Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 36 films notés

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  • TAIS-TOI QUAND TU PARLES (1981)
    Une nullité du cinéma dit commercial, réalisée par un cinéaste d'une médiocrité affligeante qui ne fait que répéter de film en film, ses éternels clichés navrants.
  • POLTERGEIST 3 (1988)
    Note : 10/20
    Troisième mouture des aventures diaboliques du Père Kane qui veut retrouver le repos éternel, qui malgré une haute dose d'effets spéciaux, déçoit énormément.
  • LE MARQUIS DE SAINT-EVREMOND (1935)
    Note : 12/20
    Emouvant avec quelques somptueuses scènes de rues (17.000 figurants).
  • LE TEMPS DU DESTIN (1987)
    Un mélodrame sans intérêt, d'une constante lourdeur !
  • LES CHIENS DE GUERRE (1980)
    Une oeuvre estimable, d'une grande honnêteté qui ne sacrifie jamais aux impératifs commerciaux et d'une sympathique véracité dans le propos.
  • POLTERGEIST 2 (1986)
    Note : 8/20
    Autant la première version réalisée par Tobe Hooper, supervisée par Steven Spielberg, avait le charme frissonnant des mystères supposés de la parapsychologie, autant cette médiocre pochade ne mérite aucune considération particulière, hormis peut-être de revoir une dernière fois l'acteur Julian Beck.
  • LE CAVALIER ELECTRIQUE (1979)
    De l'excellent travail, entre humour et pamphlet qui se déguste.
  • DIE WIRTIN ZUM WEISSEN RÖSS'L (1943)
    Note : 4/20
    Sur un sujet superficiel, un film d'une débilité incroyable, tourné en pleine période du Troisième Reich qui a pour seul but de faire croire que tout est rose et harmonieux.
  • MON ONCLE BENJAMIN (1969)
    L'incontournable Jacques Brel dans tous ses états, entre démesure et tendresse férocement humaines, dans un film somme toute agréable et fort distrayant.
  • LA TRAVESTIE (1987)
    Note : 4/20
    De loin, le plus mauvais film de Boisset, mais hélas pas le seul.
  • LA LOI SELON HARRY (1973)
    Note : 9/20
    Une comédie policière sans réelle envergure, réalisée par un vague tâcheron américain, malgré l'excellente présence de James Coburn toujours aussi séduisant.
  • ENVOYEZ LES VIOLONS (1988)
    Note : 10/20
    Une oeuvre quelquefois plaisante, mais finalement fort quelconque où les personnages ont vraiment peu de consistance et où l'intrigue reste tout de même bien tenue pour accrocher mélodieusement le spectateur.
  • LE BOURREAU DES COEURS (1983)
    Encore une oeuvre médiocre qui ne mérite aucune grâce ni considération, mise en scène par un réalisateur d'une cruelle indigence dans l'inspiration.
  • MEURTRE À HOLLYWOOD (1988)
    Note : 14/20
    Malgré un début assez languissant, ce film demeure un excellent divertissement.
  • LE PIRATE (1947)
    Note : 16/20
    "Une fantaisie, une fantasmagorie, haute en couleur, théâtrale, flamboyante, plus tourbillonnante que la vie même" dixit le metteur en scène Vincente Minnelli qui nous propose un petit chef-d'oeuvre de la comédie musicale.
  • TOUS LES COUPS SONT PERMIS (1988)
    Pour ceux qui aiment recevoir et donner des coups !
  • HEUREUX ANNIVERSAIRE (1961)
    Note : 16/20
    Un superbe comique d'observation, fin et méticuleux, qui croque avec délice et drôlerie quelques scènes typiques dans les affres de la circulation d'une grande ville avec ses mini-drames et ses absurdités citadines. Un vrai régal, pour un repas raté.
  • CONDORMAN (1980)
    C'est franchement insipide.
  • L'AFFAIRE MORI (1977)
    Note : 15/20
    Une vision fort juste du problème sicilien : peur de la mafia, loi du silence, fierté et code de l'honneur. Le scénario, traité avec intelligence, mérite notre estime. A noter l'exceptionnelle prestation de l'acteur Giuliano Gemma.
  • LES ENFANTS DE L'IMPASSE (1987)
    Note : 13/20
    Psychodrame tendu et tenu qui mérite des éloges soutenus uniquement pour l'exceptionnelle prestation des trois principaux acteurs.
  • LE PARIA (1968)
    Film policier dont le scénario présente peu d'originalité. Cette première (et dernière) réalisation de Claude Carliez -cascadeur très apprécié du cinéma Français- n'apporte aucun sang neuf au traditionnel film d'action. Poncifs et ronrons.
  • PANICS (1988)
    Note : 12/20
    Petit film de série Z plutôt habile d'où émergent quelques scènes vraiment gore.
  • AMOK (1982)
    Ce film politique est un cri de colère qui, hélas, manque de rythme et d'unité dans son message et sa démonstration. Cependant, certaines images fortes restituent avec réalisme la folie et la peur propres aux révoltes de l'apartheid.
  • LA PETITE VILLE D'ANARA (1976)
    Note : 15/20
    Une superbe oeuvre drôle et cocasse qui mérite un large détour.
  • TRAITEMENT DE CHOC (1960)
    Note : 5/20
    Ce film britannique qui se veut mi-policier, mi-psychologique est cousu de fil blanc. L'ensemble manque de subtilité, de finesse et de crédibilité. Les paysages méditerranéens ne suffisent pas à sauver de l'ennui, c'est dire.
