Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 38 films notés

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  • SERGENT LA TERREUR (1953)
    Note : 14/20
    Une oeuvre solide et virulente du grand Richard Brooks qui se "déguste".
  • LA TAVERNE DE LA JAMAIQUE (1939)
    Note : 15/20
    Une excellente performance de Charles Laughton dans le rôle ambivalent de Sir Pengaltan, noble personnage le jour, et démon sans pitié, la nuit.
  • ZIEGFELD FOLLIES (1945)
    Note : 13/20
    Une kyrielle de vedettes internationales confirmées, d'époustouflantes saynètes d'une chorégraphie parfaite font de ce film une intéressante réussite du genre.
  • MONSIEUR MOTO EN PÉRIL (1939)
    Note : 14/20
    Infaillible à sa mondiale réputation de détective rusé et roué, notre héros "s'éclate" dans une aventure / péripétie jamais dénuée d'humour qui ravira les amateurs du genre.
  • LES BABAS COOL (1981)
    Au premier degré, cela peut paraître plaisant et drôle !
  • LE SERMENT DE MONSIEUR MOTO (1937)
    Note : 14/20
    Aventures, rêveries, action et kitch, une agréable distraction.
  • NOSFERATU FANTÔME DE LA NUIT (1978)
    Note : 9/20
    Une "splendide" rature du metteur en scène Werner Herzog qui nous rend nostalgique du chef-d'oeuvre de Friedrich Murnau ainsi que des éclats d'un Terence Fisher et de son mordant complice, Christopher Lee.
  • MONSIEUR MOTO AU MUSIC-HALL (1939)
    Note : 12/20
    C'est plaisant, énorme, inconcevable, en fait un scénario parfaitement débile qui dans son invraisemblance et son outrance même tire tout son charme.
  • LE ROI DAVID (1985)
    Sympathique illustration d'une légende biblique réalisée par un metteur en scène de talent où l'on re(trouve) Jean-Marc Barr, le magnétique interprète du "Grand bleu" dans le rôle exécré d'Absalon.
  • MONSIEUR MOTO DANS LES BAS-FONDS (1938)
    Note : 14/20
    Génie du déguisement et de la combine, Moto / Lorre est vraiment fascinant.
  • PÈRE ET FILLE (1961)
    Note : 12/20
    De bons trucages, de l'imagination scénaristique, un film allemand qui sort de l'habituelle grisaille cinématographique teutonne des années 1960.
  • PSYCHOSE PHASE 3 (1978)
    Note : 11/20
    Rien de très nouveau dans le domaine du fantastique et de la réincarnation.
  • DANS TES BRAS (1933)
    Note : 9/20
    Hormis un dialogue souvent suave et cinglant, le film côtoie sans arrêt le mélodrame bon enfant avec les inévitables scènes de vie carcérale.
  • 5% DE RISQUE (1979)
    Note : 9/20
    Même si les acteurs sont parfaits, le film ennuie souvent, n'arrivant pas à dépasser son maigre propos, ce qui ne suffit guère à nous séduire.
  • MIDNIGHT RUN (1988)
    Note : 13/20
    Un film qui prend du temps à trouver ses marques et son rythme, mais ensuite, quel festival d'humour et d'action !
  • LA FUREUR D'AIMER (1963)
    Note : 13/20
    Une oeuvre étrange, mêlant histoire d'amour et philosophie existentielle, entre dilettantisme et rature qui fut fort mal accueillie, lors de sa sortie, en Allemagne.
  • SEX POWER (1969)
    Note : 9/20
    Un film souvent confus qui essaye, avec plus ou moins de réussite, de mettre en images la notion intellectuelle de négation de la durée. A chacun d'interpréter les symboles d'une oeuvre qui doit trouver sa véritable justification dans une projection privée du réalisateur, tellement sa narration paraît égotiste et nombriliste.
  • LE GORILLE VOUS SALUE BIEN (1957)
    Petit polar français réussi, avec une pléiade d'acteurs secondaires convaincants.
  • PARMI LES VAUTOURS (1964)
    Un spectacle qui n'apporte rien de nouveau au genre : bagarres, poursuites, beaux paysages et à nouveau bagarres, jusqu'à l'apparition du mot fin.
  • LE TOMBEUR DE CES DAMES (1961)
    Note : 16/20
    Seconde réalisation de l'acteur Jerry Lewis, désormais libéré de la tutelle d'un autre cinéaste et d'un partenaire écrasant (Dean Martin), d'une suave inventivité dans l'élaboration et la finesse de certains gags étonnants et précieux qui puisent leurs saveurs et leur originalité dans l'ivresse de l'absurde, de la redondance, du surréalisme, du délire visuel et sonore inoubliable. Nous mettrons juste un bémol sur quelques séquences chantées et dansées de la seconde partie du film, qui nous paraissent un rien surnuméraires dans l'agencement humoristique et comique de l'ensemble.
  • AMERICAN GRAFFITI (1973)
    Note : 11/20
    Un film générationnel qui évoque une époque où les adolescents américains traversaient le monde avec beaucoup d'insouciance et de légèreté. Sur fond sonore de "Wolfman Jack", présentateur radio qui les accompagne partout. A noter le remarquable ballet automobile dans les rues de la ville.
  • FIANCÉES EN FOLIE (1925)
    Note : 18/20
    Sublime !
  • AMARCORD (1973)
    Note : 14/20
    Film évocateur d'une histoire personnelle intense qui manque ici de folie et de passion créatrices comme si Fellini s'était assoupi dans sa notoriété.
