Gigolo plein de charme et d'à propos, Tony Maréchal se fait entretenir tour à tour par une dénomme "Mémère", puis la belle Muriel, elle-même aux petits soins d'un industriel du textile, ensuite la propre épouse du potentat de la filature et puis encore, une baronne teutonne, une certaine Mina Von Strasshofer.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Portrait insignifiant et imbécile d'un "super-mâle" quelconque dans un film médiocre et quelconque, commis par un besogneux tâcheron du 7e Art.