Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 41 films notés

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  • ET SATAN CONDUIT LE BAL (1962)
    Note : 11/20
    Un avatar de la "nouvelle vague" qui glose gentiment sur les rapports de couple, un peu ennuyeux, depasse, curieusement interessant.
  • DANCIN'THRU THE DARK (1990)
    Note : 15/20
    D'excellents acteurs (dont c'est souvent leur premier rôle au cinéma) dans une oeuvre pétillante, alerte et fort sympathique dans l'ensemble.
  • JE RETOURNE CHEZ MAMAN (1951)
    Note : 11/20
    On ne peut pas dire que le film transpire la réussite ni que l'interprétation brille par sa qualité. Ensemble plutôt laborieux, fort moral et complice d'un certain ennui.
  • LUCIEN BROUILLARD (1982)
    Note : 9/20
    D'un intérêt négligeable !
  • LES MAINS D'ORLAC (1935)
    Note : 16/20
    Un chef d'oeuvre du fantastique !
  • WARLOCK (1988)
    Note : 9/20
    D'insipides trucages désastreux !
  • LA CITE DE LA VIOLENCE (1970)
    Note : 15/20
    Splendide film noir transalpin qui mérite une urgente redécouverte.
  • GLAMOUR (1984)
    Exemple même du cinéma creux, sans intérêt, banal, médiocre à la viduité abyssale.
  • LA NUIT DES FOUS VIVANTS (1973)
    Note : 13/20
    Le metteur en scène George Romero veut nous refaire l'ébouriffant coup d'éclat et de maître de "La nuit des morts-vivants", mais s'étiole dans un succédané brouillon, remâchant sans cesse une thématique identique ou proche qui, deci, delà, présente tout de même quelques radicales et bienvenues fulgurances.
  • MONSTER IN THE CLOSET (1986)
    Note : 2/20
    Incroyable de niaiserie, une oeuvre d'une démentielle bêtise !
  • LA RUMEUR (1961)
    Note : 16/20
    Excellentes interprétations, pour un sujet encore osé, à l'époque !
  • ADIEUX LES ANGES (1986)
    Note : 6/20
    Navrante production "anti-cinéma" à forte connotation raciste qui joue sur la simplicité d'une certaine population autochtone noire, empreinte de radicales croyances magiques, pour faire rire "vaguement" le spectateur. Sur l'ensemble, peu de choses à retenir de cette pochade sans âme et sans intérêt.
  • VOUS AVEZ DIT DINGUES ? (1985)
    Note : 13/20
    Sur le mode délibérément humoristique et léger, une acerbe et tonique critique, quelquefois caustique, d'une certaine Amérique lourdement arriviste.
  • MIRACLE A L'ITALIENNE (1970)
    Premier long métrage de Manfredi partiellement autobiographique.
  • L'INSOUMISE (1938)
    Note : 13/20
    Du bon travail, fort académique, (trop) rondement mené.
  • LE CONVOI MAUDIT (1950)
    Western conventionnel qui est loin de valoir les autres réalisations du cinéaste.
  • DODES'CADEN (1970)
    Note : 19/20
    Des tableaux inoubliables qui touchent dans leurs propos à l'universel.
  • SIGNE LASSITER (1983)
    Oeuvre négligeable mais excellent soporifique pour les cinéphiles insomniaques.
  • UN HOMME DANS LA FOULE (1957)
    Note : 15/20
    Une oeuvre solide et dénonciatrice !
  • FALLING IN LOVE (1984)
    Un mélodrame fort pachydemique qui ne vaut le détour que pour l'excellent jeu d'acteur de Meryl Streep et De Niro.
  • TIRE-AU-FLANC 62 (1961)
    Note : 13/20
    Drôle et souvent décapant !
  • CAGLIOSTRO (1949)
    Film devant être tourné par Douglas Sirk avec George Sanders dans le rôle-titre.
  • LE MYSTERE SILKWOOD (1983)
    Note : 14/20
    D'après un fait divers authentique, une oeuvre dénonciatrice d'un danger potentiel largement sous-estimé qui vaut par l'excellente interprétation de Meryl Streep.
  • LA STORIA (1986)
    Note : 7/20
    Une réduction nuisible de l'oeuvre d'Elsa Morante qui incite à la lecture.
  • BLANCHE (1971)
    Note : 15/20
    La première impression, marquante et déterminante quant à l'appréciation
    de l'œuvre, nous force à saluer la splendide reconstitution d'époque, un scrupuleux respect dans les décors et la mise en scène, pour donner au cadre historique (la période du Moyen-Age, vers le 13e siècle) une indéniable authenticité fort recherchée par le cinéaste qui s'était personnellement investi dans la scénographie générale.
