Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 43 films notés

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  • LA ROUTE DE L'OUEST (1967)
    Du cent fois déjà vu, qui tourne rapidement à la saga monotone et ennuyeuse, tellement le scénario se cantonne dans une solide banalité ronronnante et inutile.
  • LA DAME SANS PASSEPORT (1950)
    Note : 14/20
    Un film sympathique, un metteur en scène à redécouvrir qui réalisa déjà l'année précédente l'étonnant "Gun Crazy" qui reste dans toute les mémoires.
  • LE ROUGE EST MIS (1957)
    Note : 14/20
    Bien sûr, Gabin se paye le super rôle du gangster au coeur tendre et à la fraternité indéfectible, mais les seconds rôles, tenus par des acteurs maintenant confirmés, ne sont pas moins typés et baroques. Une intrigue classique pour un film honnête qui est fort représentatif d'un certain cinéma français d'époque.
  • LA DAME DU LAC (1947)
    Note : 17/20
    Considéré comme un chef-d'oeuvre du cinéma noir américain, entièrement réalisé du point de "vue" de Marlowe en caméra subjective. A voir et à revoir absolument.
  • MAX ET LES FERRAILLEURS (1970)
    Note : 12/20
    Encore une production fort honnête, souvent plaisant qui, bien que de bon ton et de parfaite maîtrise apparente, annonce déjà le déclin de Claude Sautet.
  • LE RODEUR (1951)
    Note : 16/20
    Un film de Joseph Losey rarement projeté sur les écrans de l'Hexagone, qui, sur les thèmes de l'appartenance et de l'apparence sociales comme vecteur de la réussite, propose une intéressante oeuvre de qualité.
  • HEIDI (1952)
    Le décor étant planté, mettez beaucoup de sentiments, un peu d'injustice, une agréable frimousse et des souvenirs d'enfance remontant à la surface.
  • LE CAMBRIOLEUR (1957)
    Note : 16/20
    Adapté d'une oeuvre de l'incontournable David Goodis, ce puissant film "noir", première réalisation d'un metteur en scène plus à l'aise dans les productions TV, vaut surtout pour son excellente prise de vue doublée d'un montage fort original.
  • HECATE MAITRESSE DE LA NUIT (1982)
    Note : 9/20
    D'un lourd classicisme formel, sans aucun brin de folie dans l'écriture et le filmage alors que le scénario y incitait, une oeuvre lente, grave et souvent ennuyeuse...
    Nota : Hécate : divinité lunaire, infernale et marine, à triple forme.
  • LE FACTEUR SONNE TOUJOURS DEUX FOIS (1946)
    Note : 15/20
    Sur le thème de la passion fatale et mortelle menant deux êtres au crime sordide, Tay Garnett nous livre un excellent film "noir", souvent cité en référence, et qui retraduit fort bien l'atmosphère désespérée de la plupart des bouquins du romancier.
  • HANTISE (1944)
    Note : 19/20
    Rien de très folichon à première vue, ni de spécialement original et pourtant. Film inoubliable, construit avec une maîtrise totale, un sens aigu de la dramaturgie et une géniale prestation d'acteurs aux confins de la perfection. Morceau d'anthologie pour une vidéothèque idéale. A ne rater sous aucun prétexte !
  • RAMBO (1982)
    Note : 15/20
    Oeuvre excellente sur le traumatisme de l'Amérique face à la défaite contre les "ennemis vietnamiens" et ses inquiétantes conséquences sur la soldatesque.
  • HALLELUJAH (1929)
    Note : 16/20
    Classique du film musical, entièrement tourné avec des acteurs noirs.
  • PHOBIA (1980)
    Note : 9/20
    On comprend très mal ce qui a pu pousser John Huston à tourner ce pseudo thriller d'une incroyable lourdeur et dont les ficelles sont d'un inquiétant ridicule. Par respect pour le reste de son oeuvre, on oubliera ce triste échec d'un grand metteur en scène.
  • L'HOMME QUI RÉTRÉCIT (1957)
    Note : 16/20
    Encore un film à ne rater sous aucun prétexte. Des trucages fameux, un suspense constant et une incontestable originalité dus essentiellement au talent de Richard Matheson -relire l'excellent : "Je suis une légende", bien meilleur que ses adaptations cinématographiques- et au metteur en scène Jack Arnold qui reste un spécialiste du genre avec, dans sa filmographie, quelques fleurons inoubliables du genre.
