Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 47 films notés

Page 29 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LA MULE (2018)
    Note : 15/20
    Toujours présent et vaillant, aussi bien derrière la caméra que devant l'objectif, après plus d'une soixantaine de longs métrages à son actif, notre sympathique grognard du 7e Art, nous propose à nouveau une œuvre fort bien maîtrisée emprunte d'un discret narcissisme de bon aloi et d'un étonnant dynamisme hors d'âge.
  • CONJURING : LES DOSSIERS WARREN (2012)
    Note : 12/20
    Arguant benoitement sur la véracité (supposée) de l'histoire pour donner un peu plus de poids et d'angoisse à son scénario, le réalisateur James Wang nous propose une convenue panoplie de l'imagerie du genre "maisons hantées, exorcisme et sorcellerie" sans spectaculaire innovation dans le traitement de la dramaturgie fantastique ni réflexion sur les liens supposés ou plausibles avec un passé traumatisant ou des perturbations psychologiques occultées.
  • L'ASSASSINAT DU DUC DE GUISE (1908)
    Note : 14/20
    Plutôt étonnant pour l'époque !
  • ONCLE MOUSTACHE (1969)
    Note : 14/20
    Petite histoire intemporelle et charmante.
  • SHOES (1916)
    Note : 16/20
    Une œuvre de qualité, dénonciatrice et féministe.
  • L'ORGIE DES VAMPIRES (1964)
    Note : 6/20
    Quelques très rares scènes supportables, réalisées par un obscur tâcheron transalpin, dans un océan de bêtise et de médiocrité, entre hystérie dansée et incongruité scénaristique, chemisettes, nuisettes et galipettes en permanence.
  • THE COUNTY FAIR (1920)
    Note : 14/20
    L'exemple parfait d'un film bienvenu, chaleureusement accueilli dans les cœurs et les chaumières, auquel on attribue sans hésitation les termes définitifs de "mignon" "gentil" et "gracieux" avec son scénario bon enfant et sa classique morale positive.
  • L'AMOUR MONSTRE DE TOUS LES TEMPS (1977)
    Note : 13/20
    On pense aux créatures de l'Enfer de Dante.
  • LA BOURSE OU LA VIE (1961)
    Note : 11/20
    Rien de vraiment transcendant !
  • ALABAMA MONROE (2012)
    Note : 16/20
    D'une intelligente construction séquentielle, imbriquant avec doigté et rigueur, le présent et le passé, avec un accompagnement musical et vocal d'une rare pertinence, à l'image de ces choeurs antiques qui ponctuent ou complètent une histoire, une oeuvre mélodramatique d'une évidente sympathie qui égratigne avec justesse et rigueur les culs bénits de la politique et les charlatans de la religion.
  • SOUS-SOLS (2014)
    Note : 15/20
    Avec sa sympathique roublardise usuelle, l'étonnant et détonant cinéaste viennois nous propose une nouvelle radiographie excavatrice et salutaire de quelques manies et autres démangeaisons voire déviances de quelques spécimens de nos congénères desquels, à bien regarder, nous sommes quelquefois d'une inquiétante proximité.
  • MOTION PICTURE (LA SORTIE DES OUVRIERS DE L'USINE LUMIÈRE À LYON) (1984)
    Note : 3/20
    Sans aucun intérêt ni trouvaille !
  • LA MAISON EST NOIRE (1962)
    Note : 17/20
    D'une puissance et d'une tristesse infinies !
  • DESTINATION MURDER (1950)
    Note : 14/20
    Petit film noir bienvenu comme sait les mitonner (quelquefois) Edward L. Cahn, avec des personnages féminins plutôt niais ou falots et quelques représentants de la gent masculine perturbés et ambivalents, dont la rouerie et la perfidie individuelle fomentent inévitablement de violents et mortels règlements de comptes.
  • FILLE D'ECOSSE (1917)
    Note : 11/20
    D'une durée bien trop longue pour une intrigue aussi ténue, avec les inévitables et inutiles digressions (les cannibales, la fête foraine) pour meubler le déroulement de l'histoire, une œuvre de Maurice Tourneur qui s'oublie sans effort.
