Après la mort de sa mère, tuée par un amant irascible et le suicide de son père, la douce Sylvie Demarcey est envoyée par son satyre de tuteur dans un pensionnat pour jeunes filles des plus dirigistes où la punition corporelle est de vigueur et de rigueur. La directrice de l'établissement vient de recueillir un jeune fasciste, responsable de la mort d'un Juif.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Un peu de cul, un peu d'antisémitisme, du faux mélodrame, pour un résultat éminemment détestable.