Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

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  • LE HAREM (1967)
    Note : 13/20
    Le metteur en scène Marco Ferreri use de son habituelle et bienvenue causticité et réussit une fable quelquefois mordante et plutôt réjouissante dans son ensemble.
  • DES MONSTRES ET DES HOMMES (1998)
    Note : 11/20
    Une photographie souvent fort étrange, couleur sépia, pour une histoire tout autant complexe et tortueuse, qui finalement n'arrive jamais vraiment à nous captiver.
  • CONTAGION 2009 (1996)
    Note : 10/20
    Bof ! Mais on a vu bien pire !
  • LES SANGUINAIRES (1997)
    Note : 15/20
    Laurent Cantet confirme ici le bien que l'on avait pu penser de ses premiers courts.
  • EYES WIDE SHUT (1999)
    Note : 17/20
    Dernier opus fascinant du réalisateur Stanley Kubrick qui se présente et s'impose comme une éminente évidence, glaciale et fascinante.
  • VENGEANCE DIABOLIQUE (1991)
    Note : 6/20
    Que c'est mauvais, stupide, indigeste et quelconque.
  • SUSPECT (1960)
    Note : 11/20
    Une jolie distribution mais la mise en scène ne dépasse malheureusement pas le stade d'un impersonnel académisme, ce qui est bien dommage.
  • THOMAS CROWN (1999)
    Note : 11/20
    Pas vraiment de quoi se pâmer d'aise ou de contentement, dans ce pâle remake du film réalisé par Norman Jewison, finalement sans aucune surprise notable.
  • CODE PANDORA (1998)
    Note : 10/20
    Pas de quoi être pulvérisé, dans ce film banal, mille fois vu et revu.
  • NONE SHALL ESCAPE (1944)
    Note : 14/20
    Achevé avant la signature de l'Armistice, le film annonce le futur procès de Nuremberg et dénonce avec force l'impensable brutalité nazie.
  • VOYAGES (1999)
    Note : 15/20
    Oeuvre bienvenue qui transpire le "documentaire", à l'interprétation remarquable en tous points, qui mérite pleinement notre considération.
  • VENDEMIAIRE (1919)
    Note : 17/20
    Présenté avec bonheur à la 32e édition du festival "Il Cinema Ritrovato" de Bologne (2018) lors d'une pertinente rétrospective consacrée à l'année 1918, cette œuvre de près de 150 minutes se veut un drame patriotique qui, malgré quelques lourdes outrances caricaturales, surtout dans la description de l'ennemi, comme monstrueusement brutal ou d'une singulière et lourde bêtise, traversée parfois de certaines grandiloquences risibles et boursoufflées, reste un étonnant classique du film muet abordant avec force et brio la douloureuse thématique du conflit de la Première Guerre Mondiale.
  • SALE NUIT (1997)
    Note : 13/20
    Un huis clos sympathique à la réalisation un peu rigide.
  • MATRIX (1999)
    Note : 15/20
    Une oeuvre intelligente, complexe et totalement maîtrisée, de deux jeunes cinéastes qui nous avaient déjà fortement séduits par leur étonnant film précédent.
  • WARNING (1997)
    Note : 9/20
    Rien de surprenant dans ce court bien moins drôle qu'il ne prétend l'être.
  • HAPPINESS (1998)
    Note : 17/20
    Une oeuvre méchante et courageuse qui étonne et détonne !
  • L'OPÉRATION DIABOLIQUE (1966)
    Note : 15/20
    Malgré un incompréhensible accueil fort mitigé au Festival de Cannes 1966, cette étonnante oeuvre de John Frankenheimer, qui suinte les craintes et les doutes de l'époque et lorgne en clin d'oeil du côté de Franz Kafka, a repris depuis de l'assurance et de l'estime dans l'appréciation cinéphilique qui se dégage et se propage vers une évidente réhabilitation critique et publique entièrement justifiée. D'une puissante noirceur autophage qui secrète et alimente sa propre pérennité, l'existence de cette société parallèle avec ses propres structures hiérarchiques et ses codes particuliers d'existence et de maintenance, plonge le film dans un maelstrom d'interrogations paranoïaques, voire liberticides qui ravit et perturbe durablement. Une étonnante production cinématographique que nous avions négligé lors de sa sortie dans l'hexagone en 1967 et que nous pûmes enfin visionnée au 42e Festival International du Film de La Rochelle (2014) avec la judicieuse présence du distributeur actuel.
  • LA MALEDICTION DE LA MOMIE (1998)
    Note : 7/20
    Dans quel cloaque s'est fourré le pauvre Christopher Lee, qui heureusement disparaît après cinq minutes d'écran, de cette œuvre vraiment lamentable.
  • MONTRÉAL VU PAR... (1991)
    Note : 11/20
    Un court métrage léger et bien ennuyeux, finalement !
