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LE CHÂTEAU DU VICE-1971-
Nationalités : Belgique / Italie
Autre-Titre VF : La plus longue nuit du diable
Autre-Titre VF : Au service du diable
Autre-Titre VF : La nuit des pétrifiés
Autre-Titre VO : In dienst van de duivel
Autre-Titre VO : La terrificante notte del demonio
Durée : 1h35
Date de sortie en France : 03/04/1974
Genre : HORREUR
Nota
Supervision : André Hunnebelle.
Distributeur : Comicico
Visa d'exp. : 39553
Résumé
Berlin 1945, la grande cité teutonne se délite sous les bombardements incessants des forces alliées. Madame la baronne von Rhoneberg se meurt en accouchant d'une petite fille que son mari, un officier allemand, transperce d'un coup de poignard déterminé, après l'avoir promptement baptisée. Bien des années plus tard, une fringante journaliste interviewe l'aristocrate personnage, dans son lugubre château en Forêt Noire, l'interrogeant sur l'étrange malédiction qui semble sévir depuis des siècles dans sa nobiliaire famille. On la retrouvera, quelques jours plus tard, dans les environs de la sinistre bâtisse, victime d'une crise cardiaque, littéralement morte de terreur. Pendant ce temps, un minibus touristique et ses sept passagers en quête de détente et de vacances, vont se trouver obligés de séjourner dans l'inquiétante demeure, suite à un problème routier, bientôt rejoints par une affriolante et mystérieuse demoiselle, Lisa Müller, qui serait l'enfant illégitime de Martha, la servante, et du baron. A nouveau questionné sur le funeste mauvais sort qui oppresse la descendance des von Rhoneberg, le baron évoque un pacte diabolique passé par un de ses ancêtres et la tragique conséquence de cette alliance satanique, métamorphosant à chaque génération, l'élément féminin de la famille, en sanguinaire goule. Une nuit terrifiante se prépare pour les inattendus convives, chacun devra mourir selon un des sept péchés capitaux qui l'anime et le personnifie. Seul un jeune séminariste croira un temps pouvoir défier les ruses et la puissance du Diable, quitte à se sacrifier pour le salut éternel des victimes, mais devra lui aussi, finalement, s'avouer vaincu et damné.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
Une curiosité bien terreuse, comme le visage d'Erika Blanc, à chaque fois qu'elle se transforme en goule insatiable, qui aligne et spécifie toute la morphologie et les schèmes inhérents à la plupart des oeuvres fantastiques du cinéma bis traditionnel et dont nous ne garderons en mémoire et en manoir que la revigorante et fascinante présence de Daniel Emilfork et son émacié visage d'outre-tombe.
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Bibliographie