Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 38 films notés

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  • LE JOUET (1976)
    Note : 12/20
    Simple, agréable, sympathique.
  • LE MAGICIEN D'OZ (1939)
    Note : 18/20
    Irrésistible et indétrônable classique légendaire du genre qui reste un monument de la comédie musicale mêlant adroitement personnages réels et protagonistes imaginaires, dans une histoire inoubliable et fantasque, magnifiquement scénarisée, évitant avec finesse de nous submerger avec trop de passages musicaux.
  • MONSIEUR MAJESTYK (1974)
    Note : 11/20
    Film d'action sobrement mené par le roublard Fleischer qui, en trente ans de métier, connait parfaitement les ficelles de l'honnête réalisation commerciale. Peu d'originalité derrière son évident "savoir-tourner", mais il peut encore rameuter son spectateur.
  • ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS (1965)
    Note : 15/20
    Les fameux tics et les tocs du magicien Sergio Leone dans une superbe oeuvre "décadente" devenu aujourd'hui un incontournable classique du western transalpin, solidement amarrée dans le fameux triptyque "spaghetti". Un bon moment de cinéma, pas que pour les amateurs qui reste un modèle du genre.
  • FRANKENSTEIN (1931)
    Note : 17/20
    L'inoubliable chef-d'oeuvre et classique du cinéma, réalisé par le solide James Whale, toujours imité, jamais égalé, permettant à Boris Karloff d'interpréter son plus grand rôle dans sa vaste et "monstrueuse" filmographie.
  • CELUI QUI N'EXISTAIT PAS (1964)
    Note : 7/20
    Oeuvre lourdement tortueuse et angoissante dont le scénario est tissé par les grosses ficelles du genre, comme souvent pour les productions de ce cinéaste.
  • L'AMOUR EN DOUCE (1984)
    Sans vulgarité ni grosses ficelles, un film de détente et de sourires.
  • LA FIANCÉE DE FRANKENSTEIN (1935)
    Note : 16/20
    Seconde adaptation du fantastique mythe qui égale en beauté, fascination et envoûtement, l'original de 1931 du même metteur en scène.
  • MITRAILLETTE KELLY (1958)
    Le personnage campé par Charles Bronson, un velléitaire malfrat superstitieux au diable et obsédé par son arme fétiche, la mitraillette, est le seul élément intéressant de cette oeuvre du prolifique metteur en scène Roger Corman.
  • LE RAID (1954)
    Note : 11/20
    Longtemps inédit sur nos écrans, un film plutôt intéressant par la rareté de sa projection et l'excellente prestation de Lee Marvin et Richard Boone, malgré un scénario classique et dont la trame est plutôt rebattue.
  • LA MAISON DE FRANKENSTEIN (1944)
    Un mélange des mythes gênant voire détestable.
  • PAPY FAIT DE LA RÉSISTANCE (1983)
    Note : 9/20
    Adaptée d'une pièce de théâtre à succès, cette réalisation, un peu statique, développe un comique de situation souvent bien bancal. Cela, malgré le fait que certains acteurs du groupe assurent une intéressante prestation.
  • UN SI JOLI VILLAGE (1978)
    Note : 11/20
    Du bon cinéma plaisant sur le moment, bien réalisé, agréable à regarder, mais dont on oublie rapidement la trame, le réalisateur, l'intérêt, par manque de profondeur.
  • LE JOUR DES IDIOTS (1981)
    Film à multiples tiroirs sur l'univers de la folie, l'étouffement généré par la société (allemande), la représentation et son jeu relationnel. Schroeter, avec obstination et persévérance, poursuit -avec cette fois-ci beaucoup de réussite, son décryptage de l'individu comme entité individuelle et résultante d'une structure sociale.
  • UN PONT TROP LOIN (1977)
    Note : 11/20
    Superproduction anglo-américaine qui a bénéficié d'un énorme budget et qui nous propose un film à grand spectacle avec une brochette de vedettes internationales, pour aboutir finalement à une réalisation historique honnête, sans plus.
  • VENTRES GLACES (1932)
    Note : 16/20
    Un film évidemment censuré à sa sortie pour outrage au maréchal-président Hindenburg, qui s'inspire fortement d'un cinéma idéologique russe et qui, malgré une certaine naïveté dans le propos, reste un superbe moment de cinéma et une lumineuse page d'histoire, incontournable pour le cinéphile curieux.
