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LES MILLE ET UNE NUITS-1973-
Nationalités : Italie / France
Titre VO : Il fiore delle mille e una notte
Durée : 2h30
Date de sortie en France : 14/08/1974
Réalisation : Pier Paolo PASOLINI
Prise de vues : Giuseppe RUZZOLINI
Musique : Ennio MORRICONE
Produit par Alberto GRIMALDI
Distributeur : Artistes Associés
Visa d'exp. : 41120
Résumé
Une multitude de récits fort chatoyants qui s'emboitent à travers les picaresques aventures du jeune Nur ed Din, follement amoureux de la belle esclave Zunuvrrud, qu'on lui enlève et qu'il cherche désespérément à travers bien des contrées, celles d'Aziz l'Egoïste, envoûté par une femme et qui fait mourir d'amour la délicieuse Aziza, les moult tribulations amoureuses du prince Tagi et de la princesse Dunya.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 17/20
Erotisme libéré, dépaysement garanti, magie et plaisir constants pour une oeuvre majestueuse souffrant tout de même de sa longueur, d'une durée excessive.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Pour un amateur de fantastique comme je le suis, ce film ne pouvait que décevoir. En effet, Pasolini joue à fond la carte des sensations et de l'éros. L'amateur d'érotisme ne sera pas déçu, lui! Du sexe, on en voit partout et il y en a pour tous les gouts... Passons. Cette œuvre a le mérite de sortir des contes classiques, et veut mettre en exergue tout un univers de romance, de poésie et de sagesse. Laquelle fait bien défaut, car la plupart des héros, s'il faut les appeler ainsi, en sont totalement dépourvus, surtout les hommes, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur q.... Ce sont véritablement les femmes qui mènent entièrement la trame du film. La trame? Les trames, plutôt, car les récits gigognes sont emboîtés les uns dans les autres sans aucune pitié pour le spectateur. Le réalisateur veut de toute évidence que ce dernier se perde dans cette valse parfumée de paroles enivrantes et poétiques. Encore eut-il fallu le passionner pour l'histoire, et pour cela, rien ne vaut la magie... ou le sexe. Pasolini a préféré le deuxième et moi je préfère encore un bon vieux "Sinbad le marin"... (J'ai du choquer bien des puristes! J'attends leurs commentaires et leurs vues personnelles avec intérêt...)
Bibliographie