypes.
  • HALLOWEEN 4 (1988)
    Note : 5/20
    On s'ennuie ferme dans ce fastidieux film d'horreur sans âme et sans suspense et ce n'est pas l'excellente dernière scène, qui sauvera l'ensemble.
  • LE JOUEUR D'ÉCHECS (1960)
    Note : 10/20
    Malgré l'excellente interprétation du grand Curd Jürgens et un scénario de qualité, le film n'arrive jamais à acquérir la puissance évocatrice et la force humaniste de la fameuse nouvelle de Stefan Zweig. Echec et mat !
  • LE SEL DE LA TERRE (1953)
    Note : 19/20
    Une oeuvre essentielle, voire mythique, incontournable film contestataire, aux étonnants propos féministes plutôt novateurs pour l'époque, traversée de part en part d'un stupéfiant souffle revendicatif, rappelant le meilleur des films politiques muets soviétiques des fameuses années 20. Ce film unique dans la production de l'époque, interdit durant onze ans par la fièvre et la transe maccarthystes, reste un monument du Septième Art à privilégier dans toute vidéothèque idéale.
  • SCÉNES DE MÉNAGE DANS UN CENTRE COMMERCIAL (1991)
    Note : 12/20
    Uniquement pour la prestation de Woody Allen et Bette Midler.
  • 260 CHRONO (1986)
    Note : 8/20
    L'habituelle sortie dans les décors d'un tâcheron de la télévision.
  • LE JUSTICIER DE NEW YORK (1985)
    Sordide hymne à l'auto-défense dont Bronson s'est fait le chantre.
  • LE SOUS-MARIN DE L'APOCALYPSE (1961)
    Note : 13/20
    Film prenant de bout en bout !
  • LA FIANCEE DES TENEBRES (1944)
    Note : 13/20
    Une oeuvre à redécouvrir qui eut bien des problèmes de réalisation.
  • LE SANG DES BÊTES (1948)
    Note : 17/20
    Un documentaire insoutenable, d'une précision et d'une crudité quasi chirurgicales, cliniques, sur les différents moyens de mise à mort, dépeçages et autres traitements sanglants d'anonymes bovidés, équidés et autres ovins qui vont garnir et remplir nos affamés assiettes et palais. De quoi devenir définitivement végétarien.
  • VISAGES DE FEMMES (1985)
    Note : 14/20
    Visages de femmes, visages africains, une oeuvre bienvenue.
  • L'ODYSSEE DU SOUS-MARIN NERKA (1958)
    Note : 14/20
    Excellent suspense maritime !
  • BLACK EMMANUELLE EN ORIENT (1976)
    On attend avec effarement les autres tribulations de la "dame".
  • JEFF (1968)
    Note : 6/20
    D'un ennui royal et profond !
  • LES MILLE ET UNE NUITS (1961)
    Une oeuvre distrayante, amusante, qui mérite le détour.
  • SOLDIER'S STORY (1984)
    Note : 13/20
    Une oeuvre fort bienvenue !
  • LE SECRET DE CLARA (1988)
    Note : 11/20
    C'est gentil et mignon tout plein, mais s'oublie très rapidement.
  • OPERATION PARATROOPER (1988)
    Pas de psychologie inutile, de l'action et du suspense, sur fond de trafic d'armes, pour une oeuvre somme toute inintéressante.
  • LE CRI DU SORCIER (1978)
    Note : 16/20
    Une oeuvre étonnante et fascinante qui se regarde et s'appréhende comme un long cauchemar entre folle réalité et réelle folie, selon son regard et sa disponibilité.
  • DOUBLE REVANCHE (1988)
    Sans intérêt quelconque !
  • LES MILLE ET UNE NUITS À ISTANBUL (1966)
    Rien à retenir de ce pseudo pastiche des films d'espionnage / aventures.
  • NEW YORK COWBOY (1984)
    Une comédie sans ambition et fort poussive.
