Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 39 films notés

Page 293 sur 332 (16566 critiques au total)

  • ORCA (1977)
    Note : 10/20
    Devant le succès médiatique des films avec animaux gigantesques et monstres marins en tous genres, une nouvelle production "maritime" avec poisson géant et mauvais matelot, à la sauce écologique et à "l'humanisme" animalier bon enfant. Pour se distraire, avant de reprendre la mer ou son bain de minuit.
  • UN JUSTICIER DANS LA VILLE 2 (1981)
    Note : 5/20
    Désormais, on peut se passer des lois, les petits "Bronson" veillent.
  • LIBERTÉ PROVISOIRE (1972)
    Note : 6/20
    Sincèrement, c'est très ennuyeux depuis l'ineptie du déroulement de l'histoire, en passant par le jeu des acteurs, jusqu'à la qualité de la réalisation.
  • JE SAIS RIEN, MAIS JE DIRAI TOUT (1973)
    Troisième réalisation de Pierre Richard d'une excellente facture comique, entre humour et satire à gogo. Un bon moment sans prétention !
  • THE DEVIL'S PLAYGROUND (1976)
    Note : 16/20
    Etonnante petite production inédite en France qui, avec beaucoup d'humour, de violence et de crudité montre l'absurdité d'une certaine forme d'éducation religieuse castratrice. Le tabou sexuel érigé en barrière honteuse, engendre inhibition catastrophique, sublimation dans l'auto-mutilation et hypocrites exutoires.
  • BAROCCO (1976)
    Note : 13/20
    Un film étrange, fascinant, irritant sur l'amour, la violence, le double comme épiphénomènes des relations humaines, qui irrite et séduit fréquemment.
  • DÉTENU EN ATTENTE DE JUGEMENT (1971)
    Note : 15/20
    Un sympathique petit film transalpin sur le milieu carcéral en Italie et une rigoureuse dénonciation de l'absurdité administrative et pénitentiaire. Sordi fut primé au festival de Berlin en 1972 pour sa remarquable prestation.
  • SCOUT TOUJOURS (1985)
    Note : 8/20
    Triste pochade aux gags sinistres et antédiluviens ne méritant pas le coup d'oeil.
  • LAUSBUBENGESCHICHTEN (1964)
    Note : 11/20
    Bien sûr, on a connu le réalisateur plus inspiré !
  • TARZAN ET SA COMPAGNE (1934)
    Note : 14/20
    2e film de la série avec à nouveau Weissmuller dans le rôle du Roi de la Jungle.
  • SEULS LES ANGES ONT DES AILES (1939)
    Note : 15/20
    Un solide film à connotation mélodramatique, plein d'émotion et de sentiments retenus, mais aussi un hymne puissant à l'amitié, aux héros quotidiens et anonymes des débuts de l'aéronautique. Un film touchant, étonnant, envoûtant.
  • LE TRANSFUGE (1985)
    Second film du metteur en scène Philippe Lefebvre, après "Le juge" qui signe à nouveau une oeuvre intéressante et sympathique sur le thème de la manipulation dans les sphères obscures et fallacieuses du contre-espionnage.
  • OPÉRATION LADY MARLÈNE (1975)
    Il est bien triste et navrant de voir combien Robert Lamoureux que nous avons tant aimé dans le passé est devenu insignifiant et d'un comique fort banal et banalisé.
  • LE CUIRASSE POTEMKINE (1925)
    Note : 17/20
    Une épopée glorieuse, d'une émotion souvent viscérale. Le rythme est haletant, les images saisissantes. Le film marque une date dans l'histoire du cinéma soviétique et international. Incontournable et signifiant.
  • LES GÉANTS DE L'OUEST (1969)
    Du grand spectacle hollywoodien qui, sans manquer d'humour et de dérision, donne une dimension quasi mythique de cette période de l'épopee américaine. On peut toutefois rêver au traitement qu'aurait donné à un tel scénario, le grand John Ford.
  • LES DAMES DU BOIS DE BOULOGNE (1945)
    Note : 16/20
    Très beau film de Robert Bresson et pénétrante analyse de la psychologie des rapports amoureux, qui mérite toute notre attention.
  • L'ORDINATEUR DES POMPES FUNÈBRES (1975)
    Hormis quelques scènes suaves, dues essentiellement à la prestation de certains acteurs, le film est et reste une mortelle déception.
