• AU REVOIR LES ENFANTS (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Sujet grave et solide, qui se veut d'une grande sensibilité humaine, un récit émouvant et poignant d'une époque douloureuse, mais qui demeure, pour notre part, en grande partie en-deçà de ses objectifs et de ses constats.
• FOG (1979)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 11/20

  Du bon travail, hélas sans aucune poésie, alors que le sujet s'y prêtait fort.
• LETTRES D'UN HOMME MORT (1986)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Un film choc d'une insoutenable véracité, à la constance densité dramatique.
• LA TOUR DES MONSTRES (1974)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Réjouissant et joliment perturbateur !
• HISTOIRES FANTASTIQUES (1986)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Du bon (Spielberg) et du très moyen (Dear et Zemeckis).
• MOI ET CATHERINE (1979)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 11/20

  Beaucoup plus connu pour ses prestations comme comédien, que par ses quelques réalisations restées souvent inédites dans l'Hexagone, Alberto Sordi mérite toujours le détour, même si ses prestations derrière la caméra sont souvent moyennes.
• L'ARGENT DE LA BANQUE (1978)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 16/20

  Etonnant petit film policier passé inaperçu qu'on peut considérer comme un petit chef-d'oeuvre du genre, par un réalisateur fort peu connu dans l'hexagone.
• LES FAUX-DURS (1977)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Une oeuvre moyenne, dans la ligne des films du réalisateur.
• LA MAISON DE JEANNE (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Premier long métrage, émouvant et sensible. Une réussite !
• SANS SOLEIL (1982)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 19/20

  Rigoureux et poétique travail sur la mémoire, le temps qui passe, l'image et ses signes ainsi que l'éternel confrontation des individus et des peuples avec les soubresauts de l'Histoire. Un pur chef-d'oeuvre, inoubliable et puissant, drainant une lancinante et tenace beauté, à faire figurer dans une vidéothèque idéale.
• LES SAISONS DU PLAISIR (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Un Mocky de la meilleure veine, décapant au possible, "hénaurme", d'une saine méchanceté, libérateur et virulent. On en redemande !
• SANS RETOUR (1981)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Excellemment filmé, un peu long, un peu lent, une oeuvre malgré tout palpitante.
• UN ENFANT DE CALABRE (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Une excellente interprétation de Gian Mario Volonte pour une oeuvre pleine d'émotion et de sensibilité qui constate la toujours vaillance du cinéaste.
• POPEYE (1980)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 8/20

  Décidément Robert Altman nous étonnera toujours. Qu'est-il venu faire dans cette morne galère, sinon un dramatique naufrage ?
• HAMBURGER HILL (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 7/20

  Voilà une oeuvre d'une extrême médiocrité autant par son manichéisme sournois que par la lourdeur de son message / contenu. Sans aucun intérêt particulier!
• HOLOCAUST 2000 (1977)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 10/20

  Mélangeant des thèmes historiques et religieux, des archétypes culturels, écologiques et sociaux, cette oeuvre à la mode du temps, reste fort décevante, malgré la présence de Kirk Douglas et une mise en scène des plus coûteuses.
• SEPTEMBER (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Certainement un des plus chaleureux films de Woody Allen qui reste un bon moment de sensibilité, d'une acuité et d'une vérité humaine, bouleversantes.
• RANDONNEE POUR UN TUEUR (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Excellent thriller, bien ficelé où même l'humour n'est pas absent, mais pour un film qui n'atteint jamais la rigueur et la force d'"Under Fire" du même réalisateur.
• DELPHINE (1968)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Hormis une excellente interprétation de l'actrice Dany Carrel, le sujet manque de nouveauté et d'originalité. Il est vrai que le réalisateur est plutôt quelconque.
• LES RATS ATTAQUENT (1982)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 9/20

  Une banale médiocrité rongeuse.
• PLEURE PAS, T'ES EN DIRECT (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 12/20

  Une excellente interprétation qui ne suffit pourtant pas au film.
• BANDE DE FLICS (1977)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Une farce énorme, méchante et dénonciatrice d'un système opérationnel absurde.
• LA COMÉDIE DU TRAVAIL (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Consacré par le Prix Jean Vigo 1988, le film est souvent drôle, mais manque tout de même de tenue et de fermeté dans son discours qui se veut dénonciateur et cinglant.
• JUSTIN DE MARSEILLE (1934)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Tout le folklore de la pègre méridionale avec sa faconde et sa démesure.
• L'AGRESSION (1986)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 7/20

  Un prétendu et prétentieux essai cinématographique pour situer la femme "avide" d'indépendance dans un entourage qui lui est reste hostile : machisme, jalousie, attirance charnelle. Un film plus proche des habituels téléfilms du genre.
• PASSEPORT POUR L'OUBLI (1965)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 10/20