  • LES MILLE ET UNE NUITS (1973)
    Note : 17/20
    Erotisme libéré, dépaysement garanti, magie et plaisir constants pour une oeuvre majestueuse souffrant tout de même de sa longueur, d'une durée excessive.
  • LES MAINS DANS LES POCHES (1974)
    Terne évocation de la jeunesse de banlieue que ne sauvent décidemment ni la mise en scène, ni l'interprétation. Un ensemble finalement bien pauvre !
  • LES MILLE ET UNE NUITS ÉROTIQUES (1971)
    Un certain humour et une énorme dose de vulgarité facile.
  • L'ETALON ITALIEN (1970)
    Note : 10/20
    Pornographie gentiment soft qui sombre dans le délire psychédélique à plus d'un moment. Irrésistiblement drôle au second degré, un film bâclé, mais on a vu pire.
  • LES MILLE ET UNE NUITS (1990)
    Philippe de Broca n'est plus que l'ombre de lui-même.
  • LA COCCINELLE A MEXICO (1980)
    Naïveté et stéréotypes à la pelle, au démarrage comme à l'arrivée.
  • LES MILLE ET UNE NUITS (1942)
    Surtout pour l'excellente photo de Milton Krasner !
  • LE VISITEUR DU MUSEE (1989)
    Note : 11/20
    Quelques scènes étonnantes, un scénario de qualité et pourtant on finit par doucement s'ennuyer, au fil des minutes qui s'égrènent.
  • L'OREILLE (1969)
    Note : 15/20
    Réalisé en noir et blanc, au courant de la terrible année 1969, alors que le fameux et magnifique "printemps de Prague" s'annonce désormais moribond, avec l'intervention programmée des chars russes et le rouleau-compresseur de la "normalisation", cette oeuvre démystificatrice et sacrilège fut immédiatement interdite par la censure d'état diligentée par les sbires soviétiques, comme bien d'autres d'ailleurs, dans la foulée d'une mise au pas radicale. C'est avec un étonnant brio que Karel Kachyna traduit cette folle ambiance de défiance et de soupçon, caractéristique du climat politique de l'époque, distillée par les pantins pro-soviétiques en place et qui dans sa mascarade démentielle frise la folie surréaliste, sur fond d'oligarchie galopante.
  • ASSIS SUR MA BRANCHE JE SUIS BIEN (1989)
    Note : 14/20
    Le cinéma tchèque n'a cette fois-ci rien perdu de sa bienheureuse fraîcheur ni de sa folle spontanéité qui faisaient le bonheur et le ravissement des cinéphiles émerveillés de la production du merveilleux printemps de Prague.
  • TOTO LE HEROS (1991)
    Note : 14/20
    Sympathique premier film qui mêle adroitement imaginaire et réalité.
  • CEREMONIE SECRETE (1968)
    Note : 15/20
    Une oeuvre sombre et atypique, inclassable et bizarre.
  • HARDWARE (1990)
    Note : 12/20
    De l'action, des décors réussis, une série B fort prenante.
  • LES DERNIERES VACANCES (1948)
    Note : 16/20
    Remarquable de finesse et de sensibilité.
  • OPERA DO MALANDRO (1986)
    Note : 14/20
    Un subtil mélange de mélodrame, de film musical, de politique, mené tambour battant sur un rythme allègre et souvent humoristique.
  • JEAN DE LA LUNE (1930)
    Une "aimable" petite comédie, due à l'humour réjouissant de la célèbre pièce de Marcel Achard. On peut noter, que Michel Simon, interprète du personnage de Clo-Clo, a toujours revendiqué la réalisation du film.
  • LE TEMOIN DU TROISIEME JOUR (1965)
    Note : 6/20
    L'histoire est des plus banals et le suspense ne tient guère... la route. Même le jeu des acteurs transpire le quelconque, l'application, le forcé.