  • THE HEISTERS (1964)
    Note : 8/20
    Cela se voudrait humoristique et déjanté, ce n'est que dérisoire et stupide.
  • LA PERLE (1929)
    Note : 16/20
    Etonnant de fantaisie et d'originalité !
  • UNE PLACE SUR LA TERRE (2013)
    Note : 14/20
    Y voir comme certains, une tangible représentation de la relation amicale entre un homme et une femme, me paraît manquer d'ouverture, d'honnêteté et d'impartialité. En effet la complicité et la proximité entre Elena et Antoine, à des degrés divers, essentiellement du côté masculin, ont une teneur affective plus proche du sentiment amoureux non partagé, difficilement sublimé et en grande partie ignoré par la jeune femme. Après cette mise au point liminaire, on reconnaîtra une évidente, voire indéniable qualité d'interprétation des deux acteurs principaux et une parfaite pertinence de la réalisatrice dans sa corrosive peinture, de film en film, des itératives difficultés relationnelles, dans le couple, la famille, l'entreprise.
  • L'OISEAU BLEU (1918)
    Note : 14/20
    Adaptation réussie d'un célèbre récit pour enfants paru en pièce de théâtre de six actes et douze tableaux, écrite par l'étonnant écrivain belge Maurice Maeterlinck, prix Nobel de littérature en 1911, merveilleux petit conte bienveillant et bienvenu.
  • LE COMMUNIANT (1934)
    Note : 15/20
    Qui connait les habituels et farfelus comportements du fameux duo Valentin / Karlstadt, ne peut que se réjouir de cette nouvelle et tonitruante confrontation de nos personnages avec le milieu bourgeois, guère épargné par la verte diatribe.
  • MONSIEUR FANTÔMAS (1937)
    Une rareté cinématographique !
  • LA DANZA DE LA REALIDAD (2013)
    Note : 16/20
    Un foisonnement d'images étonnantes et de séquences tonitruantes, quelquefois incongrues et hasardeuses, d'une étonnante richesse d'invention et de créativité, d'un jeune homme de quatre-vingt-quatre printemps qui reste avant tout un percutant hymne obstiné et courageux à la liberté et à l'imagination.
  • EROS (1960)
    Note : 9/20
    Sans intérêt et prétentieux !
  • CREEPY (2016)
    Note : 15/20
    On retrouve avec un certain bonheur toute l'atmosphère envoûtante et tortueuse des habituels scénarii du fameux réalisateur nippon, avec toutefois un net bémol quant à l'équilibre et l'homogénéité de l'histoire, adaptée d'un roman bien plus long et plus touffu dans son déroulement livresque, nous laissant interrogateur et dubitatif.
  • UN GRAND VOYAGE VERS LA NUIT (2018)
    Note : 17/20
    Un classique résumé scénaristique s'avère vain et désuet tant les interférences entre récit verbal (souvent en voix-off) et narration visuelle se croisent, se heurtent ou se complémentent dans une conjonction presque en permanence décalée et perméable entre onirisme incontrôlé, lointaine réminiscence et tangible réalité du moment, sans cesse en immersion dans des strates émotionnelles en latence ou en effervescence.
  • CHARLOT USURIER (1916)
    Note : 16/20
    Avec la mémorable scène de Charlot auscultant vigoureusement un réveil !
  • CEMETERY OF SPLENDOUR (2015)
    Note : 12/20
    A lire ainsi le scénario, on ne peut qu'être séduit par une forme de poésie éthérée, à la frontière du fantastique et des croyances, aux confins de l'évidence et de la sobriété, une mise à nu de l'humain, de ses possibles dérives et de ses fugaces éblouissements. Mais notre réalisateur ne se contente pas de gérer ces lancinances existentielles et vaporeuses, il charge sa barque thaïlandaise de pesantes considérations incongrues, à connotations vaguement bouddhistes, perlées de résonances ésotériques qui ne peuvent que trouver un écho extatique chez certains critiques ébaubis et subjugués par leurs éblouissants discernements cinématographiques.