  • LA MALADIE DE SACHS (1999)
    Note : 16/20
    La "maladie" de la compassion, une affection dont tout le monde devrait être atteint, dans une oeuvre étonnante d'humanisme et de qualités.
  • LA LÉGENDE DE LA MOMIE (1997)
    Note : 4/20
    Insipide, sans moyens, stupide et d'un ennui colossale à se momifier.
  • INITIAL E. (1998)
    Note : 13/20
    Attachant portrait de femme, pour un film qui témoigne de jolies qualités d'écriture.
  • LES AMANTS CRIMINELS (1999)
    Note : 9/20
    La seconde moitié du film sombre dans le risible et l'allégorie stupide.
  • VIIMEISELLA RAJALLA (1993)
    Note : 9/20
    Film sans grand intérêt à la mode "Mad Max" qui déçoit beaucoup d'un réalisateur déjà plus inspiré, qui de film en film s'étiole lamentablement.
  • UN DIA PERFECTO (1998)
    Note : 11/20
    Honnête court métrage fantastique.
  • DEMON HOUSE (1997)
    Note : 7/20
    Navrant de bout en bout, hormis quelques rares trucages réussis.
  • PAM KUSO KAR. BRISER LES POTERIES DE PAM (1975)
    Note : 12/20
    En hommage au disparu, sur fond de pas cadencés qui mènent à la transe, un rituel ancestral difficile à intégrer et à cerner avec notre mentalité occidentale.
  • FATZ AB LOS FATZ (1997)
    Note : 9/20
    N'est pas Kafka qui veut !
  • LE 13ÈME GUERRIER (1999)
    Note : 13/20
    Excellentes scènes de bravoure et de bataille pour un ensemble correct.
  • L'ÉVADE DU CAMP 1 (1957)
    Note : 14/20
    Roy Ward Baker mène comme à l'habitude son ouvrage avec une belle assurance. Le film se regarde avec intérêt, même s'il manque quelque fois d'énergie ..... Plaisant sans être indispensable !
  • INSTINCT (1999)
    Note : 14/20
    Excellente performance d'acteur du solide Anthony Hopkins décidément, de film en film, acteur incontournable qui, comme un bon vin de garde, se bonifie avec l'âge.
  • LE SIGNE DU COBRA (1944)
    Note : 8/20
    Consternant carton-pâte et lourdes fadaises, d'une affligeante stupidité scénaristique, conçu par un Robert Siodmak en perdition, dont on ne retiendra que l'étonnante danse ophidienne de Maria Montez, dans un double rôle.
  • LA MÈRE (1926)
    Note : 19/20
    Un incontournable classique du Septième Art.
  • PLUS ON EST DE FOUS (1943)
    Note : 10/20
    George Stevens n'est ni Frank Capra ni Ernst Lubitsch et la comédie a bien du mal à prendre un sympathique envol. Les gags sont mis en scène sans conviction et l'intrigue sentimentale ne réserve guère de surprises. Un ensemble qui manque hélas cruellement de fantaisie et d'inventivité cinématographiques.
  • LE VAMPIRE A SOIF (1967)
    Note : 12/20
    Dommage que les trucages soient nuls et tellement ratés !
  • TREE IN A TEST TUBE (1943)
    Note : 6/20
    Ennuyeux et fade !
  • CASSANDRA (1986)
    Note : 10/20
    Le metteur en scène Colin Egglestone nous avait beaucoup séduit, par le passé, avec son excellent film "Long weekend", ici il nous déçoit notablement.
  • MONTRÉAL VU PAR... (1991)
    Note : 13/20
    C'est plutôt fort adroit, mêlant vision historique, superpositions temporelles et un humour certain, par un cinéaste plus connu pour ses documentaires.
  • LANDAMMANN STAUFFACHER (1941)
    Note : 15/20
    Une œuvre peu appréciée par les belligérants de l'Axe qui voyaient d'un fort mauvais œil cette mise en valeur de l'opposition héroïque contre l'hégémonie oppressive, symbolisée par un acteur suisse exceptionnel, l'imposant Heinrich Gretler dont la présence illumine et transcende l'œuvre avec force et conviction.
  • BLADE (1998)
    Note : 12/20
    Quelques bonnes scènes intéressantes, comme celle de l'ouverture, pour un ensemble, sans surprises que l'on oubliera finalement de toute évidence.
  • THAT CERTAIN THING (1928)
    Note : 15/20
    Aimable petite comédie muette, où se profile déjà l'obstinée et récurrente figure paternelle ankylosée dans ses certitudes et ses vérités, dont nous retiendrons surtout l'hilarante séquence finale de la confrontation entre les trois principaux protagonistes dans un succulent rapport de force subtilement biaisé.
  • LA VOIX DU COEUR (1952)
    Note : 13/20
    Scénario habile servi par la solide réalisation de Joseph Pevney plutôt en forme.