  • LA DENTELLIERE (1976)
    Note : 14/20
    Intimisme et pudeur affleurent dans cette oeuvre douce-amère et fragile.
  • CES ENFANTS SONT A MOI (1983)
    Note : 4/20
    Mélo quand tu nous étreins médiocrement. Pire qu'un pitoyable feuilleton télévisé.
  • SUREXPOSE (1983)
    Des invraisemblances à la pelle, en tombereau, un scénario bancal au possible, des acteurs connus et confirmés, sans réelle consistance.
  • AMORE (1973)
    Le réalisateur est un grand amoureux de la célèbre Cité des Doges, mais il exprime sa passion avec quelques maladresses. Entre vision touristique de la ville et message intellectuel, l'incohérence provoque une certaine lourdeur. Dommage.
  • L'ETALON (1969)
    Note : 15/20
    C'est réjouissant au possible, d'un joyeux hédonisme libérateur !
  • L'APPEL DE LA FORÊT (1972)
    Destinée à un public d'enfants attardés, une œuvre fort banale.
  • LE DERNIER DE LA LISTE (1963)
    Note : 14/20
    Une oeuvre de distraction du grand John Huston, adaptée d'un excellent roman de Philip Mac Donald, qui bénéficie d'un étonnant et surprenant "gimmick".
  • LES CHINOIS À PARIS (1973)
    Un spectacle affligeant de bêtise aux relents de poujadisme nauséeux.
  • LE PORT DE LA DROGUE (1953)
    Note : 19/20
    Le metteur en scène Samuel Fuller dépasse les conventions de la série B classique pour livrer un véritable film noir, âpre et tendu où Richard Widmark compose, comme à son habitude, une figure marquante de mauvais garçon.
  • LE PASSAGER (1973)
    Note : 10/20
    Une histoire confuse, cousue de fil blanc. Même la distribution, pourtant brillante, ne parvient à rehausser l'ensemble.
  • GRIZZLY, LE MONSTRE DE LA FORET (1976)
    Note : 9/20
    Une oeuvre quelconque, aux séquences répétitives, entre survols d'hélicoptère et gros plans forestiers de broussailles agitées, qui a tout de même le privilège de pouvoir se regarder en accéléré, ne perdant rien en qualité et en compréhension, avec ce procédé quelque peu honteux, un brin méprisable et bien cavalier.
  • LA PARTY (1968)
    Note : 17/20
    Un indéniable chef-d'oeuvre de la comédie américaine où les gags se suivent à un rythme effréné pour le plus grand plaisir du spectateur, dans la veine des meilleures réalisations d'un metteur en scène, de film en film, jamais décevant.
  • LA PECHE AU TRESOR (1949)
    Festival Marx Brothers dont ce fut la dernière prestation à l'écran !
  • PARIS AU MOIS D'AOÛT (1965)
    Humour et tendresse priment dans ce film plein de spontanéité. Aznavour a trouvé le ton juste de la simplicité, aux cotés d'une Susan Hampshire fraîche et bienvenue.
  • L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE (1962)
    Note : 15/20
    Fresque fordienne sur héros vieillissants, fin d'un mythe, disparition d'un monde.
  • LE CERCLE NOIR (1972)
    Note : 8/20
    Outre la prononcée ambivalence thématique de l'oeuvre (policiers et gangsters sont du même acabit), le film manque sérieusement de qualités artistiques.
  • UN PAPILLON SUR L'EPAULE (1977)
    Note : 15/20
    Excellent film de Jacques Deray, un réalisateur habituellement bien plus quelconque, sur le thème de la machination avec un Lino Ventura étonnant.
  • L'ORCHIDÉE ROUGE (1962)
    Note : 4/20
    Nul et non avenu, une pesante et misérable adaptation d'un roman d'Edgar Wallace qui s'enfonce dans la médiocrité la plus totale et la stupidité la plus flagrante.
  • LE CRAPAUD MASQUE (1963)
    Note : 7/20
    Un pot-pourri indigeste pour un scénario hautement tortueux et tarabiscoté qui ne vaut tripettes. Uniquement pour Klaus Kinski en valet cynique et intrigant.
  • LES OIES SAUVAGES (1977)
    Un film violent à connotation raciste, réalisé d'une manière fort efficace qui souffre de quelques longueurs et du travail d'un cinéaste de seconde zone.
  • SOUDAIN L'ÉTÉ DERNIER (1959)
    Note : 19/20
    Etonnant cocktail explosif entre homosexualité et folie qui reste un moment inoubliable de cinéma pur, servi par un Mankiewicz au firmament de son art.
  • L'AVENTURE C'EST L'AVENTURE (1971)
    Note : 11/20
    Pour le plaisir de revoir Jacques Brel et Lino Ventura.
  • UN PETIT INDIEN (1973)
    Note : 10/20
    Un petit film gentillet sans grand sérieux historique dont le seul but est de divertir, ce qu'il parvient honnêtement grâce à l'interprétation de Garner.
  • SOUVENIRS D'AFRIQUE (1985)
    Note : 10/20
    C'est long et lent et passablement intéressant.
  • LES ENFANTS DU SILENCE (1986)
    Note : 14/20
    Premier film interprété par l'actrice Marlee Matlin atteinte de cet handicap auditif.
  • VENUS DEVANT SES JUGES (1949)
    Note : 10/20
    Sujet intéressant, pas vraiment maîtrisé.
  • GRIBOUILLE (1937)
    Cela se voit sans aucun déplaisir !