  • LESSON OF THE EVIL (2012)
    Note : 15/20
    Comme à sa spécifique et sanglante habitude, notre metteur en scène nippon, le percutant Takashi Miike, s'est lancé à nouveau dans une démonstrative furia de violence et de mort, avec une maîtrise certaine dans la perversion teintée de sournoise dissimulation et de surabondance gore, pour une efficacité et un succès évidents.
  • XXY (2007)
    Note : 15/20
    Premier long métrage d'une jeune réalisatrice de Buenos Aires qui fut primé dans de nombreux festivals et consacré par maintes distinctions dans son propre pays, aussi bien pour l'efficace traitement de son émouvant et délicat sujet humain et sociétal que pour l'étonnante prestation de la jeune actrice principale, Inés Efron.
  • CHEAP THRILLS (2013)
    Note : 14/20
    Même si les épreuves et la tension vont crescendo, on reste un peu enfermé, voire coincé dans les rails balisés du scénario, menant vers un inéluctable dénouement largement prévisible. Pour notre part, nous aurions fort bien vu, en épilogue absurde et pseudo-moral, que tout cet argent distribué, gagné, amassé, se révèle finalement au matin, devant un anodin guichet bancaire, être des faux-billets.
  • LA VIE AQUATIQUE (2004)
    Note : 15/20
    Une nouvelle plongée bienheureuse et bienvenue dans le monde farfelu et déjanté de l'inventif et fécond metteur en scène Wes Anderson, qui de film en film, nous concocte un univers particulier, entre extraordinaire bande-dessinée, suave poésie surnaturaliste et lucide radiographie des fêlures et des carences de la nature humaine.
  • ASHES (2012)
    Un homme qui promène son chien, un imposant porc qui aimerait sortir de son enclos, une femme qui se peint les ongles des pieds, une manifestation protestataire, un spectaculaire feu d'artifice, le tout filmé avec moult solarisation et une fragmentation de l'image cadencée, pour nous faire savoir que si cette prise de vue est aussi désordonnée et foutraque, c'est qu'elle est la résultante et la transposition d'un rêve ! Notre Godard asiatique a encore frappé !
  • LE JOUR DE LA VICTOIRE (2018)
    Note : 9/20
    Une réalisation documentaire qui laisse perplexe et désappointé, soutenu par aucun commentaire, sans esprit critique et d'une banale platitude dans sa réalisation.
  • VIC + FLO ONT VU UN OURS (2013)
    Note : 15/20
    Une nouvelle réalisation de la coqueluche Denis Côté, ce jeune metteur en scène canadien souvent encensé aux quatre coins de la planète, dans bien des festivals de cinéma, laissant dans un premier temps, bien des spectateurs dubitatifs et perplexes, par son récit anachronique et ténu, d'un intérêt cinématographique a priori discutable, qui finalement, avec le temps et une certaine maturation émotionnelle, intensifie sa discrète prégnance pour devenir peu à peu, solidement présente, imposante et acérée comme les crocs métalliques d'un radical piège à ours.
  • LES CHANSONS QUE MES FRERES M'ONT APPRISES (2015)
    Note : 16/20
    Sans pathos inutile ou lourdement démonstratif quant à l'ancestrale et récurrente problématique indienne face à l'alcool, le film s'attache surtout à la souveraine complicité entre cette affable et pondérée gamine de douze ans et son grand frère, protecteur et responsable. Et c'est bien cette proximité fraternelle, intangible et diffuse à la fois, qui est mise en affectueux exergue, par delà les vicissitudes et les banalités du quotidien, loin des rixes, des trafics et des rodéos, finalement bien secondaires.
  • YUCATAN (1960)
    Une fascinante histoire loin d'être entièrement dévoilée.
  • THE ENDLESS FILM (2018)
    Note : 6/20
    Dans le genre, on a vu mieux, bien mieux et d'une autre qualité associative que cet insipide collage cafardeux, minable et prétentieux. Rien que de conserver parfois l'amorce d'un film, montre à quel point le réalisateur et son monteur témoignent une forme de viduité dans l'élaboration de son projet et de mépris pour le spectateur.
