Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 18 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LES NERFS À VIF (1919)
    Note : 15/20
    Une oeuvre peu connue dans la fastueuse filmographie du cinéma muet allemand qui par les étonnantes scènes de délire psychologique d'un des principaux personnages du film, préfigure avec efficacité et pertinence l'émergence dans les prochaines années du subjuguant mouvement expressionniste.
  • AMERICAN BURGER (2014)
    Note : 1/20
    Le degré zéro de la production cinématographique suédoise, d'une confondante bêtise abyssale qui tente de faire rire avec de pseudos gags tombant à plat systématiquement et dont on cherche vainement un soupçon d'intérêt, ne fusse qu'un petit instant sur les 4680 secondes que dure l'affligeante projection.
  • KIN-DZA-DZA (1986)
    Note : 15/20
    Une rare production soviétique loufoque et barjo, entre pataphysique délirante et science-fiction hybride, avec des élancées hilarantes et grotesques pour des incongruités en enfilade, (im)pertinents et naïfs reflets de nos sociétés actuelles.
  • GASMAN (1998)
    Note : 15/20
    Sans paroles ni digressions superflues !
  • LES DESHÉRITÉS DE LA VIE (1925)
    Note : 15/20
    C'est avec constance et opiniâtreté que l'excellent réalisateur allemand, Gerhard Lamprecht, continue son travail de mise à nu et de dénonciation de certaines scandaleuses conditions de survie et d'existence désastreuse d'une partie de la collectivité, laissant toute une frange de la population, le lumpenprolétariat, dans une situation de paupérisation permanente menant à toutes les lamentables extrémités.
  • FRITZ BAUER, UN HEROS ALLEMAND (2015)
    Note : 15/20
    Une mise en vérité et en lumière des cruciales contributions d'un homme inconnu du grand public, dans sa permanente lutte pour la dénazification de son pays, interprété avec force et conviction par un grand acteur, Burghart Klaussner.
  • LE BONHOMME DE NEIGE (2015)
    Note : 9/20
    Sans mettre en cause l'interprétation des principaux acteurs, sobrement investis dans leurs personnages, on ne peut que constater la triste nullité de l'ensemble, en incriminant un montage désastreux, un terrible manquement scénaristique, d'incompréhensibles raccourcis, pour ce qui aurait pu devenir une référence du film noir réussi avec comme départ et support un magnifique roman scandinave de Jo Nesbo, hélas totalement galvaudé. En conséquence, le spectateur peut tranquillement se contenter de la trompeuse bande-annonce parfaitement réussie.
  • FOTOGRAF (1997)
    Note : 13/20
    Un sujet qui se prêtait à un plus de poésie.
  • IRON SKY (2012)
    Note : 14/20
    Sur un scénario délirant, n'hésitant sur aucune incongruité ni démesure cinématographiques et malgré un dernier quart d'heure moins maîtrisé et plus hésitant, une œuvre bienvenue dans sa verve iconoclaste et son énormité débordante où les gags et les clins d'œil jouissifs se suivent et s'accumulent avec un réel bonheur.
  • SOEURS DE SCENE (1964)
    Note : 15/20
    Construit sur un scénario entièrement original, une situation rare et plutôt exceptionnelle à l'époque où l'on prônait systématiquement l'adaptation littéraire ou théâtrale, cette intéressante œuvre cinématographique, qui baisse un peu d'intensité et d'intérêt dans sa seconde partie, reste d'une admirable beauté visuelle et plastique.
  • 12 JOURS (2017)
    Note : 15/20
    Finalement peu importe le délire verbal ou le dérapage relationnel, il reste à chaque fois audible, même en sourdine et en catimini, une humanité présente, certes en balbutiements et en souffrance, qui mérite plus que notre écoute et notre attention, une part de respect face aux immanquables douleurs et à l'indicible détresse permanente.
