Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • TEMPO DI VIAGGIO (1980)
    Note : 14/20
    Film assez pauvre cinématographiquement mais qui constitue toutefois un précieux témoignage sur son auteur permettant de mieux appréhender son oeuvre.
  • THE CIRCLE (1925)
    L'intrigue frôle le vaudeville, mais comme souvent l'élégante réalisation de Borzage hisse le film bien au-dessus du niveau des productions sentimentales de l'époque.
  • LA FIN DU BEDEAU (1968)
    Note : 14/20
    Film tchèque réalisé en noir et blanc, tourné du 16 avril au 21 juin 1968, avec une première en salles le 10 janvier 1969 pour être interdit en cours d'année, cette farce tragi-comique met en évidence une certaine mainmise étatique freinant toute initiative personnelle considérée comme contraire à la stricte et rigide orthodoxie communiste.
  • L'OMBRE DES ANGES (1975)
    Note : 14/20
    Très inspirée de Rainer Werner Fassbinder et de son univers, une oeuvre quelque peu théâtrale, d'un étouffant scepticisme.
  • BULLET SCARS (1942)
    Note : 11/20
    Une série B assez anonyme, d'un vague tâcheron de 5e catégorie, avec des cadavres, mais sans temps morts, à regarder faute de mieux.
  • LE PETIT GARÇON (1993)
    Note : 9/20
    Du cinéma d'arrière-garde plus obsolète que réellement mauvais. Inoffensif et totalement vain, comme la plupart des derniers films du cinéaste.
  • MINA TANNENBAUM (1994)
    Note : 12/20
    Un premier film où les quelques originalités font figure de tics irritants.
  • LA JOYEUSE PRISON (1917)
    Note : 17/20
    Un festival d'humour et de quiproquos dans lequel les gags s'enchaînent et se déchaînent avec une constance et une brillance étonnantes, sous-tendues de cette incontestable finesse du propos et de la situation qui suscite un véritable enchantement pour le spectateur, en permanence ravi et subjugué.
  • LA GRANDE FARANDOLE (1939)
    Note : 13/20
    L'intrigue sentimentale, réduite au strict nécessaire, s'avère moins encombrante que dans les autres films de Fred Astaire et Ginger Rogers. Assez réjouissant.
  • LA REINE DE LA NUIT (1994)
    Note : 16/20
    Le toujours vaillant Arturo Ripstein nous propose une œuvre d'excellente tenue servie par une très bonne interprétation de Patricia Reyes Spindola.
  • MACHO (1993)
    Note : 10/20
    Bigas Luna n'atteint pas l'objectif de la satire baroque : aussi vulgaire que son héros, le film écrase le mythe sans distanciation ni finesse.
  • MARIA DE MON COEUR (1979)
    Note : 14/20
    Hermosillo reste un réalisateur essentiel de la cinématographie mexicaine !
  • LEON (1994)
    Note : 7/20
    Malgré de nombreuses tentatives et une volonté inébranlable, Besson n'avait jamais atteint ce stade de simplisme. Le ridicule achevé de ce film percute des sommets encore insoupçonnés. Uniquement pour benêts.
  • LES RAPACES (1956)
    Note : 17/20
    Excellente adaptation d'une oeuvre télévisée qui avait déjà défrayé la chronique de l'époque, cette percutante réalisation d'un vague tâcheron du 7e Art, étonne et détonne par la virulence de sa radicale dénonciation du gain, de la libéralisation économique et financière et de la mainmise autocrate sur le destin de nos concitoyens, pour le plus grand profit d'une poignée de cupides et amoraux rapaces.
  • LA CLASSE OUVRIÈRE VA AU PARADIS (1972)
    Note : 15/20
    Intéressant film politique !
  • PETITS LAPINS (1990)
    Note : 11/20
    L'ensemble manque helas, de souffle.
  • GEIZ (1982)
    Note : 14/20
    Par la realisatrice de l'excellent "Variety", une etonnante variation sur le theme de l'inegalite sociale.
  • LA CHASSE AUX GRANDS FAUVES (1923)
    Note : 13/20
    Sympathique !
  • VIGIL (1984)
    Note : 17/20
    Une oeuvre étrange, à la limite du fantastique, sur l'équivoque période de l'adolescence, servie par d'étonnants paysages d'une terrible beauté fascinante.
  • HAMOON (1990)
    Note : 11/20
    Pas toujours maîtrisée, une oeuvre inégale qui confirme toutefois la singulière personnalité de l'auteur qui mérite une urgente redécouverte.
  • DRIVE BY SHOOTING (1994)
    Note : 14/20
    Un procede systematique qui atteint son but : provoquer une reflexion sur la banalisation de la delinquance.
  • WIFE OR COUNTRY (1918)
    Gloria Swanson se souvenait de ce film comme d'une niaiserie patriotique.
  • LA DANSEUSE (1989)
    Note : 13/20
    Oeuvre à découvrir, d'un cinéaste de la nouvelle vague nippone des années 60 qui, bien que parfaitement réalisée, ne dégage pas moins une tranquille léthargie, un discret ennui policé, une soporifique quiétude plutôt inquiétante quant à l'intérêt de l'ensemble.
  • PRINCE YEONSAN (1961)
    Note : 15/20
    Un film d'époque et de costumes, superbement photographié qui magnifie l'évocation d'un destin hautement tragique aux multiples accents shakespeariens.