  • AUX MAINS DES HOMMES (2013)
    Note : 17/20
    Agencée en trois parties axiomatiques (la foi, l'amour, l'espérance) cette première oeuvre d'une jeune réalisatrice allemande, parfaitement maîtrisée dans son abomination même, s'invite et s'installe dans la cour des grands moralistes du 7e Art, du côté des Seidl, Haneke et autre Pasolini, avec une froide et cinglante détermination et un outrageux jusqu'au-boutisme percutant et déstabilisateur, aux frontières ultimes d'une vicieuse et monstrueuse perversité manipulant chez la victime une croyance et une foi maladives assujetties au mysticisme et au martyre, induites par de puissantes et malsaines pulsions masochistes ignorées.
  • PARANOÏA PARK (2014)
    Note : 13/20
    D'une subtile et frissonnante perversité scénaristique, agrémentée d'un double twist final qui détricote et recompose avec délectation la narration, cette œuvre tournée en une journée, essentiellement caméra sur l'épaule, a aussi quelques modestes faiblesses rédhibitoires, inhérentes à son style et la brièveté de son tournage, des invraisemblances et des approximations dans le déroulement de l'intrigue.
  • LE CALVAIRE DE LUCIOLE (1917)
    Note : 17/20
    Découvert lors d'une rétrospective consacrée au metteur en scène transalpin Augusto Genina, organisée par le 31e festival "Il Cinema Ritrovato" de Bologne, ce splendide mélodrame sanctifie surtout la puissante interprétation de l'actrice Fernanda Negri Pouget dans le rôle-titre et l'incroyable maîtrise du cinéaste dans la description minutieuse et réaliste de deux univers sociétaux diamétralement opposés.
  • SIX ET DEMI, ONZE (1927)
    Note : 15/20
    Histoires sentimentales à connotation mélodramatique qui permettent au réalisateur quelques bienvenues innovations et digressions techniques parsemant le récit d'une tonalité et d'une atmosphère à la lisière du rêve voire du fantastique.
  • 7 BOXES (2012)
    Note : 16/20
    Projeté au 6e Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, ce petit film sud-américain est un vrai bonheur cinématographique, d'une constante habileté scénaristique, d'un humour pétillant et roboratif qui donne envie de mieux connaître la filmographie de ces deux réalisateurs inconnus dans l'hexagone et qui nous soulage des milliers de kilomètres de pellicule médiocre visionnés chaque année.
  • JANKO LE MUSICIEN (1930)
    Note : 17/20
    Un rare et précieux bonheur cinématographique délivré par le 35e festival du film muet de Pordenone lors de la projection de cette oeuvre étonnante et bouleversante de finesse et de poésie avec un jeune acteur époustouflant de présence et de naturel, petit archange émouvant et pertinent et une poignée d'acteurs d'une rayonnante conviction.
  • LE PIEGE (1917)
    Note : 16/20
    Une extrême rareté que cette œuvre étonnante de sensualité et de finesse du grand Frank Borzage, dont c'est déjà le sixième long métrage, offerte aux spectateurs subjugués de la 31e édition du festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne (2017) avec une actrice adolescente, Pauline Starke, débordante de présence et de conviction.
  • FLEUVE NOIR (2018)
    Note : 15/20
    Après une longue absence (dix ans) de la création cinématographique, le réalisateur Erick Zonca nous revient avec ce même magistral savoir-faire et cette même fine dextérité scénaristique qui lui valurent l'appréciation unanime et inconditionnelle du public et des critiques pour l'ensemble de ses rares œuvres précédentes.
  • THE STATION (2013)
    Note : 16/20
    Second long métrage d'un efficace réalisateur autrichien qui nous avait déjà séduit dans le passé, s'intégrant magnifiquement, toutes chromatiques et griffes dehors, dans ce courant cinématographique de plus en plus à la mode et à la dénonciation, le film d'horreur écologique. Une oeuvre puissante et inquiétante à la fois qui distille bien des interrogations sur les insoupçonnées conséquences du réchauffement climatique et des inéluctables mutations qui en résultent. On regrettera juste une fin aux forceps, un peu lourde et téléguidée, à la vagissante présence inutile et surnuméraire.
