• LA SOIF DU VAMPIRE (1970)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Rarement film sur cette thématique aura su aussi intelligemment et aussi pertinemment associé l'érotisme au mythe sur le vampirisme !
• MR SMITH AGENT SECRET (1941)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Première et brillante réalisation du comédien Leslie Howard qui s'est attribué fort judicieusement le rôle principal dans cette suave comédie d'espionnage, menée avec un bienvenu flegme anglais teinté d'un humour fin et subtil qui ne dépareille nullement, malgré le contexte historique et dramatique sous-jacent de son scénario.
• LE MUR INVISIBLE (1947)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Sujet hautement brûlant voire même quelque peu tabou, aux Etats-Unis, comme partout ailleurs, accusateur et dénonciateur de la médiocrité larvée de bien de nos affables concitoyens, qui valut au metteur en scène Elia Kazan, malgré une réalisation plutôt fort moyenne, un notable triomphe aux Oscars de l'année 1947.
• PROTÈGE-MOI MON TALISMAN (1986)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre difficile, au climat souvent envoûtant, qui baigne dans une atmosphère de mélancolie et de fatalité diffuses, au charme pénétrant et certain.
• TOUT LE MONDE N'A PAS EU LA CHANCE D'AVOIR DES PARENTS COMMUNISTES (1993)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Souvent drôle et savoureux !
• LE KIOSQUE À MUSIQUE (1936)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une des premières apparitions de Judy Garland alors âgée de quatorze ans.
• LE FILS DU REQUIN (1993)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Entre poésie, tendresse et violence, un premier long métrage de la réalisatrice Agnès Merlet qui avait déjà décroché un Prix Jean Vigo (1985) du court métrage, faisant partie des dix meilleurs films français de l'année.
• ALGER LA BLANCHE (1985)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un film très intense traversé de fulgurantes pointes d'émotion.
• LES GENS NORMAUX N'ONT RIEN D'EXCEPTIONNEL (1993)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Surtout pour la prestation de Valeria Bruni-Tedeschi, justement primée par le "Leopard de Bronze" à Locarno.
• L'ETINCELLE (1918)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Comme fort souvent le brillant (et séduisant) William S. Hart cumule les fonctions de metteur en scène et d'acteur avec une efficacité et un brio indéniables pour notre plus grand plaisir de fervent amateur de films muets, hélas de moins en moins visibles sur les écrans de nos salles de cinéma. En définitif, une histoire hautement morale, d'une grande aménité scénaristique et des acteurs solides et convaincants.
• HAZAL (1979)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre forte, émouvante et d'un pertinent humanisme.
• LES ENFANTS DE LA NATURE (1991)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une oeuvre d'une grande beauté, entre poésie et méditation sur l'existence.
• LA VOIE (1983)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une oeuvre intéressante qui manque pourtant de percutant.
• L'EXODE (1925)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Somptueux et fascinant chef-d'oeuvre du documentaire et conséquent succès commercial qui permit aux deux réalisateurs le financement immédiat de "King-Kong".
• SABINE (1992)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre de grande qualité !
• LA CLASSE DE MISS MAC MICHAEL (1978)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Un premier film réalisé à la va-vite, qui ne peut se résoudre à prendre le parti, ni de la comédie, ni du réalisme dénonciateur. L'exagération des situations désert les comédiens et le propos du film qui ne présente finalement que des clichés.
• DAUNTAUN HIROZU (1988)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre fort désabusée et melancolique, magistralement conçue, d'un profond humanisme, dont on retiendra longtemps l'excellente séquence concernant la pièce de théâtre.
• DUELLE (1976)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Certains crieront au chef-d'oeuvre, d'autres bailleront narquoisement.
• STELLA POLARIS (1993)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une oeuvre fort personnelle, quasiment muette, quelquefois ennuyeuse, par sa lenteur, mais qui dénote une intéressante personnalité, chez un réalisateur de la télévision norvégienne, dont c'est ici le premier film.
• FEUX DANS LA PLAINE (1959)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une splendide photographie noir et blanc pour un sujet hautement dramatique et qui dévoile une (infime) partie de l'horreur de la guerre du Pacifique.
• LA TORNADE (1988)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une première oeuvre allégorique sur le thème de la recherche du paradis, à connotation écologique, qui est un merveilleux poème visuel, conjuguant une sourde beauté formelle des paysages avec une magnifique réflexion sur la nature humaine.
• JE VOULAIS VOIR LES ANGES (1992)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Sixième réalisation d'un metteur en scène à suivre, qui marque cependant le pas sur ses créations antérieures qui nous avaient enchantés.
• LE BONHEUR (1935)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Etonnant petit film muet réalisé en 1935 qui témoigne d'un sens de l'humour solide, débridé et souvent fort inventif. Cette comédie extravagante de Medvedkine est devenue une curiosité rare qu'il serait injuste de négliger. Savoureux au possible !
• LA FÊTE DE SAINT JORGEN (1930)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Enorme et cinglante farce qui stigmatise avec efficacité et délectation la religion et les mécréants de la foi qui profitent éhontément de la naïveté populaire sous la férule et le vernis d'un clergé exploiteur et mystificateur. Et l'inattendue pirouette finale fustige bien l'intarissable et mécréante ingéniosité des vils suppôts de Dieu. Visionné avec jubilation au 42e Festival International du Film de La Rochelle (juillet 2014) ce film nous a tellement enthousiasmé que nous l'avons revu sans aucune hésitation, trois mois plus tard, en octobre, à Pordenone lors d'une rétrospective consacrée aux films muets du fameux et atypique réalisateur soviétique.
• LA FÊTE À GION (1953)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre limpide et feutrée, entre gravité et légèreté, qui pointe toute la lucidité anthropologique de son regard sur le monde fermé et secret des geishas.
• LES FEMMES DE LA NUIT (1948)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une intéressante peinture sans concession ni fioriture du dramatique milieu de la prostitution nippone, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
• LA FEMME SUR LA LUNE (1929)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Mignon et vieillot !
• LA MOMIE (1970)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Cette œuvre considérée comme majeure du cinéma égyptien, qui pour notre part, a fort mal vieilli, tirée de faits réels, nous montre avec poésie et acuité, une facette socio-économique rétrograde d'un monde clos, non dénué de poésie et d'un évident intérêt ethnologique, voire cinématographique, pour un spectateur intéressé.
• LA BATAILLE DU RIO DE LA PLATA (1956)
  Critique CF