  • FIREFOX L'ARME ABSOLUE (1982)
    Note : 6/20
    Un film d'action fort exigu qui table sur la présence de Clint Eastwood pour faire recettes et applaudissements. Bof, on ne plane vraiment pas.
  • DEUX DROLES D'OISEAUX (1981)
    Note : 15/20
    Un bon moment de détente, surprenant par l'évidente qualité des dialogues, d'un humour incontestable, un film qui mériterait vraiment une distribution dans l'hexagone.
  • LA FÉLINE (1981)
    Note : 8/20
    Une oeuvre fort décevante, comparée à son splendide "original" réalisé en 1942 par Jacques Tourneur qui, malgré la présence de Nastassja Kinski et le savoir-faire de Paul Schrader, n'arrive jamais à nous envoûter / inquiéter réellement.
  • L'EBREO FASCISTA (1980)
    Note : 13/20
    A travers l'évolution d'un couple, une réflexion sur cette période sombre de l'Italie, disséquant la bêtise, la naïveté et le manque de discernement d'une population qui se laissa entraîner par les évènements et les leurres.
  • E.T. L'EXTRA-TERRESTRE (1982)
    Note : 15/20
    Une oeuvre superbe qui allie le merveilleux avec la candeur, la douceur avec le suspense, dans une sympathique parabole tendre et rigoureuse sur le droit à la différence et la nécessaire compréhension entre les hommes, au-delà des clivages, des couleurs, des origines qui peuvent se côtoyer harmonieusement.
  • DEJA S'ENVOLE LA FLEUR MAIGRE (1960)
    Note : 17/20
    Une oeuvre maîtresse dans le cinéma documentaire belge !
  • DRESSÉ POUR TUER (1982)
    Note : 16/20
    Une oeuvre excellente, d'une remarquable intensité / véracité émotionnelles.
  • IL ETAIT UNE FOIS (1941)
    Note : 11/20
    Un film moyen dans l'oeuvre fascinante de George Cukor, malgré une composition remarquable de Joan Crawford enlaidie, puis rayonnante de beauté après une opération de chirurgie esthétique. Une mention spéciale au petit Richard Nichols.
  • LE DERNIER COMBAT (1982)
    Note : 15/20
    Second et presque "dernier" film réalisé par Luc Besson méritant de fort louables appréciations. On venait de découvrir un auteur à part entière bien vite décevant dans ses oeuvres ultérieures, devenu une vraie pompe à fric. Il est vrai qu'une excellente surprise nous vint récemment avec l'étonnant "Nikita", un vrai régal.
  • LES JOCONDES (1981)
    Film certes attirant mais aussi quelque peu raté, débordant de bonne volonté et truffé de notations justes et pertinentes, qui pèche pourtant par un sérieux manque de rigueur et de savoir-faire cinématographiques dans la maîtrise de son élaboration.
  • LES CADAVRES NE PORTENT PAS DE COSTARD (1982)
    Note : 15/20
    Un excellent "polar" parfaitement loufoque qui, avec une superbe originalité, intègre dans son récit une bonne dizaine d'extraits de classiques du cinéma policier américain. Le cinéphile averti se fera un rare plaisir de reconnaître (éventuellement) les illustres fragments qui parsèment le film.
  • BIANCA (1984)
    Note : 15/20
    Superbe radiographie amorale d'un être déphasé, obnubilé par les notions de Bien et de Morale, tuant par un débordant excès de pureté.
  • ANNIE (1982)
    Note : 15/20
    Une sympathique comédie musicale où les mômes tiennent la place essentielle dans cette fraîche distraction de qualité.
  • LE ROI DES IMPOSTEURS (1960)
    Note : 13/20
    Gentillette petite comédie bienvenue pour l'étonnante interprétation de Tony Curtis.
  • L'ANNEE DE TOUS LES DANGERS (1982)
    Note : 12/20
    Un hommage au dangereux métier de correspondant de presse en pays ou contrées en guerre, qui "héroïse" le personnage principal du film, remarquablement interprété par Mel Gibson. Pour notre part, on préfère tout de même l'oeuvre antérieure du metteur en scène, malgré la richesse d'écriture présente.
  • RUE BARBARE (1983)
    Film d'action et de violence orienté sur l'affrontement entre deux archétypes humains, trop facilement réductibles au Bien et au Mal, qui se regarde sans plaisir ni déplaisir. Relire plutôt le somptueux roman de Goodis dont est adapté le scénario.