  • THEY LOOK LIKE PEOPLE (2015)
    Note : 7/20
    Un premier long métrage (qu'on espère le dernier) d'une extraordinaire platitude doublée d'une lénifiante monotonie, ne laissant jamais planer une quelconque ambivalence entre folie du personnage et dimension plus fantastique de l'histoire, se perdant dans un régulier clair-obscur de l'image pour tenter de dissimuler sa propre viduité scénaristique qui fait fuir les rares spectateurs bien avant la fin de la séance.
  • FROM WHAT IS BEFORE (2014)
    Note : 17/20
    Comme des graminées éparses au vent mauvais ou ces tableaux pointillistes au dévoilement progressif, le réalisateur philippin nous montre une réalité faussement surnaturelle qui cache et occulte de gênantes vérités qui sont adroitement dissimulées, comme la vraie nature de cette fallacieuse vendeuse ambulante, qui fouille discrètement les habitations, en réalité un officier féminin de l'armée, camouflé.
  • ORAMUNDE (1933)
    Note : 14/20
    Sur le thème de Mélisande, un court métrage avant-gardiste qui minimalise décors et personnages donnant à l'ensemble une dimension fantastique évidente.
  • GOLDEN GLOVES (1961)
    Note : 14/20
    Signifiant documentaire à la fois sur les coulisses de la boxe et quelques uns des compétiteurs présents avec une indéniable justesse de ton sur l'ambiance des salles d'entraînement, l'atmosphère particulière des rings et les récurrents espoirs de victoire et de trophée. Au débit du court métrage, on mettra l'omission pour sa distribution internationale, d'un sous-titrage adéquat du français québécois, dont la saveur et le fleuri sont quelquefois fort éloignés d'une compréhension spontanée.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
AUX MAINS DES HOMMES (2013) 17
JANKO LE MUSICIEN (1930) 17
LE CALVAIRE DE LUCIOLE (1917) 17
FROM WHAT IS BEFORE (2014) 17
LA MAISON EST NOIRE (1962) 17
UN GRAND VOYAGE VERS LA NUIT (2018) 17
ALABAMA MONROE (2012) 16
LA DANZA DE LA REALIDAD (2013) 16
CHARLOT USURIER (1916) 16
7 BOXES (2012) 16
THE STATION (2013) 16
LES CHANSONS QUE MES FRERES M'ONT APPRISES (2015) 16
LE PIEGE (1917) 16
SHOES (1916) 16
LA PERLE (1929) 16
VIC + FLO ONT VU UN OURS (2013) 15
SOUS-SOLS (2014) 15
LA VIE AQUATIQUE (2004) 15
LE COMMUNIANT (1934) 15
CREEPY (2016) 15
LESSON OF THE EVIL (2012) 15
LA MULE (2018) 15
XXY (2007) 15
SIX ET DEMI, ONZE (1927) 15
FLEUVE NOIR (2018) 15
DESTINATION MURDER (1950) 14
UNE PLACE SUR LA TERRE (2013) 14
CHEAP THRILLS (2013) 14
GOLDEN GLOVES (1961) 14
L'ASSASSINAT DU DUC DE GUISE (1908) 14
THE COUNTY FAIR (1920) 14
L'OISEAU BLEU (1918) 14
ONCLE MOUSTACHE (1969) 14
ORAMUNDE (1933) 14
PARANOÏA PARK (2014) 13
L'AMOUR MONSTRE DE TOUS LES TEMPS (1977) 13
CONJURING : LES DOSSIERS WARREN (2012) 12
CEMETERY OF SPLENDOUR (2015) 12
FILLE D'ECOSSE (1917) 11
LA BOURSE OU LA VIE (1961) 11
EROS (1960) 9
LE JOUR DE LA VICTOIRE (2018) 9
THE HEISTERS (1964) 8
THEY LOOK LIKE PEOPLE (2015) 7
L'ORGIE DES VAMPIRES (1964) 6
THE ENDLESS FILM (2018) 6
MOTION PICTURE (LA SORTIE DES OUVRIERS DE L'USINE LUMIÈRE À LYON) (1984) 3