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LES NOUVELLES VIERGES-1928-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Our dancing daughters
Durée : 1h26
Genre : COMÉDIE
Themes
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma américain -
Employé(e)s de maison
- cinéma américain -
Réalisation : Harry BEAUMONT
Scénario : Josephine LOVETT
Prise de vues : George BARNES
Direction Artistique : Cedric GIBBONS
Distributeur : M.G.M. .....
Résumé
Jeune fille gaie et fort vivante, Diana Medford, issue d'un milieu aisé, fréquente assidûment les soirées mondaines en tous genres. C'est à l'une d'elles, organisée par le huppé Yacht Club, qu'elle fait la connaissance du séduisant et richissime Ben Blaine dont elle tombe promptement amoureuse. Ce dernier, qui se sent lui aussi plein d'attirances affectives pour la demoiselle, ne reste toutefois pas indifférent au charme intensif que lui témoigne Ann "Annikins", une jeune femme immature et fausse qui, sous l'injonction discrète et tenace de sa mère, cherche avant tout à faire un mariage de fortune. Rapidement les deux "amies" vont se retrouver en étroite concurrence pour agripper le coeur vacillant du garçon plutôt indécis. Parallèlement, nous suivons les vicissitudes amoureuses du couple Béa/Norman qui après bien des hésitations et des questionnements, va finalement convoler en justes noces. En dernier ressort, se sera bien la sournoise Ann qui décrochera le marital pompon en épousant le naïf et novice Blaine. Heureusement que Dame Destinée, dans son incommensurable bonté saura remettre les coeurs et les pendules à l'heure, lors d'une soirée de départ organisée par Diana, en partance pour l'Europe, lorsqu'une stupide et mortelle chute dans les escaliers de l'odieuse Ann, offrira de chaleureuses perspectives, pour un avenir radieux, à Ben, désormais veuf mais toujours milliardaire, et son amoureuse Diana.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Rien à reprocher aux principaux acteurs du film qui interprètent avec conviction des rôles mondains et incertains, entre navrante futilité et pesant égotisme sociétal. Par contre, on est beaucoup plus exigeant et revendicatif quant à la monotonie même de la réalisation, se déroulant en grande partie en intérieur, pour une intrigue des plus banales, dans un milieu des plus insipides, agrémentée par une morne mise en scène.
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