Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • LE DANGER VIENT DE L'ESPACE (1958)
    Note : 14/20
    Une correcte et captivante histoire qui doit beaucoup à la présence de Mario Bava !
  • THE FEAR INSIDE (1992)
    Note : 12/20
    Quelques scènes réussies !
  • AU-DEVANT DU RÊVE (1962)
    Note : 11/20
    Considérée comme un classique du film de science-fiction soviétique, cette oeuvre rare dénote quelques intéressants trucages fort bienvenus, dans un scénario somme toute fort classique, alourdi par un encensement dithyrambique et dégoulinant de l'Union Soviétique, qui peut faire sourire ou bien agacer, largement.
  • LE CHÂTEAU DU VICE (1971)
    Note : 10/20
    Une curiosité bien terreuse, comme le visage d'Erika Blanc, à chaque fois qu'elle se transforme en goule insatiable, qui aligne et spécifie toute la morphologie et les schèmes inhérents à la plupart des oeuvres fantastiques du cinéma bis traditionnel et dont nous ne garderons en mémoire et en manoir que la revigorante et fascinante présence de Daniel Emilfork et son émacié visage d'outre-tombe.
  • BUSTER MILLIONNAIRE (1931)
    Note : 10/20
    Premier film parlant de Buster Keaton, d'une cruelle fadeur !
  • LE DIEU ÉLÉPHANT (1978)
    Note : 15/20
    Réjouissante comédie policière transgressée par l'art inimitable de Satyajit Ray.
  • LA VIE COMME ÇA (1980)
    Note : 15/20
    Une rareté de qualité !
  • LUNE DE MIEL À TROIS (1941)
    Note : 8/20
    Une comédie sans rythme ni originalité, mollement mise en scène par Lloyd Bacon qui, plutôt prolifique que qualitatif, réalisa trois autres films la même année.
  • LA FEMME NUE ET SATAN (1959)
    Note : 11/20
    Une curiosité !
  • BREEZY (1974)
    Note : 16/20
    Etonnante petite histoire, pleine de charme et d'affection, d'une sympathique philosophie existentielle dénotant avec séduction de la virile filmographie du cinéaste.
  • MONIHARA LES BIJOUX PERDUS (1961)
    Note : 17/20
    Un éblouissement inattendu et persistant que ce merveilleux conte flirtant avec le fantastique et réalisé avec un sens de l'esthétisme qui laisse souvent pantois.
  • MEURTRE À L'ITALIENNE (1959)
    Note : 15/20
    Assurant avec une évidente jubilation le rôle principal du flic enquêteur, le metteur en scène Pietro Germi nous propose un thriller social alambiqué, croisant deux affaires judiciaires a priori complexes et interdépendantes de par leur proximité géographique, teinté de quelques séquences d'humour et de comédie, un genre qu'il assumera pleinement avec ses réalisations ultérieures plus franchement comiques.
  • L'ARCHE DE MONSIEUR SERVADAC (1970)
    Note : 14/20
    Réputé pour l'exceptionnelle qualité de son graphisme, son intrusion réussie dans l'univers fantastique de Jules Verne et dans celui de maints précieux contes tchèques de jadis, le metteur en scène Karel Zeman fait à nouveau étalage de la virtuosité de sa technique filmique qui mélange adroitement décors artificiels et subtile incrustation de personnages réels, dans une parfaite osmose cinématographique.
  • VANYA 42ÈME RUE (1994)
    Note : 14/20
    Une occasion de découvrir l'intéressante adaptation en anglais de ce classique du théâtre russe par David Mamet, un des dramaturges les plus doués de sa génération. La direction d'acteurs reste irréprochable, comme souvent.
  • LE FRUIT DU PARADIS (1969)
    Note : 4/20
    Vera Chytilova commence son film par une anecdotique référence biblique, la tentation ophidienne d'Adam et Eve pour croquer, au paradis céleste, une pomme de l'arbre interdit de la Connaissance. Cela dure environ neuf minutes, se love du coté du cinéma expérimental et semble une bienvenue introduction. C'est ensuite que le bât blesse, lamentablement. En effet, le pauvre spectateur courageux devra subir durant le reste de la projection une insipide potée prétendue surréaliste où geint la prétention la plus narcissique sous un mortel chapelet de niaiseries incongrues et suffisantes...
    Nota : une interrogation et un mystère subsistent : quelle mouche satanique a piqué les responsables de Malavida, (à moins que ce ne soit l'abus répété de becherovka) habituellement fort bien inspirés dans leurs choix, pour engager cette réédition en dvd de cette catastrophe cinématographique qui déjà à l'époque de sa sortie en salles, fut violemment pilonnée par tous les critiques et qu'il aurait été judicieux de (re)lire avant.
