Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 34 films notés

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  • HISTOIRE DU CAPORAL (1983)
    Un sujet fort intéressant, développé sur un scénario bienvenu, mais hélas malmené pour une fin décevante, trop attendue, hautement prévisible.
  • FORCE MAJEURE (1988)
    Note : 13/20
    Une oeuvre acceptable où l'on retient la qualité de l'interprétation.
  • LE BARON FANTÔME (1942)
    Note : 14/20
    Oeuvre étrange et poétique, entre rêves, envoûtements et tendresse.
  • VOYAGEUR MALGRÉ LUI (1988)
    Note : 11/20
    Une oeuvre sympathique, mais qui manque de punch, de caractère et de mordant.
  • AMERICAN NINJA 3 (1989)
    Tout commentaire serait superflu !
  • L'HERITIERE (1949)
    Note : 17/20
    Une superbe et magistrale présence d'Olivia de Havilland à la remarquable et puissante interprétation, pour une œuvre de grande qualité.
  • BRULANT SECRET (1988)
    Note : 16/20
    D'une grâce et d'une délicatesse infinies !
  • MAXIMUM OVERDRIVE (1986)
    Note : 11/20
    Une première demi-heure excellente, rapide, percutante, mais ensuite l'histoire s'effiloche lamentablement, pour notre plus grand désappointement.
  • LE GRAND DEFI (1987)
    Note : 14/20
    Excellentes interpretations des principaux protagonistes pour un sujet ideal du cinema americain : le depassement et la reconnaissance finale.
  • YANKS (1979)
    Une histoire d'apparence fort banale, filmée avec doigté et conviction, talent et sensibilité, par un réalisateur à suivre, méritant notre attention.
  • L'OR DU HOLLANDAIS (1958)
    Intéressante oeuvre d'un metteur en scène souvent sous-estimé, qui mérite une redécouverte des plus urgentes. Excellentes interprétations et dramaturgie efficace.
  • LES DUELLISTES (1977)
    Note : 12/20
    Si la mise en scène est parfois un peu appuyée, le scénario qui dénonce l'absurdité nécessaire de cet affrontement interminable ne manque pas de profondeur. On a le droit de préférer ce film aux oeuvres suivantes (beaucoup plus clinquantes) de son auteur.
  • KARATE KID 3 (1989)
    Note : 7/20
    John G. Avildsen, réalisateur de "Rocky" et des deux premiers "Karate Kid", se contente ici d'exploiter une recette éprouvée. Mais le scénario souffre d'un réel manque d'originalité. Restent, bien entendu, les scènes de combat parfaitement réglées par Pat E. Johnson et la présence malicieuse de Noriyuki "Pat" Morita.
  • DOUX AMER (1987)
    Dieu, quel film prétentieux et ennuyeux, véhiculant des monceaux de clichés, avec une Véronique Jannot, irritante au possible.
  • CALENDRIER MEURTRIER (1988)
    Note : 9/20
    A retenir que la structure du scénario des différents meurtres.
  • APRES LA GUERRE (1989)
    Note : 11/20
    Dommage que le film s'enlise dans un pathos larmoyant, à l'humanisme pachydermique et forcé qui dévalorise l'ensemble.
  • FOXTROT (1976)
    Note : 8/20
    Une terrible rature du grand réalisateur mexicain !
  • LE TRAITRE (1951)
    Note : 15/20
    Oeuvre solide qui permet de revoir certains seconds rôles du cinéma allemand.
  • LE JARDINIER D'ARGENTEUIL (1966)
    Pas vraiment de quoi applaudir dans cette oeuvre pâlotte et sans intérêt.
  • NE TIREZ PAS SUR LE DENTISTE (1979)
    Quelques gags bienvenus ne suffisent pas à sauver le film d'un certain ennui.
  • LA FILLE DE L'EAU (1924)
    Note : 13/20
    Une étonnante scène de rêve !
  • LE VENT (1927)
    Note : 19/20
    Dernier film américain du grand metteur en scène suédois qui reste une oeuvre essentielle de l'histoire du cinéma à placer dans une vidéothèque idéale.
  • LA BELLE NIVERNAISE (1923)
    Note : 16/20
    Une oeuvre rarement projetée qui mérite une urgente redécouverte.
  • ENFER MECANIQUE (1977)
    Note : 8/20
    On pense bien sûr au film de Spielberg, "Duel" hélas, on est loin de cette réussite.
  • LES AMANTS DE BRASMORT (1950)
    Une nostalgique étude des milieux de mariniers, à l'ambiance fort réaliste doublée d'une tendre et mélancolique histoire d'amour.
  • J'AI ÉPOUSÉ UNE EXTRA-TERRESTRE (1988)
    Note : 13/20
    Petite comédie souvent drôle qui rappelle de temps en temps Frank Capra (en mineur) ce qui en plus n'est pas la moindre de ses qualités.