  • RENDEZ-VOUS (1985)
    Note : 17/20
    Merveilleux trio d'acteurs dans un film remarquable entre désespoir tranquille et déchirure relationnelle où le mal de vivre se conjugue avec le besoin d'exister.
  • LE GEANT DU GRAND NORD (1959)
    Batailles avec la cavalerie légère, amour multiracial, héros beau, jeune et juste, des bons et des méchants dans les deux camps et un sacrifice final. Scénario trop classique, réalisation conventionnelle, manichéisme habituel avec pourtant de temps à autre, en arrière-fond, le souffle épique, romantique d'un réalisateur souvent étonnant (cf. "Chuka le redoutable") A voir donc, faute de mieux.
  • CORVETTE SUMMER (1978)
    Note : 5/20
    Complètement insignifiante, voire quelquefois lourdement débile, cette production américaine de troisième série, mise en images par un vague tâcheron insignifiant, ne mérite aucune considération particulière.
  • LA FOLIE DES GRANDEURS (1971)
    Note : 6/20
    Tentative parodique qui sent le renfermé et la facilité, oscillant entre le vulgaire graveleux et la farce grotesque. On peut se demander dans quelle galère s'est fourvoyé notre intello de gauche et de service, Yves Montand. C'était le début de "sa" "folie des grandeurs" qui ne semble plus l'avoir quitté depuis.
  • L'IMPOSSIBLE TEMOIN (1979)
    Encore un acteur qui passe derrière la caméra, sans faire vraiment ses preuves.
  • POSSESSION (1981)
    Note : 16/20
    Sur le thème du double, de l'interaction entre la réalité de la schizophrénie et la schizophrénie de la réalité, de l'ambivalence et des possibles de la nature humaine, Zulawski a construit une oeuvre difficile, souvent ésotérique, mais dont la rigueur de démonstration et de pensée mérite quelques éloges.
  • LA BARONNE DE MINUIT (1939)
    Note : 18/20
    Un film rarement distribué, d'un metteur en scène presque inconnu (mais prolifique) et, divine surprise, un petit joyau de la comédie américaine d'une finesse et d'un humour exceptionnels, traversé par quelques comédiens étonnants de conviction.
  • UN PETIT HOMME (1941)
    Note : 10/20
    Comédie alerte entièrement tissée autour de l'excellent Heinz Ruhmann, dans une histoire tirée par les cheveux, et qui malgré sa médiocrité, reste quelque peu plaisante.
  • L'ASSASSIN HABITE AU 21 (1942)
    Note : 16/20
    Premier long métrage de Clouzot qui le fit de suite reconnaître parmi les grands.
  • CE DIABLE DE GARÇON (1944)
    Note : 11/20
    Sympathique de bout en bout, d'une constante légèreté bienvenue, une comédie agréable, divertissante et souvent fort humoristique, ce qui reste rare dans le cinéma nazi de l'époque. Heinz Rühmann est innénarrable.
  • COCKTAIL MOLOTOV (1980)
    Note : 13/20
    Sur fond d'événements historiques mal esquissés, un film gentillet, un peu banal, un peu niais comme peut l'être quelquefois l'adolescence et qui ne possède en rien la violence souhaitée de son titre accrocheur et détonant.
  • LA DERNIERE VAGUE (1977)
    Note : 15/20
    Une réalisation solide et lente du "pays où rêvent les fourmis vertes". Sans égaler le splendide chef-d'oeuvre précédent du metteur en scène ("Picnic à Hanging Rock"), elle reste un excellent moment de cinéma.
  • LA PLUME BLANCHE (1955)
    Note : 11/20
    Un western moyen parmi d'autres.
  • DEUX FILLES AU TAPIS (1981)
    Oeuvre particulière dans la filmographie du cinéaste qui bénéficia d'une courte distribution parisienne en février 1982 et qui suscite moult interrogations et curiosités.
  • ON A VOLÉ LA CUISSE DE JUPITER (1979)
    Note : 10/20
    Cinéma familial, d'une honorable banalité qui se regarde et s'oublie très rapidement, sans grande envergure, sans médiocrité apparente. Une œuvre de Philippe De Broca en rupture d'aspiration et d'inspiration.
  • TERREUR EXTRA-TERRESTRE (1980)
    Note : 6/20
    Inintéressant au possible !