  • LE SECRET (1974)
    Note : 15/20
    N'en déplaise aux précieux intellectuels de salon qui feront fine bouche et basse vue, un sympathique petit thriller français avec ses quelques faiblesses qui n'empêchent le film d'être un agréable divertissement bienvenu.
  • PUTAIN D'HISTOIRE D'AMOUR (1981)
    Deuxième film de Gilles Behat d'une sympathique texture. L'oeuvre oscille adroitement entre dramaturgie poignante et humour décompressant.
  • MONSIEUR SMITH AU SENAT (1939)
    Note : 17/20
    Mr Smith / Mr Deeds, même combat. La démocratie populaire, peut-être idéaliste, mais pas populiste ni naïve, contre les forces cupides de l'argent.
  • BACCARA (1935)
    Une oeuvre fort moyenne et sans réelle envergure, qui ne laisse aucun souvenir impérissable. Pour se rappeler un certain cinéma français des années 1930.
  • BARBEROUSSE (1965)
    Note : 19/20
    Un véritable chef-d'oeuvre humaniste et un somptueux hymne à la fraternité.
  • LA LUNE DANS LE CANIVEAU (1982)
    Note : 14/20
    Un film controversé déjà avant sa sortie en salles. Après l'étonnant succès de "Diva", il se démarque agréablement des clichés habituels du genre, et, malgré un partage tranché des critiques, dénote un incontestable et sérieux travail d'auteur.
  • SHERLOCK JUNIOR (1924)
    Note : 16/20
    Tout l'humour et la poésie contenue de Buster Keaton sont au rendez-vous dans ce petit chef-d'oeuvre du burlesque que l'on ne se lasse pas de voir et de revoir.
  • LE PULL-OVER ROUGE (1979)
    Note : 15/20
    Film d'une grande densité émotionnelle qui tente de prouver l'erreur judiciaire avec plus ou moins de réussite cinématographique. Difficile de réduire à deux heures de projection le dossier fleuve de Gilles Perrault.
  • MOGAMBO (1953)
    Note : 13/20
    Histoire quelconque, cent fois ébauchée, rabâchée, affichée. La morale est sauve dans tous les cas de figures. A voir seulement pour les acteurs. On note la performance de Clark Gable qui interprète, à vingt ans de différence, le même rôle. Pour l'exotisme, les tribus noires de Samburu, Wagenia, Bahaya et M'Beti.
  • MACADAM COW-BOY (1969)
    Note : 16/20
    Une longue et singulière descente aux enfers, magnifiquement filmée dans un New York sordide, moribond et apocalyptique, vers une destinée close d'avance.
  • LES BARBOUZES (1963)
    Note : 14/20
    Un film parodique, mené de mains de maître où l'humour dévastateur, le cocasse débridée et l'action endiablée font vraiment bon ménage, pour notre plus grand plaisir.
  • PERSONA (1966)
    Note : 16/20
    Un incontestable chef-d'oeuvre qui demande au spectateur une grande lucidité / acuité et une totale disponibilité d'esprit et de coeur pour percevoir l'intensité du discours métaphysique du metteur en scène, livrant ici une de ses inoubliables réalisations les plus audacieuses et les plus personnelles.
  • SALO OU LES 120 JOURNÉES DE SODOME (1975)
    Note : 19/20
    Dernière oeuvre de Pasolini, dont le sujet et l'outrance amènent le spectateur à une profonde et large réflexion, bien au-delà des notions strictes de morale.
  • RE-ANIMATOR (1985)
    Note : 15/20
    Décapitation, trépanation, mutilation, éventration en série, l'hémoglobine est reine, et l'humour n'est pas oublié. Du Grand-Guignol à outrance, moins le charme des films de Gordon Hessler qui avaient encore plus d'allant et d'efficacité.
  • PARADIS PERDU (1939)
    Note : 14/20
    Intéressant et bienvenu mélodrame où Jean Gravey est superbe et Micheline Presle étonnante dans sa double interprétation de l'épouse et de sa fille.
  • QUENTIN DURWARD (1955)
    Note : 12/20
    Intrigues de Cour et de coeur, brigands, enlèvement, amour / toujours. Roi de France, vassaux, vaisseaux et vessies pour un film d'aventures bien typé, bien rythmé, qui procure un agréable délassement par un réalisateur à la prolifique filmographie.