  • GLUTORS (1992)
    Note : 8/20
    Banale et stupide resucée de "L'invasion des profanateurs de sépultures" qui frise souvent le ridicule.
  • LES PARTISANS (1942)
    Note : 14/20
    Une oeuvre entièrement réalisée et produite durant la Seconde Guerre Mondiale, qui dénonce avec un certain brio incontestable, le comportement haineux des troupes nazies dans leur brutale annexion du territoire russe. Quant au réalisateur, fidèle à sa récursive thématique, une lutte et une vigilance constantes contre les traîtres et les espions, il nous brosse un pertinent portrait de l'élément pernicieux, de la menace suprême, du loup dans la bergerie, sous les apparences d'un brave et courageux (faux) résistant qui risque d'anéantir toute l'organisation en lutte.
  • L'UNIQUE SURVIVANTE (1982)
    Note : 11/20
    On sent bien sûr, l'influence du film de Romero ("La nuits des morts-vivants") mais l'ensemble manque tout de même de finition et de percutant.
  • COUVRE-FEU (1998)
    Note : 11/20
    Un réalisateur moyen pour une œuvre à peine acceptable.
  • MAUVAISES FREQUENTATIONS (1999)
    Note : 11/20
    Malgré des acteurs adolescents fort sympathiques, investis dans leurs rôles, le film tourne en rond et flirte béatement avec l'incongru.
  • LA MAISON DE LA 92E RUE (1945)
    Note : 15/20
    Inspirée d'après des faits d'espionnage authentiques et poussant la véracité des propos jusqu'à faire jouer quelques véritables agents du FBI, axant la réalisation sur un filmage quasi documentaire des agissements et activités quotidiennes liées à la lutte contre l'éventualité d'une "Cinquième Colonne" sur le territoire yankee, cette efficace production américaine, menée avec un brio certain et une maîtrise constante, devient finalement une importune apologie de l'efficacité des services secrets des States, inconditionnelle et partisane, comme l'exigent souvent les stratèges de la géopolitique.
  • SLEEPSTALKER (1995)
    Note : 9/20
    Une idée originale (celle du "marchand de sable" de notre enfance) dans un ensemble raté, mal géré.
  • WHAT'S A NICE GIRL LIKE YOU DOING IN A PLACE LIKE THIS ? (1963)
    Note : 11/20
    Premiers petits pas dans la mise en scène du jeune Martin Scorsese qui allait devenir un des cinéastes les plus marquants de sa génération. Historique !
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
LA MÈRE (1926) 19
HAPPINESS (1998) 17
EYES WIDE SHUT (1999) 17
VENDEMIAIRE (1919) 17
LA MALADIE DE SACHS (1999) 16
LES SANGUINAIRES (1997) 15
LA MAISON DE LA 92E RUE (1945) 15
VOYAGES (1999) 15
MATRIX (1999) 15
L'OPÉRATION DIABOLIQUE (1966) 15
LANDAMMANN STAUFFACHER (1941) 15
THAT CERTAIN THING (1928) 15
NONE SHALL ESCAPE (1944) 14
L'ÉVADE DU CAMP 1 (1957) 14
LES PARTISANS (1942) 14
INSTINCT (1999) 14
LE HAREM (1967) 13
SALE NUIT (1997) 13
INITIAL E. (1998) 13
MONTRÉAL VU PAR... (1991) 13
LA VOIX DU COEUR (1952) 13
LE 13ÈME GUERRIER (1999) 13
BLADE (1998) 12
LE VAMPIRE A SOIF (1967) 12
PAM KUSO KAR. BRISER LES POTERIES DE PAM (1975) 12
SUSPECT (1960) 11
MONTRÉAL VU PAR... (1991) 11
UN DIA PERFECTO (1998) 11
COUVRE-FEU (1998) 11
WHAT'S A NICE GIRL LIKE YOU DOING IN A PLACE LIKE THIS ? (1963) 11
DES MONSTRES ET DES HOMMES (1998) 11
THOMAS CROWN (1999) 11
L'UNIQUE SURVIVANTE (1982) 11
MAUVAISES FREQUENTATIONS (1999) 11
PLUS ON EST DE FOUS (1943) 10
CASSANDRA (1986) 10
CONTAGION 2009 (1996) 10
CODE PANDORA (1998) 10
FATZ AB LOS FATZ (1997) 9
LES AMANTS CRIMINELS (1999) 9
SLEEPSTALKER (1995) 9
WARNING (1997) 9
VIIMEISELLA RAJALLA (1993) 9
LE SIGNE DU COBRA (1944) 8
GLUTORS (1992) 8
DEMON HOUSE (1997) 7
LA MALEDICTION DE LA MOMIE (1998) 7
TREE IN A TEST TUBE (1943) 6
VENGEANCE DIABOLIQUE (1991) 6
LA LÉGENDE DE LA MOMIE (1997) 4