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  Oeuvre fort intéressante qui exalte le courageux combat de la flotte anglaise.
• LA PUISSANCE DU FEU (1986)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Pour certains, un mélange disparate de motifs islamiques combiné à des poncifs du cinéma d'horreur ; pour d'autres, une oeuvre envoutante et mystérieuse, entre rêve et réalité, qui évoque le lointain paradis perdu.
• L'AFFAIRE EST DANS LE SAC (1932)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Réjouissant à souhait.
• LE CHÂTEAU DE LA PURETÉ (1972)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Superbe, envoûtant, inquiétant !
• L'EMPIRE DE LA FORTUNE (1985)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Arturo Ripstein confirme le bien qu'on pense de lui !
• LA FEMME DU PORT (1991)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Le metteur en scène mexicain Arturo Ripstein se réapproprie avec talent et dextérité le récit de Guy de Maupassant en y introduisant les thèmes récurrents qui lui sont chers. Le tout constitue une oeuvre surprenante, peut-être moins aboutie que d'autres de ses films, mais néanmoins indispensable. A ne pas rater.
• LE TEMPS DE MOURIR (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Adaptation du roman de Gabriel Garcia Marquez, cette "CHRONIQUE D'UNE MORT ANNONCEE" version mexicaine, confirme tout le bien que l'on pense du fameux cinéaste.
• LE RAIL (1922)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Un classique du cinéma mondial, quasiment invisible, tourné en cinq actes, qui a comme curieuse particularité de ne comporter qu'un seul intertitre.
• ALLEMAGNE ANNÉE 90 NEUF ZÉRO (1991)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Encore un Godard sans intérêt.
• LES TRAVAILLEURS DE LA MER (1917)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Mélodrame marin sympathique d'où émerge l'excellente interprétation de Romuald Joubé, dans le rôle de l'amoureux floué qui finira par se suicider.
• CATHERINE CHERIE (1982)
  Critique CF

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  C'est terriblement insipide !
• LA FILLE ET LE GENERAL (1967)
  Critique CF

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  Pour la suave présence de l'excellente Virna Lisi.
• LES MISÉRABLES (1952)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Version condensée de la saga de l'immense Victor Hugo qui bénéficie d'excellentes contributions techniques et artistiques, pour notre plus grande satisfaction.
• LE GRAND SOMMEIL (1978)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On est bien sûr fort loin de son mythique antécédent, réalisé trente deux années auparavant par Howard Hawks, malgré la solide présence de Robert Mitchum.
• UN CRIME (1992)
  Critique CF

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  On pense bien sûr à "Garde à vue" mais en mode mineur.
• AU-DESSUS DE LA LOI (1993)
  Critique CF

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  Encore une oeuvre d'une parfaite invraisemblance et largement au-dessous de la moyenne du genre.
• CALIFORNIA MAN (1991)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  Un ersatz de film représentatif de ce que la cinéma commercial américain peut produire de pire : scénario indigent et stupide, bande sonore envahissante et mise en scène sans relief. Désespérant de nullité de la première à la dernière minute.
• DENIS LA MALICE (1993)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Faible et peu inventive adaptation d'une célèbre et riante bande dessinée.
• MON PÈRE AVAIT RAISON (1936)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une nouvelle comédie de moeurs, fort allègre et bien enlevée, comme seul le toujours étonnant Sacha Guitry sait les trousser, avec charme et brio.
• UN JUGE EN DANGER (1977)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  La panacée du film policier / politique, réalisation idéale qui combine adroitement action et rebondissements avec de vives et pertinentes dénonciations du système.
• LE DIMANCHE DE PRÉFÉRENCE (1990)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Sympathique film à sketches transalpin, une spécialité italienne.
• WAXWORK 2 : PERDUS DANS LE TEMPS (1991)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  De la bouillie plutôt infâme.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)