  • MANHATTAN (1979)
    Note : 17/20
    Du grand et du solide Woody Allen !
  • LE GRAND EMBOUTEILLAGE (1979)
    Note : 14/20
    Une oeuvre d'une noirceur et d'une désespérance totales !
  • LA TROISIEME PARTIE DE LA NUIT (1971)
    Note : 15/20
    Premier film de Zulawski où apparaît déjà une violence survoltée. Une narration "audacieuse" pour un film cauchemardesque impossible à oublier.
  • KRAMER CONTRE KRAMER (1979)
    Note : 8/20
    Véritable pâte molle, ce mélodrame racoleur et sans intérêt fut récompensé de cinq Oscars par un jury de plus en plus sénile, pourrait-on supposer.
  • LA FAMILLE HOMOLKA (1969)
    Note : 15/20
    Amertume et nostalgie, une oeuvre légère aux propos graves et pénétrants.
  • MOUCHETTE (1967)
    Note : 19/20
    Un pur chef-d'oeuvre du cinéma français, bouleversant à l'extrême, d'une brutale et limpide sobriété qui immortalisa sa fascinante actrice, Nadine Nortier, dans son lent effondrement existentiel, dont ce fut l'unique interprétation au cinéma.
  • RAGAZZI (1990)
    Note : 9/20
    Quelques rares bons moments d'un réel intérêt, dans un ensemble souvent ennuyeux, pour une réalisation bien prétentieuse.
  • LE PIÈGE INFERNAL (1977)
    Note : 16/20
    Une oeuvre puissante et solide.
  • CES GARÇONS QUI VENAIENT DU BRÉSIL (1978)
    Note : 11/20
    Dommage que l'originalité singulière du roman et de son adaptation ne soient pas à la hauteur de son traitement cinématographique.
  • LA FRACTURE DU MYOCARDE (1990)
    Note : 9/20
    Un film encensé à tort qui peut laisser parfaitement insensible !
  • LA DERIVE (1969)
    Note : 15/20
    Une oeuvre allégorique sur la notion de responsabilité, fort envoûtante.
  • LE SACRIFICE (1986)
    Note : 17/20
    Une oeuvre-testament, grave et désespérante qui magnifie l'humanisme jusqu'au sacrifice rédempteur, d'un metteur en scène essentiel.
  • HENRY PORTRAIT D'UN SERIAL KILLER (1986)
    Note : 17/20
    Une étude quasi clinique de la violence dans laquelle la psychologie n'a aucune place. Insoutenable de part son aspect documentaire, un film intelligent et prometteur.
  • LA PROIE POUR L'OMBRE (1961)
    Note : 10/20
    Drame psychologique et mondain qui laisse indifférent et dégage un terrible ennui.
  • CETTE SACRÉE GAMINE (1956)
    De faible intérêt, malgré Brigitte Bardot et la délicieuse Françoise Fabian.
  • TELS PÈRES TELLE FILLE (1990)
    Succès commercial oblige, on récidive, en pire, hélas.
  • LE MASQUE DE FER (1954)
    Note : 13/20
    Film d'aventures, de cape et d'épée, sans temps morts et même souvent prenant.
  • CHANTAGE (1929)
    Note : 15/20
    De l'excellent travail d'orfèvre !
  • CHARTRES (1923)
    Note : 14/20
    Un premier pas vers l'excellence.
  • LES NOUVELLES VIERGES (1928)
    Note : 11/20
    Rien à reprocher aux principaux acteurs du film qui interprètent avec conviction des rôles mondains et incertains, entre navrante futilité et pesant égotisme sociétal. Par contre, on est beaucoup plus exigeant et revendicatif quant à la monotonie même de la réalisation, se déroulant en grande partie en intérieur, pour une intrigue des plus banales, dans un milieu des plus insipides, agrémentée par une morne mise en scène.
  • BARTON FINK (1991)
    Note : 15/20
    Une oeuvre férocement jubilatoire !
  • LA ZONE (1928)
    Note : 15/20
    Critique sociale remarquable, d'un grand humanisme.
  • LES WEEK-ENDS DE NERON (1957)
    Péplum et parodie et, boum padaboum.
  • LE COURAGE DE LASSIE (1946)
    Note : 11/20
    Pas de quoi aboyer de contentement.
  • BUSINESS OBLIGE (1990)
    Note : 9/20
    Michael Caine se livre à son habituel numéro d'humour noir, mais les scénaristes pas plus que le metteur en scène ne sont à la hauteur.