On est plutôt en peine de ne pouvoir expliquer ou seulement comprendre, pourquoi une telle oeuvre, certes d'une honorable moyenne, ait pu décrocher les trois plus prestigieux prix consacrant les productions espagnoles de l'année 2012, en l'occurrence les Goyas des meilleurs film, acteur, réalisateur. Quant à l'interprétation principale, celle de José Coronado, lourdement surjouée, elle traîne dans une ambivalence discutable, penchant lourdement du côté d'un Charles Bronson ibérique.