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LES PARTISANS-1942-
Nationalité :
Union Soviétique255
Titre VO : Sekretar Raikoma
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 22/06/1945
Réalisation
:
Ivan PYRIEV
Scénario
:
Iosif PRUT
Prise de vues
:
Peter PAVLOUSEK
Effets spéciaux
:
Alexandre PTOUCHKO
Distribution
Distributeur : UFPC
Visa d'exp. : 1289
Résumé
1941. Les combats font rage pour tenter d'arrêter la progression des puissantes divisions allemandes. La plupart des villageois sont contraints de quitter leurs maisons, face à l'intensité des bombardements et les multiples incendies qui embrasent la cité. Devant l'avancée des troupes adverses, le responsable du Comité local ordonne la destruction de l'usine d'alimentation électrique et la mise en place d'une systématique politique de la terre brûlée. Après la mort d'un soldat ennemi, abattu en voulant planter le drapeau nazi sur un bâtiment, les représailles allemandes se généralisent, exécutions et pendaisons en masse affichent une violente barbarie quotidienne. Pourtant la réaction soviétique ne se fait pas attendre, les partisans délivrent un village de la pression ennemie, alors qu'une escouade teutonne tentait d'embarquer vivres, graines, fruits et nourritures diverses, attaquant de même un petit convoi et délivrant quelques prisonniers deci, delà lors de perpétuels harcèlements efficaces et dévastateurs. La menace la plus sérieuse pour la résistance soviétique viendra du lieutenant allemand Hermann Albrecht qui a pu intégrer sous le nom d'Orlov, le fameux camp des partisans dissimulé dans les accueillants sous-bois d'une vaste étendue sylvestre. Gagnant la confiance de Stepan Kocet, le responsable de la résistance locale et l'affection de la jolie Natascha, assignée aux communications en morse, ce dernier sera heureusement piégé et démasqué lors d'une importante réunion secrète des principaux chefs de la région, dans une vieille église abandonnée.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Une oeuvre entièrement réalisée et produite durant la Seconde Guerre Mondiale, qui dénonce avec un certain brio incontestable, le comportement haineux des troupes nazies dans leur brutale annexion du territoire russe. Quant au réalisateur, fidèle à sa récursive thématique, une lutte et une vigilance constantes contre les traîtres et les espions, il nous brosse un pertinent portrait de l'élément pernicieux, de la menace suprême, du loup dans la bergerie, sous les apparences d'un brave et courageux (faux) résistant qui risque d'anéantir toute l'organisation en lutte.