  • LA CUREE (1966)
    Il ne se passe rien, sinon une exhibition de photos pseudo-érotiques dans un décor prétendu somptueux. Il ne reste peu de choses de l'oeuvre d'Emile Zola, que des images très "belles", filmées avec une certaine réussite.
  • PALACE (1985)
    Note : 8/20
    Distraction plaisante qui s'oublie vite !
  • BRAINSTORM (1983)
    Note : 15/20
    Second film de Douglas Trumbull, habituellement beaucoup plus connu pour son excellent travail sur les effets spéciaux, qui mérite amplement le fascinant détour.
  • LA RUE DE LA HONTE (1957)
    Note : 16/20
    Un excellent film social et humain du grand Mizoguchi dont ce fut hélas la dernière oeuvre. Tout en dénonçant avec âpreté et sans aucune concession le problème tragique de la prostitution, le film reste un somptueux hymne à la libération de la femme.
  • LA DIAGONALE DU FOU (1983)
    Note : 12/20
    Sans référer explicitement à des faits authentiques (le fameux duel Karpov / Kasparov) et malgré un anticommunisme primaire le film se regarde sans déplaisir grâce à une excellente interprétation générale.
  • LES QUATRE CHARLOTS MOUSQUETAIRES (1973)
    Une honte historique et cinématographique, version Hunebelle, d'une médiocrité affligeante qui frôle le degré zéro du comique et de l'humour.
  • LA FEMME FLAMBÉE (1983)
    Note : 8/20
    De belles images, une apparente profondeur / réflexion dans le propos, mais à bien regarder / analyser, un film creux, racoleur et dénué d'intérêt.
  • TENDRE VOYOU (1966)
    Portrait insignifiant et imbécile d'un "super-mâle" quelconque dans un film médiocre et quelconque, commis par un besogneux tâcheron du 7e Art.
  • LA FEMME PUBLIQUE (1984)
    Note : 17/20
    Une oeuvre étonnante dans sa turbulence chaotique, la richesse de ses thèmes de lecture et la rigueur de sa réalisation, dans la meilleure période créatrice d'un metteur en scène incontournable, jusqu'à la fin des années 1980.
  • LE SAMOURAÏ (1967)
    Note : 16/20
    Une oeuvre solide et parfaitement efficace, pour un des meilleurs rôles d'Alain Delon (chose rare) dans ce personnage typé d'implacable tueur solitaire qui succombe, impassible et prédestiné, à son inévitable fatum.
  • JAMAIS PLUS JAMAIS (1983)
    Note : 12/20
    Spectacle hautement divertissant avec le retour sur nos écrans du "vrai", du "seul", de "l'unique" Bond, l'ineffable Sean Connery, égal à lui-même, malgré le poids des années et l'évident essoufflement de la longue série. Distraction garantie.
  • MAYERLING (1967)
    Note : 10/20
    De l'eau de rose diluvienne, des sentiments en carton-pâte, de la guimauve en tonnes et le faste princier cher à nos respectables grands-mères, dans un film souvent insupportable, sans aucun intérêt général ou particulier.
  • LOCAL HERO (1983)
    Note : 13/20
    Nonchalant et sympathique !
  • TARZAN TROUVE UN FILS (1939)
    Note : 14/20
    Le quatrième film de Tarzan / Weissmuller.
  • LOOKER (1981)
    Note : 15/20
    Un film passé inaperçu, pourtant remarquable par l'originalité de son scénario, l'efficacité de sa réalisation et l'incroyable richesse sous-jacente de son propos.
  • TANDEM (1987)
    Note : 15/20
    Etonnant petit film d'un réalisateur habituellement sans inspiration, qui est un véritable voyage au pays de la solitude, entre désespoir et tendresse.
  • LES PREDATEURS (1983)
    Note : 5/20
    Un film fort esthétisant, jusqu'à l'épuisement quelquefois, qui peut vous laisser de marbre ou provoquer un mortel ennui. Pour notre part, on a fortement détesté !
  • L'HOMME DE LA RUE (1941)
    Note : 17/20
    Un chef-d'oeuvre de Capra doublé d'une étonnante prestation de Gary Cooper.
  • ASSOCIATION CRIMINELLE (1955)
    Note : 17/20
    Un somptueux chef-d'oeuvre du film noir américain, d'une violence étonnante, avec d'évidentes connotations (homo)sexuelles dans les motivations et les comportements des principaux protagonistes. A voir ou à revoir de toute urgence. Il est vrai que le réalisateur Joseph H. Lewis trône, en toute discrétion, chez les plus grands !