Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • ARIA (4) (1987)
    Note : 6/20
    En prenant comme support les airs les plus connus de "Rigoletto" de Verdi, Julien Temple tente vainement de créer un climat de libertinage et de frivolité.
  • PARANO (4) (1994)
    Note : 11/20
    Sujet fort original, mais dont le traitement est quelconque, la réalisation, modeste.
  • LEGITIME VENGEANCE (1992)
    Note : 8/20
    Téléfilm réalisé à l'origine pour le câble, cette oeuvre bien banale a bénéficié d'une sortie en salles, aux States. On a connu John Flynn mieux inspiré à l'époque de "Rolling Thunder" ("Legitime violence").
  • AUX BONS SOINS DU DOCTEUR KELLOGG (1994)
    Note : 12/20
    Un sujet a priori plutôt engageant, gâché par une mise en scène dans son ensemble molle et inaboutie. L'humour gras et complaisant du scénario ne sauvant nullement une des plus pathétiques comédies jamais vues.
  • ARIA (7) (1987)
    Note : 10/20
    D'après l'opéra du célèbre compositeur de musique de films, Erich Wolfgang Korngold, "La ville morte" (1920) le réalisateur Bruce Beresford nous propose une banale mise en images d'un brûlant sujet d'amour fou.
  • PARANO (1) (1994)
    Note : 13/20
    Sainement vulgaire, un peu schématisé et caricatural.
  • L'HOMME À LA CHAUSSURE ROUGE (1985)
    Note : 7/20
    Un remake parfaitement inutile d'un film qui l'etait deja. Personne ne se sort de ce ratage total qui n'arrache meme pas un sourire.
  • CONSENTEMENT MUTUEL (1994)
    Note : 13/20
    Le drame psychologique tourne vite au ridicule faute d'un scenario abouti et de dialogues credibles.
  • ARIA (2) (1987)
    Note : 15/20
    Vision hautement baroque, brillante et d'une époustouflante maestria.
  • SAKAT (1990)
    Note : 15/20
    Première oeuvre fort intéressante !
  • SIX DEGRÉS DE SÉPARATION (1993)
    Note : 14/20
    Des dialogues enlevés et piquants mais la mise en scène manque de vigueur.
  • SHUTTLECOCK (1988)
    Note : 14/20
    Un film independant americain tourne avec un budget fort modeste. D'une intelligente simplicite.
  • ARIA (9) (1987)
    Note : 14/20
    On reconnaît de toute évidence l'histoire éternelle, maintes fois abordée au cinéma, de Tristan et Iseult, traitée en musique par Richard Wagner, dans cette courte, mais efficace mise en scène qui allie la beauté au tragique.
  • BLACK-OUT SUR TALLINN (1993)
    Note : 15/20
    Excellente production d'origine finno-estonienne.
  • JACK (1993)
    Note : 14/20
    Film curieux et attachant éloigné des habituels standards de la production hollywoodienne de l'époque et qui peut séduire agréablement.
  • BEST OF THE BEST (1989)
    Dans le genre, une oeuvre fort commune et sans réel intérêt.
  • ARIA (5) (1987)
    Note : 13/20
    C'est le prélude et l'air de Calaf du 3e acte de "Turandot" de Giacomo Puccini qui accompagne cette lente plongée / apnée vers l'inconnu, éloigné et proche à la fois.
  • LE PLONGEON (1993)
    Note : 9/20
    Une oeuvre qui fut remarquee et dont nous n'adherons aucunement.
  • SUNSET GRILL (1992)
    Note : 7/20
    Tous les clichés du genre figurent au répertoire de cette médiocre production réalisée sans conviction, mal photographiée et mollement interprétée. Bien loin de l'efficace "Morts suspectes" de Michael Crichton, un film à éviter.
  • AVA ET GABRIEL (1990)
    Une oeuvre de qualité, originaire d'une filmographie rare, fort justement primée dans moult festivals, qui mérite largement le dépaysement.
  • ARIA (8) (1987)
    Note : 12/20
    Prenant comme support l'aria "Depuis le jour" de l'opéra de Gustave Charpentier, "Louise", Jarman nous fait une moyenne démonstration de son talent.
  • RIDERS OF THE PURPLE SAGE (1931)
    Note : 15/20
    Première version d'un classique du western !
  • LIGNE PRIVÉE (1993)
    Présentée dans quelques festivals, cette oeuvre ne connut pas de sortie française en salles, mais fut diffusée à la télévision en tant que simple téléfilm. L'occasion de voir les deux acteurs Michael Madsen et Damian Chapa, excellents dans leurs rôles respectifs.
  • L'ÎLE ETOILÉE (1993)
    Note : 15/20
    Par un jeune réalisateur sud-coréen, qui commence à percer dans son pays pour un film qui atteste du renouveau de ce cinéma encore trop méconnu en France.
  • ARIA (10) (1987)
    Note : 8/20
    Sans intérêt, hélas !