  • COMMENT RÉUSSIR... QUAND ON EST CON ET PLEURNICHARD (1973)
    Note : 8/20
    Du cinéma sans finesse et sans grandeur avec d'évidents relents de médiocrité dans son humour "rase-mottes". L'habituelle sauce Audiard des plus frelatées.
  • THE BLUES BROTHERS (1980)
    Note : 12/20
    Un film fort bien enlevé, au rythme souvent des plus soutenus mais qui manque tout de même, de temps à autre, de finition et de maîtrise.
  • UNE VIE DE CHIEN (1918)
    Note : 17/20
    Encore un chef-d'oeuvre du grand Chaplin qui, malgre la brièveté du film (32 minutes) reste une production essentielle de l'époque.
  • DOUCE (1943)
    Note : 16/20
    Film remarquable et noir, d'une constante froideur entre désespoir et méchanceté, qui mérite une nouvelle redécouverte ainsi d'ailleurs que toute l'oeuvre du cinéaste.
  • MYSTERE A BUFFALO (1982)
    Note : 13/20
    Un film sympathique d'Alan Rudolph qui mélange avec brio le genre "aventure" et le "thriller écologique" en évoquant le problème des armes bactériologiques et des manipulations génétiques, récurrentes thématiques à la mode.
  • DROLE DE COUPLE (1968)
    Note : 13/20
    Réalisé par un metteur en scène mineur, ce film, adapté d'une pièce de théâtre à succès, est relativement moyen, mais les prestations de Jack Lemmon et Walter Matthau peuvent justifier à elles seules le détour ; leur abattage parvenant presque à faire oublier l'anonymat de la mise en scène.
  • L'HOMME QUI AIMAIT LES FEMMES (1977)
    Note : 13/20
    Une agréable et savoureuse comédie dramatique, pleine de verve et d'à propos pertinents sur la séduction, son besoin et l'insatiabilité affective, racontée avec drôlerie et finesse, en voix off par un Charles Denner étonnant, virevoltant d'aise et de maîtrise.
  • DRÔLE D'EMBROUILLE (1978)
    Note : 12/20
    Sur un scénario loufoque et policier (on veut assassiner sa sainteté le Pape) avec des personnages hautement singuliers (un albinos, un nain) et quelques séquences drôlement originales, un film agréable, reposant, distrayant et fort bien réalisé.
  • MAIGRET ET L'AFFAIRE SAINT-FIACRE (1959)
    Un petit policier parmi d'autres, plaisant et sympathique, qui tient la route grâce au solide jeu des acteurs et a la trame efficace du roman de Georges Simenon.
  • EN EFFEUILLANT LA MARGUERITE (1956)
    Note : 12/20
    Une comédie allègre(t) et bienvenue.
  • CORLEONE A BROOKLYN (1979)
    Malgré un suspense plutôt bien composé, le film n'a pourtant pas d'âme. On est loin des réalisations d'un Damiano Damiani, la peinture ne semble pas achevée.
  • ILS NE PORTENT PAS DE SMOKING (1981)
    Note : 14/20
    Incontournable représentant d'un certain cinéma politique revendicatif, dans la haute lignée des Nelson Pereira dos Santos, Ruy Guerra et autres Carlos Diegues, un réalisateur radical et communicatif, pour un film sérieux, didactique et nécessaire dans sa démonstration des principes et des rouages de l'exploitation du prolétariat et de l'oppression économique exercée par les détenteurs du pouvoir et de la force.
  • D'APRES MARIA (1985)
    Note : 11/20
    Interprétation d'une grande fraîcheur naturelle, à l'ombre d'un optimisme bienvenu.
  • SURCOUF LE TIGRE DES SEPT MERS (1966)
    Un délassement sans prétention.
  • CELA PEUT ARRIVER A TOUT LE MONDE (1952)
    Note : 4/20
    Une comédie allemande fort décevante et poussive avec quelques rares passages prêtant à sourire, dans un ensemble terne et insipide, que même la présence du grand Heinz Rühmann ne sauve pas du naufrage définitif.
  • L'ÉTÉ PROCHAIN (1984)
    Note : 8/20
    Des bons sentiments à la criée, beaucoup de maniérisme et de gentillesse bon enfant ne suffisent pas à provoquer l'intérêt réel du spectateur un peu exigeant.
  • JUSTICE POUR TOUS (1979)
    Note : 12/20
    Ne répugnant pas à l'utilisation du grotesque et de l'outrance, Jewison propose un film réjouissant qui malgré ses limites, mérite une plaidoirie.