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PAS DE RÉPIT POUR LES DAMNÉS-2011-
Nationalité : Espagne
Titre VO : No habra paz para los malvados
Durée : 1h44
Genre : POLICIER
Themes
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma espagnol -
Trains et gares
- cinéma espagnol -
Hôtels
- cinéma espagnol -
Chômage
- cinéma espagnol -
Réalisation : Enrique URBIZU
Prise de vues : Unax MENDIA
Musique : Mario DE BENITO
Résumé
Le solitaire et taciturne inspecteur Santos Trinidad, du service madrilène de recherche des personnes disparues, termine bien éméché sa tournée dominicale des bars, hors service et hors stabilité, dans une boîte de nuit en instance de fermeture, où après une rixe avec l'obséquieux patron de l'endroit, il abat en légitime défense, un homme de main armé et pour parfaire sa radicale colère tue aussi une serveuse présente et le taulier blessé. Afin de dissimuler sa fort répréhensible conduite, il dérobe les papiers d'identité des macchabées, leurs téléphones portables et en s'apprêtant à prélever une disquette vidéo d'enregistrement des lieux, découvre un autre individu à l'étage supérieur qui parvient à s'enfuir en moto. Son objectif le plus pressant est de retrouver rapidement l'individu afin de l'empêcher de parler. Alors que l'enquête officielle sur les trois morts est confiée au juge Chacon, notre inspecteur remonte vaille que vaille une ardue et complexe filière colombienne avec des ramifications au Maghreb, à la recherche d'un certain Rachid, alors même qu'un sommet politique du G20 se prépare dans la capitale. De fil en aiguille, toujours un peu en avance sur les investigations judiciaires, Santos finit par découvrir qu'au-delà d'une important trafic de drogues dans lequel baigne les comparses et autres relations des morts de la fameuse boîte de nuit, se profile l'ombre d'un obscur réseau islamique qui projette de faire exploser dans un centre commercial, à proximité d'un supermarché, quelques bombes astucieusement dissimulées dans des extincteurs et dont la charge explosive est déclenchée à distance par l'intermédiaire d'un rudimentaire téléphone portable.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
On est plutôt en peine de ne pouvoir expliquer ou seulement comprendre, pourquoi une telle oeuvre, certes d'une honorable moyenne, ait pu décrocher les trois plus prestigieux prix consacrant les productions espagnoles de l'année 2012, en l'occurrence les Goyas des meilleurs film, acteur, réalisateur. Quant à l'interprétation principale, celle de José Coronado, lourdement surjouée, elle traîne dans une ambivalence discutable, penchant lourdement du côté d'un Charles Bronson ibérique.
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