Malgré l'originalité du propos et de son traitement (photos, vidéo, film) on finit vite par se lasser de cette oeuvre qu'on pourrait qualifier péjorativement d'expérimentale. D'aucuns apprécieront.
Une bonne dose de mélodrame gérée avec discrétion par le réalisateur et étayee par une interprétation de haut niveau (Susan Sarandon en tête) ..... Attachant !
Nicolas Cage reçut un Oscar de la meilleure interprétation masculine pour sa prestation, que pour notre part nous jugeons excessive et fatigante, dans un film quelconque et lassant qui confirme Mike Figgis comme un second couteau.
Un grand metteur en scène allemand, souvent méconnu voire ignoré par la critique, qui fut l'éminent maître d'œuvre de quelques séduisantes réalisations durant la période muette qu'il serait urgent de redécouvrir sans tarder lors d'une copieuse rétrospective. Rappelons que l'adaptation de ce fameux roman destiné prioritairement aux enfants et adolescents, a déjà suscité près d'une demi-douzaine de versions cinématographiques.
Une oeuvre étonnante et lucide de la flamboyante période du néo-réalisme italien, faite d'observation minutieuse, sur fond de tangible et désabusé constat d'une triste fatalité économique et sociale, toujours d'actualité.
Malgré quelques dissensions mineures entre les deux metteurs en scène, Zoltan Korda et Robert J. Flaherty, finalement non préjudiciables à l'ensemble de la réalisation, cette œuvre universelle et limpide reste un intangible classique du film exotique britannique destiné à un public de tous horizons qui permit la découverte d'un talentueux jeune acteur d'une spontanéité et d'un naturel époustouflants.
Une oeuvre superbe, d'un naturel éblouissant, avec des acteurs étonnants de spontanéité et de présence, sur un ton d'une fraîcheur décoiffante, qui se fait malheureusement rare dans le cinéma actuel qu'il soit hexagonal ou étranger.
Courageuse et pertinente dénonciation des malversations économiques et politiques, dans le milieu des affaires, rarement abordées dans le cinéma arabe.
Bienvenue comédie policière adaptée avec bien des largesses et des libertés du dernier feuilleton de Gaston Leroux, qui mérite le détour surtout pour la suave interprétation de Louis Jouvet, tout en onctuosité et rouerie distillées à la perfection.
Par ce film, Hartley commet la prouesse de décevoir tous ses aficionados, unanimement. Sous prétexte d'universalité de la problématique du désir amoureux, il nous impose un pensum des plus ennuyeux.
Une réalisation honnête et le très beau travail effectué par Jeanne Lapoirie à la photographie ne parviennent pas à sauver un scénario souvent ridicule.
Filmé avec humour et malice, un documentaire fort vivant auquel il serait difficile de ne pas s'intéresser, au vu de la qualité intrinsèque du metteur en scène.