  Réalisé par l'intéressant et solide metteur en scène britannique Val Guest, une oeuvre distrayante, ni pire ni meilleur que des centaines d'autres produits du même genre avec l'inévitable et lourd anticommunisme primaire.
• LE GAFFEUR (1985)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Des tonnes de stéréotypes plus navrants les uns que les autres !
• MONSIEUR PAPA (1977)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 9/20

  Une oeuvre sans réelle consistance.
• L'HISTOIRE DU JAPON RACONTEE PAR UNE HOTESSE DE BAR (1970)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Excellent travail, superbement maîtrisé, d'une indéniable honnêteté idéologique.
• LE SCANDALE (1966)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 12/20

  Claude Chabrol et le début de sa récurrente introspection du microcosme bourgeois où, derrière le clinquant du devoir et des apparences, grouillent d'insondables noirceurs que notre réalisateur affectionne de stigmatiser.
• F/X EFFET DE CHOC (1985)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Parfaitement maîtrisée, d'un dynamisme époustouflant, une oeuvre qui allie originalité, suspense et humour, avec un Bryan Brown étonnant.
• LES AVENTURES D'ARSÈNE LUPIN (1956)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Sympathique distraction, souvent prenante, qui n'a pris aucune ride.
• IN EXTREMIS (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Un premier film franco-suisse qui ne manque ni de charme ni d'intérêt, sur la thématique du romantisme désespéré, ayant suscité d'injustes et violents détracteurs.
• GUERRE ET PAIX (1955)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Le faste et la splendeur d'une production de Dino de Laurentiis.
• LA PASSERELLE (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 11/20

  Une œuvre cinématographique simplement correcte où le comédien Pierre Arditi tire honnêtement son épingle d'un "jeu" dangereux, sans pour autant nous séduire.
• L'EMPRISE (1981)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Une réalisation correcte, d'un metteur en scène quelquefois étonnant, souvent fort prenante qui procure un agréable divertissement frissonnant.
• RIO ZONE (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 12/20

  Une oeuvre brésilienne pas toujours maîtrisée qui s'égare souvent dans de trop nombreuses ponctuations inutiles voire faciles.
• NETWORK (1976)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 12/20

  Une méchante caricature / diatribe contre l'hypocrite milieu d'une chaîne de TV américaine, au grotesque quelquefois outrancier, hélas pas toujours maîtrisée.
• ESCALIER INTERDIT (1968)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Excellente étude du milieu scolaire entre réalisme et théâtralité confirmant le talent de Robert Mulligan qui de film en film nous interpelle et nous séduit.
• L'EMPREINTE DE FRANKENSTEIN (1964)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 13/20

  Hammer for ever !
• COULEZ LE BISMARCK ! (1959)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 12/20

  Oeuvre semi-documentaire sur un fait historique qui est fort convaincante dans sa partie "maritime" et bien plus hésitante dans ses séquences "psychologiques".
• UN ETE AMERICAIN (1968)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 11/20

  Une juste approche visuelle, documentaire et sociologique d'une époque à travers la vision d'un réalisateur dans laquelle on sent l'homme qui ne craint pas de s'engager.
• MEURTRE (1930)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Déjà fort jouissif et convaincant !
• LES PATRES DU DESORDRE (1967)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 16/20

  Bouleversant drame social et humain porté par une éblouissante mise en scène.
• QUELQUES JOURS AVEC MOI (1987)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Quelques scènes parfaitement réussies qui égratignent en passant une certaine bourgeoisie de province, pour un film qui mérite une juste considération.
• L'INTREPIDE (1975)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Sur le principe de l'enchaînement de quiproquos, une "oeuvre" déjà oubliée.
• MADAME DU BARRY (1934)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 12/20

  Une oeuvre honnête, historique, d'un grand réalisateur souvent dénié, qui mérite une rapide redécouverte et une totale réhabilitation.
• SUGARLAND EXPRESS (1973)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 15/20

  Du fort bon travail !
• DON CAMILLO (1983)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 7/20

  Version "modernisée" des homériques aventures des personnages de Giovanni Guareschi qui n'éclipse en rien celles bien plus drôles, avec Fernandel et Gino Cervi.
• RUDE JOURNÉE POUR LA REINE (1973)
  Critique CF

  Voir -->

  +

  -

  Note : 14/20

  Sur l'imaginaire dévoyé tout droit issu des romans-photos et de la littérature people, une oeuvre intéressante et courageuse, un peu bancale dans sa double stratification scénaristique qui oscille sans cesse entre une histoire diptyque, à la limite de la confusion, et une permanente mise en exergue et en dénonciation, d'une solide aliénation personnelle magistralement endossée par Simone Signoret.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)