Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 42 films notés

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  • DESPAIR (1977)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Oeuvre complexe, riche et essentielle du géant Fassbinder.
  • DÉMONIAQUE PRÉSENCE (1988)
    Critique CF
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    Note : 7/20
    Affligeant de bêtise et d'inutilités, une oeuvre fadasse et stupide, tournée sous pseudonyme, bourrée d'incohérences et de banalités dans laquelle se sont égarées Linda Blair et Hildegard Knef, au meilleur de leur perdition.
  • TANK GIRL (1994)
    Critique CF
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    Note : 9/20
    De nombreuses scènes d'animation disséminées çà et là tentent en vain de dynamiser un film sans grande originalité et dans l'ensemble fort passable.
  • FRONTIÈRE DANGEREUSE (1957)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Une interprétation hors pair de Rod Steiger dont la composition artistique vire à la perfection, portée par la subtilité d'un scénario concocté sur une tortueuse histoire de Graham Greene. Une mention spéciale pour l'étonnante chienne épagneul dans le film dont la présence et le rôle restent essentiels dans la singulière dramaturgie narrative.
  • PAUL (1969)
    Critique CF
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    Note : 8/20
    Un film qui se veut austère et d'un hermétisme de bon aloi mais qui, malgré sa cohérence formelle, parvient difficilement à convaincre. On est vite lassé par la lourdeur et, il faut bien le dire, une certaine platitude du propos.
  • LE ROI DES SINGES (1965)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Adaptée de sept chapitres d'un grand classique de la littérature du 16eme siècle de Tch'eng-En Wou : "Le singe pélerin ou le pèlerinage en Occident", cette oeuvre mythique reste une date dans l'histoire du film d'animation chinois et mondial, tournée en deux parties, en 1961 et 1965, qui garde l'étrange fraîcheur d'une vaporeuse naïveté alliée à une constante richesse formelle, malgré et peut-être à cause d'un graphisme fort éloignée de la technologie sophistiquée des bancs-titres informatisés d'aujourd'hui qui nimbe et charme l'ensemble d'une mystérieuse et séduisante poésie intemporelle.
  • LE MANUEL D'UN JEUNE EMPOISONNEUR (1994)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Première oeuvre dont la tonalité et l'humour ne manquent en rien d'originalité.
  • LA JEUNESSE DE LA BÊTE (1963)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Moins maîtrisée que, par exemple, "Le vagabond de Tokyo", une oeuvre tout de même digne d'intérêt avec une étonnante galerie de personnages secondaires.
  • LA PLUS BELLE SOIRÉE DE MA VIE (1972)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Un Scola acide et plaisant !
  • SECRET PEOPLE (1951)
    Critique CF
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    Note : 12/20
    Sur le thème de la manipulation, une oeuvre honnête et sans surprise.
  • EN MAI FAIS CE QU'IL TE PLAIT (1994)
    Critique CF
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    Note : 9/20
    Un bout à bout de séquences artificielles et pesantes sans jamais convaincre.
  • DANS LES COULISSES (1949)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Surtout pour l'excellent travail de Mario Bava, à la caméra !
  • LOIN VERS L'EST (1929)
    Critique CF
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    Encore une oeuvre méconnue de Tod Browning qui mérite la plus grande attention.
  • LES RENDEZ-VOUS DE PARIS (1994)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Rohmer toujours égal à lui-même !
  • LE FABULEUX DESTIN DE MADAME PETLET (1994)
    Critique CF
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    Note : 10/20
    Quelques idées sympathiques court-circuités par un manque de rigueur dans la mise en scène, réalisée par la propre fille d'Alain Cavalier.
  • LES TURBANS ROUGES (1967)
    Critique CF
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    La recette éprouvée des "Trois lanciers du Bengale" (Henry Hathaway) ne prend pas, même si le spectacle reste tout de même consommable.
  • NOUS LES ENFANTS DU XXEME SIECLE (1993)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    D'une cruelle et triste vérité.
  • LE LIT CONJUGAL (1962)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Une fable caustique dans la lignée des honorables réussites de Marco Ferreri.
  • FALKENAU - VISION DE L'IMPOSSIBLE (1988)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Documentaire essentiel et toujours nécessaire, comme d'ailleurs tout ce qui tourne autour de la dénonciation impérative et constante des odieux crimes nazis, pour éviter une tentante et réductrice banalisation historique, ce film d'Emil Weiss est aussi le témoignage implacable, d'un des plus grands metteurs en scène américains en la personne de l'inénarrable Samuel Fuller dont ce fut certainement ici sa toute première réalisation, du moins connue et visible, à ce jour.
  • LA LUNE ET LE TÉTON (1995)
    Critique CF
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    Note : 8/20
    La vulgarité et les obsessions mammaires de Luna sont bien tristes.
  • ROGOPAG (3) (1963)
    Critique CF
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    Le plus "célèbre" des quatre sketches du film, une oeuvre ironique et mordante qu'il faut avoir vue et qui marqua la première collaboration des deux monumentaux cinéastes que furent Pier Paolo Pasolini et Orson Welles.
  • LE RETOUR DE L'ABOMINABLE DOCTEUR PHIBES (1972)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    On est fort loin de la poésie et de l'humour macabre de l'excellent film "générique", malgre certaines (rares) scènes dignes d'intérêt.
