• PARFAIT AMOUR ! (1995)
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  Note : 16/20

  Du cinéma "tripal" d'une profonde crudité existentielle !
• ICE STORM (1997)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un roman et un film de qualité.
• MRS. DALLOWAY (1997)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Dommage, mais la réalisatrice a bien du mal à restituer la complexité poétique de l'oeuvre de Virginia Woolf malgré une remarquable prestation de Vanessa Redgrave.
• MA SOEUR ET MOI (1957)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une suite au film "Pauvres, mais beaux" du même réalisateur, considéré comme une oeuvre gentille, qui se regarde sans ennui et sans déplaisir.
• AU REVOIR À JAMAIS (1996)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Petit polar plutôt sympathique qui se regarde sans aucun déplaisir.
• ENNEMIS RAPPROCHES (1997)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Dernière oeuvre (sympathique) du metteur en scène d'Alan Pakula qui déçoit rarement, malgré un académisme sans surprise qui s'attache plus à décrire les liens d'amitié naissant que ceux existants du conflit historique.
• SICK (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un documentaire solide, à déconseiller aux âmes sensibles, mais qui explore sans retenue son sujet jusque dans ses plus extrêmes limites. Perturbant.
• THE EXTRA GIRL (1923)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Pour la présence de Mabel Normand.
• BLOOD AND WINE (1996)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une oeuvre mineure du réalisateur.
• NI D'ÈVE NI D'ADAM (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Premier long métrage d'un réalisateur à suivre.
• LA DERNIÈRE PREUVE (1998)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Hélas, "La dernière preuve" ne sera pas encore le dernier film réalisé par Randal Kleiser, ni la dernière épreuve pour le spectateur débité.
• LE DERNIER MARIAGE (1995)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Toute la brutale noirceur d'un cinéma finlandais prépondérant.
• TESIS (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un réalisateur hispanique à suivre.
• SECRETS DU COEUR (1996)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Si les acteurs sont presque parfaits, la réalisation n'arrive pas à dépasser un certain académisme qui empêche le film de vraiment décoller.
• LES ANNÉES REBELLES (1997)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  En dépit d'un casting attrayant, le film s'avère bien peu intéressant et sombre dans l'évocation nostalgique d'une époque révolue sans jamais parvenir à retenir l'attention du spectateur. L'écriture et la mise en scène, surtout, paraissent particulièrement décevantes.
• JE SUIS UN ÉLÉPHANT MADAME (1968)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Cette oeuvre longtemps inédite de Peter Zadek, qui fut censurée lors de sa première diffusion sur une chaîne de télévision allemande et sifflée au festival de Berlin, essaye de dresser un tableau réaliste entre des positions extrêmes à travers une crise de société, ne déniant pas une certaine provocation, quelquefois facile, prenant la forme d'un manifeste à connotation pamphlétaire.
• LES DOCKERS DE LIVERPOOL (1996)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une superbe leçon politique !
• STAR TREK PREMIER CONTACT (1996)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Aussi complexe et plaisant que la nouvelle formule de l'ancestrale série télévisée.
• NO SKIN OFF MY ASS (1990)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une bonne dose d'humour et de provocation gérée avec malice par le futur cinéaste du cultissime "Hustler White", dont c'était tout de même déjà la septième réalisation.
• SALADIN (1963)
  Critique CF

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  Excellente oeuvre historique !
• LE PATIENT ANGLAIS (1996)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Pas de quoi susciter un intérêt cinématographique quelconque.
• LA CIBLE (1996)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  On retiendra surtout l'excellente prestation du fringant Hippolyte Girardot en truand déjanté et par ordre décroissant, Daniel Russo, Jean-Claude Dreyfus, Anémone et Bernard Rosselli, chacun dans des interprétations "ciblées", pour un ensemble cinématographique, certes plaisant, mais tournant souvent à vide.
• TABLE BAY (1964)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Rien à retenir de cette pochade, certainement alimentaire pour Lex Barke.
• CHARLIE CHAN À HONOLULU (1939)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Toujours aussi bienvenu !
• PORT DJEMA (1996)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Une oeuvre marquante à découvrir de toute urgence.
• LE PARI (1997)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  C'est plutôt gentillet et quelque peu sympathique comme de nombreuses prestations similaires de Bernard Campan et Didier Bourdon.
• FACE (1997)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une réalisation honnête pour un jeu d'acteurs de qualité.
• BÊTE DE SCÈNE (1994)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  C'est sans intérêt, prétentieux et parfaitement inutile.
• L'AGENT SECRET (1996)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Cela s'oublie très vite !
• BOX OF MOONLIGHT (1996)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Malgré des scènes d'exposition peu inventives, le film finit par emporter l'adhésion du spectateur grâce à l'interpretation de John Turturro et Sam Rockwell.
• LE PLUS FOU DES DEUX (1997)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Pour le physique des actrices !
• RIDICULE (1995)
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  Note : 16/20

