Aliocha, le narrateur, âgée de quarante-cinq ans est malade, hospitalisé. Cette fragilité physique sera pour lui l'occasion, le catalyseur d'une profonde et intime réflexion sur son existence, son vécu, son passé surtout. Cet incessant retour sur soi-même aura sans cesse comme récurrente référence deux femmes : Maroussia, sa mère et Natalia, sa femme qui ont bouleversé en profondeur sa vie.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
NoteCinéfiches : 16/20
D'une terrible et lucide intelligence, une oeuvre dense et complexe, alliant l'imaginaire, le phantasme, le souvenir, souvent entremêlés, dans un récit déstructuré et pourtant puissamment maîtrisé, à l'aune du génie de Tarkovski.