  • TUKUMA (1985)
    Critique CF
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    Note : 10/20
    Sur un scénario minimaliste et quelque peu insignifiant, le réalisateur Palle Kjaerulff-Schmidt nous propose une approche déférente et complice du peuple inuit et nous fait part de sa profonde fascination pour un territoire à la fulgurante beauté, mis en danger par les méfaits d'une pollution de plus en plus fréquente. Noble dessein, à connotation faussement ethnologique, parsemé de petites phrases sentencieuses, qui ne suffit pas pour donner à l'oeuvre une chaleur et une densité perceptibles.
  • UN PILOTE REVIENT (1942)
    Critique CF
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    Note : 8/20
    Consacrée en 1942 par le Prix National Cinématographique pour le Meilleur Film Politique et de Guerre, bénéficiant de l'apport scénaristique du second fils du Duce, Vittorio Mussolini, sous l'anagramme de Tito Silvio Mursino et souvent considérée comme un film de propagande, cette œuvre insipide et niaise dégage un ennui soporifique que même le charisme de Massimo Girotti n'arrivent pas à dissiper.
  • LE GARÇU (1995)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Des dialogues et une mise en scène simples et justes ainsi qu'un refus de toute facilité dramatique. Une grande et belle réussite pour une oeuvre mature et d'une exceptionnelle qualité qui nous réconcilie avec le réalisateur.
  • THE ADDICTION (1994)
    Critique CF
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    Note : 8/20
    Nous n'en démordrons pas, c'est sans intérêt et même prétentieux.
  • FAITS DIVERS (1982)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Remarquable d'acuité et de véracité.
  • SAMSON (1936)
    Critique CF
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    Mélodrame bourgeois, comme en raffolait le public de l'époque. L'intrigue est conventionnelle, mais Harry Baur et Gaby Morlay donnent le meilleur d'eux-mêmes.
  • L'ÉMIGRE (1994)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Un Chahine transcendant.
  • USUAL SUSPECTS (1994)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Un des meilleurs thrillers de l'année 1995.
  • LES CHIENS VERTS DU DÉSERT (1967)
    Critique CF
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    Un film de guerre à réserver aux inconditionnels de son auteur, familier du cinéma bis.
  • BEFORE SUNRISE (1994)
    Critique CF
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    Note : 8/20
    Clichés et radotages !
  • BERNARD ET BIANCA AU PAYS DES KANGOUROUS (1991)
    Critique CF
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    Note : 12/20
    Une animation parfaitement maîtrisée et un scénario moins puéril qu'à l'habitude font de ce dessin animé un honnête divertissement familial.
  • BAD BOY BUBBY (1993)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Oeuvre qui se veut dérangeante, mais qui n'évite ni les répétitions ni les lourdeurs. Tout à fait intéressant, néanmoins et fort justement remarqué dans quelques festivals.
  • LA JEUNE FILLE ET LA MORT (1995)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Sans conteste, un Polanski mineur.
  • BATMAN FOREVER (1995)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Un zeste de psychanalyse et l'entrée en scène de Robin renouvellent agréablement le filon. Un spectacle finalement inventif et drôle.
  • TRAQUE SUR INTERNET (1995)
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    Note : 10/20
    Un thriller poussif et bien peu crédible qui se regarde l'oeil et l'esprit ennuyés.
  • SMOKE (1994)
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    Note : 16/20
    Variation littéraire sur le destin qui doit beaucoup à Paul Auster.
  • ENNEMI PUBLIC (1993)
    Critique CF
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    On ne comprend pas bien les obscures motivations criminelles du personnage principale dont la personnalité paraît des plus improbables.
  • ASSASSINS (1995)
    Critique CF
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    Note : 9/20
    Stallone fait cette fois appel à Richard Donner, vieux routier du film d'action, qui parvient parfois à donner un peu de punch à cet invraisemblable thriller.
  • MALOMBRA (1942)
    Critique CF
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    Note : 17/20
    Une réussite d'un réalisateur méconnu.
  • LES DAMNÉS (1962)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Inquiétant et remarquable !
  • LA TOILE D'ARAIGNÉE (1989)
    Critique CF
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    Adaptation du célèbre roman de l'incontournable écrivain autrichien Joseph Roth, correctement réalisé par un honorable metteur en scène.
  • LES ANNÉES DU MUR (1994)
    Critique CF
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    Note : 9/20
    Une autre rature de Margarethe von Trotta. Décidément.
  • M LE MAUDIT (1951)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Bien sûr cette version yankee du chef-d'oeuvre de Fritz Lang ne fera pas ombre à sa prestigieuse mouture originale, mais il faut reconnaître que cette réalisation rare présente indéniablement des qualités remarquables, surtout par l'étonnante interprétation de David Wayne dans le rôle de Martin W. Harrow, le psychopathe recherché et dans une moindre mesure, celle de Luther Adler en avocat alcoolique.
  • LES HABITANTS (1992)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Film extrêmement personnel, entre onirisme et naïveté, par un cinéaste à suivre.
  • LA FILLE AUX MAINS SANGLANTES (1969)
    Critique CF
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    Mediocre et lourd, d'une constante banalite dans le traitement.
  • EIN HERZ GEHT AUF REISEN (1969)
    Critique CF
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    Note : 6/20
    Scénario et réalisation déplorables sauvés par le kitsch des chansons de Heintje.
  • SHANGHAI TRIAD (1994)
    Critique CF
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    Note : 11/20
    Nouvelle collaboration entre Zhang Yimou et Gong Li, avec un résultat nettement moins convaincant qu'auparavant, nous laissant quelques insatisfactions durables.
  • DU COURAGE POUR CHAQUE JOUR (1964)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Oeuvre excellente d'un puissant et vertigineux pessimisme, à la rigueur exemplaire.