  • RETENEZ-MOI OU JE FAIS UN MALHEUR (1983)
    Le film se noie dans les brumes obscures d'un comique lourd et laborieux. La confrontation du génial Jerry Lewis avec l'humour café-théâtre n'est pas réussie.
  • LE POUVOIR DES MOUILLES (1981)
    Note : 16/20
    Un metteur en scène talentueux et méconnu pour un film sarcastique et drôle. Cela nous changera des navets pseudo-comiques habituels. A découvrir absolument.
  • LES SACRIFIÉS (1945)
    Premier grand film de guerre de John Wayne qui interprète avec sobriété le rôle de l'officier Rusty Ryan, amoureux de son infirmière et qui tient absolument et perpétuellement à en découdre avec les Japonais.
  • ROMULUS ET REMUS (1961)
    Note : 13/20
    Un péplum plein de bruit et de fureur qui reste un agréable spectacle de détente. La réalisation est signée par un prolifique metteur en scène transalpin spécialisé dans des séries B souvent fort étonnantes. Hautement distrayant !
  • POUIC-POUIC (1963)
    Note : 8/20
    C'est ainsi que débute une comédie de boulevard avec un Louis de Funès déjà grimaçant pour un scénario monotone aux scènes fortement téléphonées. Sans la prestation de certains acteurs, le film serait totalement insipide.
  • LA FILLE DE RYAN (1970)
    Dramatique scandale social d'époque, efficaces mouvements républicains activistes de l'IRA et paysages étonnamment sauvages et fascinants, ne sauvent pas le film du mélodrame facile et "fossile", le metteur en scène britannique David Lean sacrifiant de plus en plus souvent au cinéma "commercial".
  • ROSA LA ROSE, FILLE PUBLIQUE (1985)
    Note : 17/20
    Superbe mélodrame toujours distancié par rapport à son objet et son discours qui nous vaut un merveilleux petit bonheur de film comme seul Paul Vecchiali sait le faire.
  • UN FLIC DE CHOC (1978)
    Note : 11/20
    Une oeuvre bien menée, qui se regarde sans déplaisir.
  • LE RETOUR DE LA PANTHERE ROSE (1974)
    Note : 12/20
    "Une suite" à la première version, toujours sous la férule du même cinéaste, qui ne manque ni de talent, ni d'humour, ni de tranquille drôlerie.
  • LES RUES DE FEU (1984)
    Note : 10/20
    De l'action, un montage serré et fort rythmé, un héros solitaire, dans un film assourdissant et d'une teneur lourdement manichéenne. A mettre aussi en parallèle avec "les guerriers de la nuit" du même réalisateur.
  • UNE ROBE NOIRE POUR UN TUEUR (1980)
    Note : 9/20
    Une relative déception !
  • À L'EST D'EDEN (1954)
    Note : 15/20
    Première réalisation en couleurs d'Elia Kazan qui est une superbe et scrupuleuse adaptation du chef-d'oeuvre de Steinbeck pour un drame "familial" devenu un classique américain ayant permis de révéler, de valoriser l'indéniable présence de James Dean.
  • BASEMENTS (1987)
    Note : 13/20
    L'univers de Pinter, avec des acteurs somme toute excellents !
  • LA GRANDE MAFFIA (1971)
    Une lourde réalisation, bête au possible qui frise la médiocrité totale et la nullité affligeante, commise par un spécialiste des navets cinématographiques.
  • POURQUOI PAS NOUS ? (1980)
    Une sympathique petite comédie française souvent drôle, quelquefois même finement humoristique qui, sur l'éternel thème des oppositions et antagonismes, beau / laid, monstre / vamp, de la belle et la bête, propose un agréable divertissement, sans déception, ni prétention. Ne faisons donc point la fine bouche.
  • LE CHENE D'ALLOUVILLE (1980)
    Ni bon ni mauvais, en fait plutôt mauvais que bon, une oeuvre quelconque avec une minute de vrai comique sur 1h40 de projection.
  • L'HOMME À L'IMPERMEABLE (1956)
    Note : 13/20
    Pour la beauté magnétique de Claude Sylvain et l'étonnante interprétation d'un odieux Bernard Blier toujours aussi étonnant.
  • MONIKA (1953)
    Note : 16/20
    Excellente oeuvre du cinéaste à l'antipode du romantisme niais et fleur bleue.