  • AU REVOIR LÀ-HAUT (2017)
    Note : 16/20
    Une des excellentes surprises de l'année cinématographique 2017 que ce sixième long métrage de l'acteur / réalisateur Albert Dupontel qui maîtrise à la perfection, un scénario dense et intense, orchestrant avec une évidente efficacité l'interprétation des principaux acteurs, tous remarquables d'authenticité et de transcendance.
  • WAKE WOOD (2010)
    Note : 10/20
    Malgré une intéressante et réussie mise en place d'une atmosphère fantastique à connotation magique et celtique, l'oeuvre perd peu à peu son relatif intérêt durant son médiocre et stupide dernier quart d'heure, d'une lamentable insignifiance.
  • L'ÉTERNEL PROBLÈME (1928)
    Note : 16/20
    Entre brillante et universelle comédie des mœurs et scintillant mélodrame en émouvant filigrane, cette excellente création cinématographique se démarque de bien des productions de l'époque, par son parti pris de faire de l'humour avec du tragique et du dramatique avec légèreté, soutenue par un acteur étonnant de simplicité et de conviction, le convaincant Jean Hersholt, à la filmographie exceptionnelle.
  • LA VILLA (2017)
    Note : 16/20
    Sur la thématique consensuelle et fédérative des retrouvailles, avec comme clé de voûte, une spacieuse maison construite dans un esprit communautaire et libertaire par l'ensemble des protagonistes, Robert Guédiguian nous livre une œuvre-somme qui met en exergue toutes ses notions de convivialité et de fraternité dont le sens et la pratique semblent de plus en plus anachroniques et tristement désuets aujourd'hui.
  • LES ENQUETES DU DEPARTEMENT V : DOSSIER 64 (2018)
    Note : 15/20
    Quatrième opus d'une série policière d'origine danoise toujours plaisante et prenante, cornaquée par deux acteurs importants de la filmographie nordique qui laisse un souvenir agréable et convaincant et dont on attend une nouvelle prolongation.
  • CALL GIRL (2012)
    Note : 11/20
    Oeuvre souvent pesante et soporifique, bien trop longue et trop lente dans sa progression scénaristique, dont nous ne retiendrons que l'excellente prestation de Pernilla August, une grande et pertinente actrice suédoise.
  • EVA NE DORT PAS (2015)
    Note : 17/20
    En préambule, une fascinante séquence introductive, donnant le ton général de l'œuvre, un adroit et subtil mélange des genres agrégeant le politique, la fiction, le documentaire, traversé par les formes variées et sophistiquées du lyrisme, du symbolique, de l'outrance, du théâtral et du grotesque. Une puissante réussite cinématographique qui augure bien du bonheur pour les prochaines réalisations de ce metteur en scène étonnant, distingué au festival international du film d'Amiens (2015).
  • CROSSBOW (2007)
    Note : 16/20
    Un cinglant second court métrage !
  • LE LAC AUX OIES SAUVAGES (2019)
    Note : 15/20
    Malgré certaines séquences surnuméraires, voire inutiles, particulièrement des scènes de baston et des bordées en motos, ainsi qu'un maniérisme pompeux et collant pour épater la galerie sinophile, on reste sur une impression générale plutôt favorable.
  • NEBRASKA (2012)
    Note : 16/20
    Un étonnant road-movie, parsemé de pétulance et de nostalgie qui allie avec une finesse certaine, sans insistance surnuméraire, un humour légèrement grinçant sous couvert d'une subtile psychologie des principaux personnages, avec une étonnante interprétation de l'ensemble des comédiens, comme subjugués par le charme évident et l'émotion diffuse de cette câline et facétieuse intrigue.
  • LES PARENTS DE MA FEMME (1922)
    Note : 15/20
    Une violente et grotesque charge contre la famille comme réceptacle et générateur d'un étouffement de l'individu et de sa personnalité qui peut se percevoir comme une indirecte critique déguisée de l'ascendance relationnelle de la dynastie des Talmadge dont Buster Keaton avait épousé une des représentantes, un an auparavant.
  • NETHERLAND DWARF (2008)
    Note : 14/20
    D'une confondante simplicité émotionnelle.