  Une excellente peinture d'époque qui harponne efficacement l'hypocrisie et la déchéance d'une caste d'insupportables et vaniteux privilégiés.
• KILLER : JOURNAL D'UN ASSASSIN (1995)
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  Note : 10/20

  Pas de quoi s'évader !
• TÊTES DE PAPIER (1995)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  C'est effectivement avec un sourire narquois et grinçant que l'on songe à certains de nos proches ou lointaines connaissances qui dans les années 70 prônaient, avec une farouche conviction et une périlleuse ignorance, l'exemplarité des pays de l'Est, face à un capitalisme qui ne leur laissait que des miettes.
• THE HOLE (1997)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Le metteur en scène taïwanais Tsai Ming-Liang poursuit dans la voie annoncée par ses premiers films et, même si cette fois les redites sont nombreuses, il nous livre à nouveau une oeuvre maîtrisée, inquiétante et complexe.
• AU-DELA DES LOIS (1996)
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  Note : 8/20

  Une oeuvre quelconque, banale, sur mesure et de plus, lourdement ennuyeuse.
• MATILDA (1996)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Danny de Vito derrière la caméra, plutôt une agréable surprise !
• CAMPING COSMOS (1996)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Quelques rares scènes d'un véritable humour original et savoureux, sous des tombereaux de facilité et de platitude, ponctuée de citations incongrues, qui se veulent surréalistes ou subversives, du genre et du niveau : "La femme est mystérieuse comme la vache" ou "Le cinéma est un anus artificiel", l'ensemble agrémenté de déplacées citations ou de lectures hasardeuses de Brecht, Breton, Claudel, Sartre, Vaneigem, une oeuvre bancale, souvent lourde et répétitive, dans laquelle seul l'incontournable Noël Godin hélas bridé dans son habituel déchaînement iconoclaste, vaut le balnéaire séjour.
• PERCHE SI UCCIDE UN MAGISTRATO ? (1974)
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  Note : 11/20

  De loin pas le meilleur film "politique" de Damiano Damiani, mais une oeuvre non négligeable, dans sa solide dénonciation des milieux mafieux et factieux.
• LE HUITIÈME JOUR (1995)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  On reprochera, avec raison, au film, un pathos savamment distillé, mais le résultat est tout de même probant, de là à récompenser l'interprétation par un prix cannois.
• MIDDLE OF THE MOMENT (1995)
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  Tourné en partie parmi les nomades du Sud-Sahara, ce film sans paroles, instants de grâce où le temps retient son souffle, est un poème sublime et splendide, hommage à la beauté de la vie et de l'instant qui la constitue. Cela nous change de bien des médiocrités cinématographiques qui empèsent nos écrans pollués.
• LA RUE CHAUDE (1962)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une sulfureuse atmosphère à la "Tennessee Williams" pour une oeuvre somme toute intéressante, malgré certaines longueurs, dont on retiendra surtout les excellents génériques félins de début et de fin conçus par l'incontournable et génial Saul Bass.
• AMOUR ET MORT A LONG ISLAND (1997)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Sans intérêt décelable.
• LES MASSACREURS DU KANSAS (1953)
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  Randolph Scott est égal à lui-même et Claire Trevor, une sympathique beauté.
• HAMSUN (1996)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  De ce séduisant film-fleuve de presque trois heures, nous retiendrons avant tout l'étonnante et formidable interprétation de Max von Sydow, incarnant avec un immense talent et une puissante maestria, l'incontournable et fougueux écrivain norvégien, dont les paradoxales prises de position politiques firent scandale, bien au-delà des restreintes sphères littéraires et nordiques. A mettre aussi au crédit de l'oeuvre, un scrupuleux respect de la vérité historique et chronologique.
• PO DI SANGUI (1996)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Art cinématographique et lointaines traditions ethnographiques.
• J'AI EPOUSE UN MONSTRE (1958)
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  Note : 9/20

  Pas de quoi s'affoler dans ce piètre film SF de série et de petite envergure.
• UN HEROS TRÈS DISCRET (1996)
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  Note : 14/20

  Second long métrage d'un réalisateur toujours intéressant à suivre.
• HARRY ET SONIA (1996)
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  Note : 15/20

  Un réalisateur suédois qui nous a toujours intéressé, quelquefois même séduit.
• DANS L'OMBRE DE MANHATTAN (1997)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Du Sidney Lumet haut de gamme !

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)