  • CENT FRANCS L'AMOUR (1985)
    Hormis Richard Bohringer, le scénario et les acteurs manquent de consistance.
  • CETTE VIEILLE CANAILLE (1933)
    Note : 13/20
    Oeuvre sympathique et solide avec un excellent Harry Baur, discret, affable, pétri d'une respectable empathie, qui imprime de sa présence l'histoire narrée...
  • AVEC LE SOURIRE (1936)
    Pour retrouver Maurice Chevalier.
  • LE SECRET DE D'ARTAGNAN (1962)
    Note : 6/20
    Pas de quoi applaudir à cette triste adaptation d'Alexandre Dumas.
  • RAPT À L'ITALIENNE (1972)
    Note : 14/20
    Sur le mode du rire jaune et de l'humour glacé, le metteur en scène transalpin Dino Risi, mine de rien et sûr de lui, égratigne certaines moeurs et autres comportements de la société italienne, avec un solide et percutant talent.
  • SALE RÊVEUR (1977)
    Honnête petite réalisation qui se regarde sans déplaisir !
  • LE PACTOLE (1985)
    Note : 12/20
    Une cocasse apologie du vol entre caricature grinçante et petits croquis affectueux fort bien observés. Jean-Pierre Mocky dans toute sa fougue et aussi ses limites.
  • LE MOUTON NOIR (1979)
    Note : 14/20
    Une sympathique première oeuvre !
  • LA MAITRESSE DU LIEUTENANT FRANCAIS (1981)
    Note : 16/20
    Oeuvre d'une grande richesse thématique, des acteurs talentueux et sobres, une réalisation parfaite, une réussite incontestable.
  • AVOIR VINGT ANS DANS LES AURÈS (1971)
    Note : 16/20
    Une oeuvre politique majeure qui eut bien des ennuis avec la censure !
  • SHERLOCK HOLMES CONTRE JACK L'EVENTREUR (1965)
    Note : 14/20
    Excellent mélange des mythes qui nous vaut un sympathique délassement !
  • UN LUNDI TROUBLE (1988)
    Note : 14/20
    Entre polar, musique et nostalgie, une oeuvre finalement intéressante, un peu ennuyeuse, qui dénote d'une personnalité à venir ou simplement d'un bon technicien sans particularité ni génie, ce qui semble se préciser ultérieurement.
  • LE CONVOI DES BRAVES (1950)
    Note : 15/20
    Distribué tardivement en France, ce "western" de Ford, est une oeuvre méconnue et paradoxalement un de ses films les plus réussis et les plus complets.
  • LA LÉGENDE DU SAINT BUVEUR (1988)
    Note : 15/20
    D'une gracieuse nonchalance fort envoûtante.
  • LA FISSURE (1988)
    Note : 11/20
    Des effets spéciaux de première classe, égrainés dans un scénario somme toute guère original, dans une œuvre qui se regarde sans déplaisir ni ennui.
  • BOY MEETS GIRL (1984)
    Note : 15/20
    Un premier long métrage et déjà comme Orson Welles avec "Citizen Kane" (dont on fait référence avec la boule de verre remplie de neige) une forme de chef-d'oeuvre en miniature. Bon vent à Raul Ruiz, Paul Vecchiali et Leos Carax, le triumvirat triomphant du nouveau cinéma français des années 1980.
  • LE DERNIER ALIBI (1963)
    Note : 5/20
    Une absence caractérisée de suspense, une écrasante lourdeur du scénario, des ficelles grosses comme une maison, font de ce film une tranchante rature et qui ne vaut le discret coup d'oeil que pour la présence de Peter Van Eyck.
  • FLIC OU ZOMBIE (1988)
    Note : 12/20
    Une petite série B sans prétention qui peut distraire agréablement.
  • STRANGULATION BLUES (1982)
    Note : 15/20
    Du grand art, déjà.
  • WOODY ET LES ROBOTS (1973)
    Note : 13/20
    Acerbe critique de l'intelligentsia américaine, fort bienvenue.
  • POLICE ACADEMY 5 : DÉBARQUEMENT À MIAMI BEACH (1988)
    Décidement la nullité est désormais systématiquement au rendez-vous de cette longue et insipide série.
  • PROFESSEUR MAMLOCK (1961)
    Note : 15/20
    Malgré son didactisme et sa rigueur / raideur, un film d'une étonnante véracité humaine et historique, par un grand réalisateur est-allemand.
  • DOUCE FRANCE (1985)
    Note : 13/20
    Une oeuvre grave et désenchantée sur une période trouble et troublée de notre Histoire qui, parfaitement conçue et maitrisée, mérite notre attention.
  • L'AFFRONTEMENT (1972)
    Note : 10/20
    Film bavard et sans relief, concocté par un sombre inconnu, qui ne tient ses promesses et où même Robert Mitchum n'est guère convaincant.
  • DRÔLE D'ENDROIT POUR UNE RENCONTRE (1988)
    Note : 15/20
    Pour un premier long métrage, une incontestable réussite qui repose essentiellement sur le jeu déphasé d'un Gérard Depardieu (pour une fois) étonnant et la folie douce d'une Deneuve bien plus inquiétante que pathétique. On attend impatiemment le second long métrage de ce bienvenu metteur en scène.