  • FUNERAILLES D'ETAT (2019)
    Note : 14/20
    Une imposante fresque humaine ponctionnée à moult endroits différents de l'Union Soviétique, de l'Azerbaïdjan en passant par l'Ukraine, regroupant des milliers de personnes en recueillement (faux ou simulé) à l'annonce du décès de Joseph Vissarionovitch Staline. Avec comme événement phare de ces sinistres funérailles, le placement du cercueil dans le célèbre mausolée situé sur la place Rouge à Moscou, à coté de la dépouille de Lénine. Tous ces gens éplorés et contrits ont-ils oublié les millions de morts et de déportés que le Grand Homme a généré durant sa mortelle dictature du prolétariat, au nom du communisme triomphant ?
  • BLONDIE JOHNSON (1933)
    Note : 11/20
    Un engageant, voire excellent scénario, constamment mal(traité) par des réalisateurs de seconde zone et une mise en scène besogneuse où même Joan Blondell, entourée de personnages insignifiants et inconsistants, semble s'engluer dans une mélasse cinématographique sans âme et sans intérêt.
  • LISTEN TO BRITAIN (1942)
    Note : 13/20
    Une importance exceptionnelle est donnée à la musique sous toute ses formes, permettant d'imprimer aux messages ainsi diffusés, une tonalité beaucoup moins martiale que les habituelles réalisations propagandistes, dont l'effet devrait être d'une efficacité décuplée, par son coté visuellement poétique et séduisant.
  • LA PEINTURE DE MON FRÈRE JULIO (1965)
    Note : 14/20
    Un frangin vraiment doué !
  • ÖDENWALDSTETTEN (1964)
    Note : 16/20
    Remarquable de sobriété et d'ambivalente spontanéité.
  • L'HIRONDELLE D'OR (1966)
    Note : 17/20
    Devenue film culte, cette référence absolue du genre "Wu xia pian" reste un must incontournable, qui séduit et fascine, surtout dans sa première partie, par l'incroyable chorégraphie des scènes de combats, l'hiératique beauté de l'actrice principale et une maîtrise visuelle vraiment époustouflante, une oeuvre raffinée qui fut programmée avec bonheur au 20e Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul (2014).
  • GOOD KILL (2014)
    Note : 13/20
    Même si l'ensemble du film déroule plan-plan son histoire, avec une certaine lourdeur académique et des séquences parfois prévisibles, traversé par des acteurs souvent peu convaincants, il aura néanmoins le mérite de poser deux questions importantes concernant les dégâts collatéraux et la mise en place d'une boucle sans fin entre répression et terrorisme, l'un engendrant l'autre, et vice versa, inéxorablement.
  • LE PEINTRE ET LA VILLE (1956)
    Note : 14/20
    Nostalgie d'un passé aujourd'hui bien révolu.
  • SEJOUR DANS LES MONTS FUCHUN (2019)
    Note : 16/20
    Une œuvre d'une réjouissante et vaporeuse sérénité, traversée d'une permanente mélancolie sans cesse bafouée, garrottée par l'insipide tohu-bohu d'un quotidien mortifère, désormais voué au profit et à l'argent, ad vitam aeternam.
  • TOM À LA FERME (2013)
    Note : 15/20
    Avec une solide assurance conjecturant une constatation intime de la connexité entre homophobie et inconscient désir pédérastique, Xavier Dolan nous livre une âcre et incisive immersion dans l'ambivalence de la nature humaine, assurant avec plénitude et décontraction une interprétation toute en finesse et en naturel.
  • LA CONSCIENCE VENGERESSE (1914)
    Note : 12/20
    Dans l'ensemble une œuvre parfaitement réussie, hormis peut-être la ridicule et médiocre scène de l'apparition imaginaire d'une horde de prétendues goules.
  • OFFRANDE AU BIEN-AIME (1944)
    Note : 16/20
    Un classique du mélodrame teuton en agfacolor, tourné vers la fin de la Seconde Guerre Mondiale, loin du bruit et de la fureur des traditionnels films de propagande de l'époque, d'une incroyable et constante densité mortifère qui subit les foudres de la censure nazie pour son ambivalent trio amoureux pendant que le soldat allemand se sacrifie au front, son épouse, sa compagne ou sa fiancée restée seule au pays.