  • QUI DONC A VU MA BELLE ? (1952)
    Note : 17/20
    Une sympathique et succulente petite réalisation où Charles Coburn fait merveille et tumulte, avec son air bougon et ses précieux dollars, pour une oeuvre douce-amère, égratignant sans cesse le way of life américain, entre le vernis des apparences, l'obsédant puritanisme rampant, le mythe de la réussite par l'argent et les alliances. On pense bien sûr à l'incontournable Frank Capra, mais en plus grinçant, émotion et chaleur humaine rangées au vestiaire, dans un insidieux et savoureux patchwork de l'éternelle et fastidieuse comédie humaine. Un parfait et complet moment de bonheur, avec en prime une des premières apparitions du mythique James Dean, qui à ce moment-là, était quasiment un jeune acteur tout juste débutant.
  • ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE (1994)
    Note : 14/20
    Du sang, des crocs, et encore du sang, avec une certaine délectation !
  • BLUEBERRY HILL (1989)
    Note : 11/20
    Une oeuvre longtemps inédite dans l'hexagone qui mérite le détour !
  • LE LOCATAIRE ET MA MÈRE (1961)
    Note : 16/20
    Une oeuvre plutôt fort étonnante qui concilie humour et mélodrame avec le plus grand bonheur et qui permet d'apprécier l'évident talent de son interprète principale, la séduisante Eun-Hie Choi, très populaire dans son pays, la Corée du Sud.
  • NO ROOM FOR THE GROOM (1952)
    Note : 15/20
    Petite comédie un peu poussive, tournée en noir et blanc, du bienheureux Douglas Sirk, plus connu pour ses somptueux mélodrames, qui se regarde sans aucun ennui ni déplaisir, bien au contraire, le sourire aux lèvres, à suivre les moult contrariétés d'un Tony Curtis convaincant, dont c'est déjà la quatorzième prestation cinématographique en quatre ans de carrière, mais aussi son premier rôle principal.
  • LITTLE ODESSA (1994)
    Note : 16/20
    L'efficacité de James Gray qui confirmera de film en film, parcimonieusement.
  • ÇA COGNE ET ÇA RIGOLE CHEZ LES ROUTIERS (1976)
    Une sombre médiocrité qui accumule la vulgarité et la bêtise dans une totale indigence de scénario, comme pour la plupart des réalisations du cinéaste.
  • SAMYONG LE MUET (1964)
    Note : 16/20
    Un mélodrame rendu poignant par son interprète, Jin-Kyu Kim.
  • LE FILS D'ALI BABA (1952)
    "Les mille et une nuits", prétexte à une suite d'aventures en technicolor. L'ensemble ne se prend pas au sérieux et se laisse voir, sans déplaisir et avec un certain ravissement, pourvu que l'on se laisse égarer.
  • QUEL PETARD ! (1941)
    Note : 10/20
    Voilà une oeuvre fort mineure dans la vaste et généreuse filmographie du célèbre duo "Loreleardi", au comique souvent poussif et au scénario plus que ténu, rarement mis en valeur par son réalisateur plus à l'aise dans le cinéma muet.
  • GILBERT GRAPE (1993)
    Note : 13/20
    Une oeuvre émouvante et sympathique, malgré quelques vénielles maladresses.
  • FLUCHT IN DEN NORDEN (1985)
    Note : 15/20
    Une réalisation de grande qualité, intelligente et intimiste qui engage fort à lire (ou relire) l'oeuvre trop méconnue et souvent remarquable de Klaus Mann.
  • MALPERTUIS (1972)
    Note : 13/20
    Une intéressante tentative d'adaptation du célèbre roman fantastique belge par l'auteur des "Lèvres rouges" qui n'arrive pas à la cheville du roman de Jean Ray, un auteur essentiel, hélas longtemps méconnu.
  • MAITRES DE BALLET (1943)
    Note : 14/20
    Le déclin est annoncé, même si le duo est époustouflant en tutus et chaussons !
  • LES RISQUE-TOUT (1977)
    Film tourné à la gloire des anonymes cascadeurs qui sans être génial, présente tout de même certains aspects intéressants.
  • LES MULTIPLES PASSIONS DE BOUDDHA (1967)
    Note : 15/20
    Mélodrame flamboyant par un prolixe metteur en scène sud-coréen.
  • LES LÈVRES ROUGES (1971)
    Note : 14/20
    Un de nos films préférés du sympathique réalisateur belge.
  • LES DUPES (1972)
    Note : 16/20
    Une oeuvre puissante et grave, à voir de toute urgence.
  • JOUER POUR LE PLAISIR (1992)
    Note : 12/20
    Un tantinet longuet et bavard, sans être totalement dépourvu d'intérêt.
  • LA RIVIÈRE HAN (1974)
    Note : 16/20
    Comme moult films de son auteur, mettant en scène sa femme, Eun-Hie Choi, ce dense mélodrame est une oeuvre aux accents fortement féministes.
  • RUBY (1977)
    Note : 12/20
    Oeuvre non négligeable, un peu bâclée, avec quelques scènes d'une facture correcte, par un metteur en scène reconnu dans ce genre cinématographique.
  • DAGUERRÉOTYPES (1974)
    Note : 15/20
    Quelques savoureuses tranches de vie, dans un passé révolu.
  • ELLES N'OUBLIENT JAMAIS (1993)
    Note : 9/20
    Sur un sujet maintes fois abordé et maltraité sur petit et grand écran, un thriller terne et sans suspens, ne méritant pas le détour, mais l'oubli.
  • DISPARU (1994)
    Note : 8/20
    Un film qui se veut dénonciateur et critique envers un système mais qui fait sombrer le spectateur dans l'ennui agrémenté d'une totale confusion.
  • BARREAUX BLANCS (1938)
    Note : 14/20
    Film destiné à mettre en valeur Freddie Batholomew. Bien construit et plaisant.
  • TERMINAL VELOCITY (1994)
    Note : 14/20
    Un scénario fort original, efficace malgré les moult invraisemblances, où l'action prime sur toute psychologie marquant le retour de Nastassja Kinski sur les écrans et confirmant un acteur qui perce : James Gandolfini.