  • L'HOMME DU LARGE (1920)
    Note : 14/20
    Sans en être affecté, on peut trouver dommage que l'oeuvre soit un peu trop longue d'une bonne dizaine de minutes et quitte délibérément les rivages du mélodrame.
  • 491 (1964)
    Note : 16/20
    Une oeuvre violente, pessimiste et totalement maîtrisée !
  • L'ESPRIT DE LA MORT (1972)
    Note : 14/20
    D'une étonnante originalité !
  • RIABA MA POULE (1993)
    Note : 10/20
    Vingt-six années après "Le bonheur d'Assia", qui nous avait tellement enchanté, le réalisateur Andrei Konchalovsky retrouve les mêmes personnages pour une "suite" plutôt laborieuse et quelque peu réactionnaire.
  • LA RUSSE (1987)
    Note : 8/20
    Le metteur en scène Mario Camus nous déçoit beaucoup dans cette pseudo-histoire politique qui voudrait dénoncer le franquisme rampant dans la société civile actuelle, entretenu par les ventripotents nostalgiques de l'odieux caudillo.
  • LE SAINT (1965)
    Note : 15/20
    Une fable pleine d'ironie et de malice qui ravira les inconditionnels de Satyajit Ray.
  • L'INCIDENT (1967)
    Note : 17/20
    Une oeuvre hautement dramatique, d'une incroyable noirceur qui met à nu sans concession la faiblesse et la veulerie humaines. Une réalisation époustouflante de maîtrise et d'efficacité par un metteur en scène habituellement quelconque.
  • L'AMOUR MATERNEL (1992)
    Note : 13/20
    Un court métrage sympathique, avec des acteurs éclatants de naturel.
  • CHICAGO CHICAGO (1969)
    Evocation humoristique des années d'apprentissage de Ben Hecht.
  • PROFESSEUR HANNIBAL (1956)
    Note : 16/20
    Un étonnant petit film satirique, incontournable !
  • Y A-T-IL UN FLIC POUR SAUVER HOLLYWOOD ? (1993)
    Note : 13/20
    Les gags commencent à sérieusement s'alourdir, le rythme faiblit énormément et si les scénaristes de la chose prenaient aussi définitivement leur retraite ?
  • PORTRAIT OF JASON (1967)
    Note : 17/20
    Si cette oeuvre a pris quelques rides dans sa conception d'un certain cinéma brut qui valorise un filmage dans la durée et la continuité, son personnage reste ni plus ni moins qu'exceptionnel, dans la densité de son incroyable faconde, par l'infatigable profusion d'une suave logorrhée et la spontanée mise en scène du charmant délire d'un individu particulièrement égotiste et quelque peu pharaonique.
  • DES HOMMES VIVRONT (1941)
    Note : 13/20
    Toujours le même plaisir de revoir Spencer Tracy sur un écran.
  • SEX AND ZEN (1991)
    Note : 8/20
    L'ensemble est tout juste un tantinet supérieur aux habituelles productions du genre, mais dépourvu du moindre intérêt cinématographique.
  • MA SOEUR ET MOI (1987)
    Note : 12/20
    Correct, sans plus.
  • LE GENDRE DE MONSIEUR POIRIER (1933)
    Une des premières mises en scène cinématographiques de Marcel Pagnol, cette comédie fut longtemps considérée comme perdue. Le Musée d'Art Moderne de New York en a retrouvé une copie il y a de cela quelques années maintenant. Malheureusement, ce divertissement s'avère un peu daté et l'on a du mal a y déceler le charme des futures réussites de son auteur.
  • LE SERGENT (1968)
    Note : 14/20
    Etonnante prestation de Rod Steiger dans un rôle ambigu et difficile.
  • TINTIN ET LE LAC AUX REQUINS (1972)
    Malgré une grande faiblesse dans la qualité de l'animation, on revoit avec plaisir les personnages d'Hergé, dans une histoire du génial Greg, sans toutefois retrouver le charme des albums et leur beauté graphique.
  • DR. GILLESPIE'S NEW ASSISTANT (1942)
    Note : 11/20
    Avec Lionel Barrymore, plus cabot que jamais, dans une plaisante oeuvre de série.
  • L'OMBRE DU CORBEAU (1988)
    Note : 12/20
    Le genre "viking" plutôt bienvenu.
  • LE DERNIER PLONGEON (1992)
    Note : 14/20
    Une ébauche de film comme le précise son auteur qui contient, en germes, des moments de grande poésie. Décidément Monteiro reste incontournable !
  • CE BON VIEUX SAM (1948)
    Note : 15/20
    Une charmante petite comédie, un rien poussive? portée par un Gary Cooper qui reprend un personnage à la Capra, mais sans la grâce et la subtilité de ce dernier.