  • THE LIGHT OF FAITH (1922)
    Note : 14/20
    Une bienvenue curiosité.
  • THE MIND READER (1933)
    Note : 15/20
    Une sympathique adaptation d'une pièce de théâtre écrite par une parfaite inconnue, qui nous permet de revoir maints acteurs de série B de l'époque, adroitement conduits et dirigés par l'excellent metteur en scène Roy Del Ruth, aux productions souvent sous-évaluées, qui mérite une urgente réhabilitation.
  • LA BM DU SEIGNEUR (2010)
    Note : 14/20
    Une œuvre hybride et habitée, au croisement du documentaire, de l'acte de foi et de reconnaissance d'un metteur en scène complice, qui incite fort à souhaiter à ce dernier une seconde réalisation de la même veine et d'une identique originalité.
  • WEIHNACHT (1963)
    Rien de bien particulier !
  • LES MISÉRABLES (2019)
    Note : 15/20
    Excellemment filmée, d'une facile et subtile démagogie, sur fond de dialogues fort bien ciselés et d'une insupportable fausseté, avec des acteurs fortement convaincus de leurs rôles respectifs, une œuvre somme toute bienvenue, malgré sa pesante superficialité scénaristique habilement dissimulée par une mise en scène accrocheuse.
  • NIGHT MOVES (2013)
    Note : 15/20
    Des acteurs irréprochables, une thématique incontournable ainsi qu'une réelle maîtrise de l'espace conflictuel ne suffisent pas pour donner à l'oeuvre une dimension supérieure, un véritable souffle narratif et politique. En effet, les trois personnages principaux manquent cruellement d'étoffe et de développement psychologique, pour insuffler une assise, un sens, une profondeur à leur geste extrémiste.
  • JURASSIC WORLD (2015)
    Note : 13/20
    Malgré une trame scénaristique guère innovante par rapport aux moutures précédentes, il faut reconnaître que l'on ne s'ennuie guère durant les 124 minutes de la projection, avec toutefois un acéré bémol quant à la dernière partie du film qui se voudrait le sommet de la violente et mordante confrontation préhistorique et que l'on peut considérer comme ratée, trop confuse et trop brouillonne.
  • LUCKY (2017)
    Note : 15/20
    D'une émouvante et confondante simplicité dans l'interprétation qui baguenaude discrètement du côté d'une nonchalante autobiographie à peine esquissée, Harry Dean Stanton nous laisse, au bout du chemin d'une impressionnante filmographie, sa fragile et nonchalante présence restée inoubliable et lumineuse, durablement.
  • SANG FROID (2018)
    Note : 14/20
    Méticuleux remake d'un film norvégien réalisé quatre années auparavant par le même metteur en scène, cette mouture anglaise manque tout de même d'une certaine densité d'humour (noire) constamment en filigrane dans la version nordique et qui peine ici à s'installer au profit d'une atmosphère purement vengeresse lourdement omniprésente.
  • JOE (2013)
    Note : 14/20
    Judicieusement inspiré d'associer dans son casting acteurs professionnels et simples autochtones de la contrée, dont l'étonnant Gary Poulter dans le rôle du père de notre jeune héros (en fait, un sans domicile fixe décédé en février 2013, par noyade dans un lac, durant une crise d'éthylisme) le cinéaste nous commet une réalisation dense et prenante, pourtant bien en deçà du roman éponyme écrit par l'incontournable Larry Brown dont l'ensemble de l'oeuvre littéraire côtoie les chefs-d'oeuvre à répétition.
  • THE SWITCH TOWER (1913)
    Note : 14/20
    Une agréable curiosité, plus que centenaire, fort bien jouée et filmée, avec le grand Lionel Barrymore interprétant un méchant et le prolifique Henry B. Walthall (près de 330 films à son palmarès) dans le rôle principal de l'employé ferroviaire.