  • LES BATELIERS DE LA VOLGA (1958)
    Amours, aventures, action.
  • LA MOUCHE 2 (1989)
    Note : 14/20
    D'excellents trucages, en ce qui concerne la monstrueuse entité et un superbe dernier quart d'heure, pour une sympathique prolongation du film de Cronenberg.
  • LA LIGNE GENERALE (1928)
    Note : 16/20
    Encore un chef-d'oeuvre du cinéma soviétique muet, malgré un militantisme lourdingue, entre propagande manichéenne et démonstration éléphantesque.
  • LES TURBANS ROUGES (1965)
    Film d'aventures anglais qui ne brille ni par la subtilité de son scénario, ni par le faste exotique de sa plate réalisation, par un cinéaste plus à l'aise dans le fantastique.
  • LE CLAN DES MAC MASTERS (1970)
    Note : 13/20
    Une intéressante diatribe antiraciste.
  • FAMILY VIEWING (1987)
    Note : 18/20
    Fascinante réflexion sur l'emprise de l'image et son impact sur la communication.
  • LE PETIT GONDOLIER (1963)
    Note : 6/20
    D'un manichéisme vomitif, d'une bêtise étouffante !
  • LES YEUX DU DÉSIR (1984)
    Note : 14/20
    Vision de nuit de la ville de Hambourg, regard sur un monde interlope, coups d'oeil réaliste sur le voyeurisme et l'exhibitionnisme, ce film référentiel au dernier Mabuse de l'éminent Fritz Lang se joue dans une ambiance sombre, proche du polar nocturne, d'un certain romantisme noir souvent bienvenu.
  • MATA-HARI AGENT H-21 (1964)
    Note : 11/20
    Uniquement pour retrouver Jeanne Moreau !
  • THE LAST OF ENGLAND (1987)
    Note : 14/20
    Du cinéma insolent, enragé, brut qui n'épargne pas son spectateur. Le ton est personnel et le résultat de ces collages force l'admiration. Excellent, étourdissant.
  • UNE HISTOIRE D'AMOUR (1969)
    Rien à dire ou à commenter pour cette œuvre pseudo-érotique médiocre qui utilise le biais de la tentation facile pour appâter le spectateur niais et goguenard.
  • EMBRASSE-MOI (1988)
    Une oeuvre émouvante et sensible, d'un intérêt certain.
  • SANS FAMILLE (1957)
    Note : 13/20
    4e adaptation d'un mélodrame qui fit copieusement pleurer dans les chaumières.
  • VIOLETTES IMPERIALES (1952)
    Entre opérette et historiette, une oeuvre guère géniale qui permet de retrouver, toutefois, le brave et séduisant Luis Mariano, abonné à ce genre de bluette à la série.
  • DÉSIR MEURTRIER (1964)
    Note : 15/20
    Une excellente photographie "noir et blanc", une réalisation influencée par l'expressionnisme, superbe et puissante, pour une œuvre seulement disponible et distribuée dans l'hexagone vingt-cinq années après sa réalisation.
  • EDUCATION ANGLAISE (1982)
    Un peu de cul, un peu d'antisémitisme, du faux mélodrame, pour un résultat éminemment détestable.
  • LES AVENTURES DE TOM SAWYER (1938)
    Note : 11/20
    Distraction familiale quelque peu secondaire où le motif animant les principaux personnages reste plutôt flou et vague. Couleurs légèrement trop sombres.
  • LES PIRATES DU METRO (1974)
    Note : 14/20
    Piraterie moderne, spectacle mené de main de maître, malgré un final des plus conventionnels.
  • QUAND LA VILLE DORT (1950)
    Note : 17/20
    Indéfectible classique du film noir yankee, déjà adapté trois fois au cinéma qui fut le premier film colorisé à être projeté sur une chaîne TV française (la 5) le 6 août 1989.
  • À NOUS LA VICTOIRE (1980)
    Certainement un des films les plus inintéressants et les plus insipides du grand metteur en scène John Huston, avec la même année le tout aussi médiocre "Phobia", qui a conçu là une oeuvre strictement alimentaire.
  • BLACK JACK (1979)
    Note : 16/20
    Une oeuvre superbe, d'une étonnante sensibilité, magnifiquement reconstituée.
  • LES GUERRIERS DE L'ENFER (1977)
    Note : 16/20
    Un étonnant thriller d'une rigueur et d'une construction exceptionnelles.
  • MARQUIS (1988)
    Note : 14/20
    Une oeuvre bizarre, irréelle et pourtant puissamment présente, où tous les personnages portent des masques d'animaux et qui faillit avoir bien des ennuis avec Dame Censure, comme de bien entendu.
  • LE DERNIER BAISER (1977)
    Prétendue comédie de mœurs franco-belge, avec un fugitif doigté de féminisme, sans aucune fantaisie et qui ne mérite nullement le déplacement.