  • UNE FINE MOUCHE (1936)
    Pour retrouver le quatuor Harlow / Powell / Loy / Tracy.
  • FANATIC (1965)
    Note : 10/20
    Seule l'interprétation excellente de Tallulah Bankhead, et dans une moindre mesure celle de Sutherland en débile, sauvent le film du "quelconque".
  • LES ÉMIGRANTS (1971)
    Note : 15/20
    Première partie d'une étonnante saga familiale, portée par un metteur en scène suédois de talent, cette oeuvre dense et limpide mérite le détour.
  • LE JOUR DE MON ANNIVERSAIRE (1992)
    Note : 17/20
    Très beau film portugais témoignant d'une grande sensibilité et confirmant largement les espoirs placés en Joao Botelho.
  • F COMME FLINT (1967)
    Note : 12/20
    Certes, l'oeuvre a pris un coup de vieux certain, mais la nonchalance et la décontraction du propos l'empêchent d'être remisée définitivement aux oubliettes.
  • BEFORE THE RAIN (1994)
    Note : 15/20
    Film constituant un douloureux témoignage sur l'horreur des conflits ethniques.
  • MÊME HEURE L'ANNÉE PROCHAINE (1994)
    Note : 10/20
    Film lorgnant en vain vers les succès populaires italiens des années 1960/70.
  • LOUISA (1946)
    Note : 14/20
    Oeuvre sensible et prenante sur les convenances et le respect des traditions.
  • LE COURAGE À DEUX MAINS (1992)
    Note : 11/20
    Une réalisation quelque peu discrète sur un scénario plutôt bancal. On peut préférer de loin certains autres épisodes de la série.
  • LE RAID SUICIDE DU SOUS-MARIN X-1 (1969)
    Proche du documentaire, une oeuvre manquant de moyens et d'envergure.
  • AMOUR FOU (1976)
    Note : 8/20
    Pour Nastassja Kinski, on ressort des tréfonds n'importe quoi, tiroir-caisse oblige.
  • LA MEUTE (1994)
    Note : 15/20
    Une oeuvre rude, au climat insoutenable, non dépourvue d'une certaine complaisance, qui mérite réflexion et questionnement.
  • LE MENTEUR (1981)
    Note : 13/20
    Premier long métrage de Mika Kaurismaki traversée de références à Godard.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
MONIHARA LES BIJOUX PERDUS (1961) 17
LE JOUR DE MON ANNIVERSAIRE (1992) 17
L'INCIDENT (1967) 17
PORTRAIT OF JASON (1967) 17
BREEZY (1974) 16
PROFESSEUR HANNIBAL (1956) 16
491 (1964) 16
LES ÉMIGRANTS (1971) 15
LE DIEU ÉLÉPHANT (1978) 15
LE SAINT (1965) 15
LA VIE COMME ÇA (1980) 15
MEURTRE À L'ITALIENNE (1959) 15
CE BON VIEUX SAM (1948) 15
BEFORE THE RAIN (1994) 15
LA MEUTE (1994) 15
LOUISA (1946) 14
LE DANGER VIENT DE L'ESPACE (1958) 14
L'HOMME DU LARGE (1920) 14
LE DERNIER PLONGEON (1992) 14
LE SERGENT (1968) 14
L'ARCHE DE MONSIEUR SERVADAC (1970) 14
L'ESPRIT DE LA MORT (1972) 14
VANYA 42ÈME RUE (1994) 14
LE MENTEUR (1981) 13
Y A-T-IL UN FLIC POUR SAUVER HOLLYWOOD ? (1993) 13
L'AMOUR MATERNEL (1992) 13
DES HOMMES VIVRONT (1941) 13
MA SOEUR ET MOI (1987) 12
L'OMBRE DU CORBEAU (1988) 12
THE FEAR INSIDE (1992) 12
F COMME FLINT (1967) 12
LE COURAGE À DEUX MAINS (1992) 11
AU-DEVANT DU RÊVE (1962) 11
LA FEMME NUE ET SATAN (1959) 11
DR. GILLESPIE'S NEW ASSISTANT (1942) 11
BUSTER MILLIONNAIRE (1931) 10
LE CHÂTEAU DU VICE (1971) 10
RIABA MA POULE (1993) 10
FANATIC (1965) 10
MÊME HEURE L'ANNÉE PROCHAINE (1994) 10
LA RUSSE (1987) 8
LUNE DE MIEL À TROIS (1941) 8
AMOUR FOU (1976) 8
SEX AND ZEN (1991) 8
LE FRUIT DU PARADIS (1969) 4