  • FAIRE-PART : MUSÉE HENRI LANGLOIS (1997)
    Note : 14/20
    Une chaleureuse évocation itinérante et pédagogique distillant a posteriori bien des regrets nostalgiques et moroses, sachant que deux semaines, après la fin du tournage de ce moyen métrage, le site fut détruit par l'incendie accidentelle du palais Chaillot.
  • AQUARELA, L'ODYSSEE DE L'EAU (2018)
    Note : 15/20
    Lesté par aucun commentaire superfétatoire et phraseur, ce documentaire présente une évidente symbiose entre d'éloquentes et somptueuses images et un accompagnement musical d'une considérable tonicité. Seul regret, peut-être, un relatif déséquilibre de la durée entre les séquences, avec un premier opus bien trop long.
  • PAS DE RÉPIT POUR LES DAMNÉS (2011)
    Note : 12/20
    On est plutôt en peine de ne pouvoir expliquer ou seulement comprendre, pourquoi une telle oeuvre, certes d'une honorable moyenne, ait pu décrocher les trois plus prestigieux prix consacrant les productions espagnoles de l'année 2012, en l'occurrence les Goyas des meilleurs film, acteur, réalisateur. Quant à l'interprétation principale, celle de José Coronado, lourdement surjouée, elle traîne dans une ambivalence discutable, penchant lourdement du côté d'un Charles Bronson ibérique.
  • 26 SALLES DE BAIN (1985)
    Note : 14/20
    Une humide curiosité.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
L'HIRONDELLE D'OR (1966) 17
EVA NE DORT PAS (2015) 17
NEBRASKA (2012) 16
L'ÉTERNEL PROBLÈME (1928) 16
LA VILLA (2017) 16
CROSSBOW (2007) 16
OFFRANDE AU BIEN-AIME (1944) 16
AU REVOIR LÀ-HAUT (2017) 16
ÖDENWALDSTETTEN (1964) 16
SEJOUR DANS LES MONTS FUCHUN (2019) 16
LES NERFS À VIF (1919) 15
LES DESHÉRITÉS DE LA VIE (1925) 15
TOM À LA FERME (2013) 15
THE MIND READER (1933) 15
NIGHT MOVES (2013) 15
FRITZ BAUER, UN HEROS ALLEMAND (2015) 15
SOEURS DE SCENE (1964) 15
LES PARENTS DE MA FEMME (1922) 15
KIN-DZA-DZA (1986) 15
12 JOURS (2017) 15
LUCKY (2017) 15
GASMAN (1998) 15
LES ENQUETES DU DEPARTEMENT V : DOSSIER 64 (2018) 15
LE LAC AUX OIES SAUVAGES (2019) 15
LES MISÉRABLES (2019) 15
AQUARELA, L'ODYSSEE DE L'EAU (2018) 15
IRON SKY (2012) 14
JOE (2013) 14
LA BM DU SEIGNEUR (2010) 14
THE SWITCH TOWER (1913) 14
26 SALLES DE BAIN (1985) 14
NETHERLAND DWARF (2008) 14
LA PEINTURE DE MON FRÈRE JULIO (1965) 14
LE PEINTRE ET LA VILLE (1956) 14
FAIRE-PART : MUSÉE HENRI LANGLOIS (1997) 14
FUNERAILLES D'ETAT (2019) 14
THE LIGHT OF FAITH (1922) 14
SANG FROID (2018) 14
LISTEN TO BRITAIN (1942) 13
GOOD KILL (2014) 13
JURASSIC WORLD (2015) 13
FOTOGRAF (1997) 13
PAS DE RÉPIT POUR LES DAMNÉS (2011) 12
LA CONSCIENCE VENGERESSE (1914) 12
CALL GIRL (2012) 11
BLONDIE JOHNSON (1933) 11
WAKE WOOD (2010) 10
LE BONHOMME DE NEIGE (2015) 9
AMERICAN BURGER (2014) 1