  • L'EMIGRANT (1917)
    Note : 17/20
    Chaplin for ever !
  • MON AMIE MAX (1993)
    Note : 14/20
    Malgré la présence de quelques clichés, un film sensible où Geneviève Bujold, toujours aussi lumineuse, fait une fois de plus, merveille.
  • DANGER PLANÈTE INCONNUE (1969)
    Note : 11/20
    Scénario brillant, hélas mal(traité) !
  • LA CHANCE ET L'AMOUR (1) (1964)
    Note : 13/20
    De quoi passer au conseil de révision !
  • HIGH BOOT BENNY (1992)
    Note : 10/20
    Les vingt premières minutes sont captivantes, puis le film vire vers l'invraisemblance totale, frisant parfois un gênant ridicule.
  • HÉRITAGE (1932)
    Note : 12/20
    Drame emphatique et théâtral dont on retient l'interprétation de Katherine Hepburn.
  • DÉTECTIVE DU BON DIEU (1954)
    Note : 13/20
    Quelquefois ennuyeux, une oeuvre qui vaut surtout pour la dynamique interprétation d'Alec Guinness qui, quelque soit le scénario, s'impose.
  • LA CHANCE ET L'AMOUR (4) (1964)
    Note : 11/20
    Correct, sans plus.
  • ROSITA CHANTEUSE DES RUES (1923)
    Note : 17/20
    Premier long métrage américain d'Ernst Lubitsch, longtemps invisible, projections bloquées par Mary Pickford, productrice du film, pour d'obscures et stupides dissensions avec le réalisateur, lors du tournage et qui se révèle comme une superbe comédie sentimentale, d'une incroyable précision et finesse techniques dans sa magistrale réalisation qui augure bien d'autres chefs-d'oeuvre à venir.
  • THE MAGIC GARDEN OF STANLEY SWEETHEART (1970)
    Note : 6/20
    Une grossière, voire ridicule farce opportuniste qui se voudrait reflet des moeurs de son époque, mais y échoue lamentablement.
  • LA BIONDA (1992)
    Note : 6/20
    Détestable à l'extrême !
  • LA CHANCE ET L'AMOUR (3) (1964)
    Note : 12/20
    Pourquoi pas !
  • ANNE-MARIE (1936)
    Antoine de Saint-Exupéry scénariste semble puiser les éléments de son histoire dans son quotidien relationnel et parvient ainsi à nous séduire agréablement.
  • SIZZLE BEACH USA (1974)
    Petit film érotique sans intérêt dont on serait aller à oublier jusqu'au titre s'il ne marquait la première apparition de Kevin Costner au cinéma.
  • EL TOPO (1971)
    Note : 13/20
    Baroque et quelquefois plutôt confus !
  • LA CHANCE ET L'AMOUR (2) (1964)
    Note : 13/20
    Ah ! les tortueuses relations amoureuses de province.
  • LA CHATTE DES MONTAGNES (1921)
    Note : 15/20
    Une oeuvre brillante et plutôt rare dont les étonnants décors kitsch font souvent sourire et dont l'humour hautement grotesque et drôle, flirte avec l'allusif et le vulgaire.
  • STACY'S KNIGHTS (1983)
    Note : 10/20
    Pas de quoi miser une fortune !
  • LE MYSTERE DE TARZAN (1943)
    Note : 14/20
    Distrayant et bienvenu !
  • LE MIROIR (1974)
    Note : 16/20
    D'une terrible et lucide intelligence, une oeuvre dense et complexe, alliant l'imaginaire, le phantasme, le souvenir, souvent entremêlés, dans un récit déstructuré et pourtant puissamment maîtrisé, à l'aune du génie de Tarkovski.
  • LE PETIT PRINCE (1966)
    Note : 11/20
    Peu de chose à dire de cette oeuvre rarement distribuée dans les salles de l'hexagone, hormis lors de quelques festivals de films pour enfants, qui ne dégage pas cette fraîcheur du roman, par trop de scènes tournées en studio.
  • UN JEU BRUTAL (1983)
    Note : 15/20
    D'étonnants acteurs, pour un sujet difficile et fragile, parfaitement maîtrisé dans son ensemble, avec un Bruno Cremer d'une formidable présence.
  • BATEAUX DE PÊCHE (1958)
    Note : 14/20
    Avec en prime, l'incessant staccato du moteur, le ballet criard des mouettes qui attendent les rejets de la découpe des poissons. Toute une existence.
  • LE ROULEAU COMPRESSEUR ET LE VIOLON (1960)
    Note : 14/20
    Troisième et dernier court métrage d'étude réalisé par le metteur en scène, qui dénote en rien les fulgurances à venir du cinéaste. Une histoire gentillette, pour une prise de vue correcte et des acteurs aimables et convaincants.
  • INGALO (1992)
    Note : 15/20
    Il serait grand temps de découvrir le cinéma islandais dont la force et l'intelligence sont étonnantes, malgré une cruelle absence sur nos écrans.