Septième long métrage d'Akira Kurosawa qui, malgré une séquence finale dans l'amphithéâtre désert, sous les rafales d'un vent tenace, d'une excessive et inutile longueur, lestée de quelques scènes lourdement répétitives et surnuméraires, déroule une agréable histoire d'une infinie tendresse, qui par bien des côtés rappelle, avec bonheur et luminosité, certains personnages inoubliables des films de Frank Capra.