• CATHY COME HOME (1966)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Il serait inutile et commode de stigmatiser l'Angleterre des années soixante où "des conducteurs de bus, des routiers, des mineurs ou imprimeurs, ouvriers, gars de chantier, toute sorte de travailleurs, ont perdu leur maison", (dixit une voix off du film) de croire que la rigoureuse dénonciation d'un Ken Loach, déjà hautement social et revendicatif, se délite dans un lointain passé révolu ou se cantonne dans un pays anglo-saxon ; aujourd'hui, en France, le bonheur sarkozyste commence à faire lentement ses ravages, après avoir essaimé ses fallacieux mirages.
• CHIENS À VOUS DE CREVER (1958)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Pas vraiment de quoi pavoiser dans ce film guerrier, réalisé par un spécialiste du genre, malgré une intéressante reconstitution des dramatiques combats de rues.
• TROIS VIES ET UNE SEULE MORT (1995)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  L'univers de Raul Ruiz, avec son humour, son hermétisme, son intelligence et sa constante richesse pour une œuvre étrange et bienvenue.
• LES PLEINS POUVOIRS (1997)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Eastwood for ever !
• CREOSOTE (1931)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Jamais fastidieux, une oeuvre a priori ardue et pourtant limpide !
• UN VAMPIRE À BROOKLYN (1996)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un Wes Craven mineur, mais en rien inintéressant ou quelconque.
• MA VIE EN ROSE (1996)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Sur le thème de l'acceptation de la différence chez les autres, une oeuvre plutôt sympathique malgré des scènes quelquefois bien "nunuches".
• DET UNE PETITE FILLE (1995)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un réalisateur iranien à suivre.
• TRAIN DE NUIT POUR MUNICH (1940)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Savoureuse oeuvre de Carol Reed, d'un humour subtil et d'une sagacité délicieuse.
• SCARLET DAWN (1932)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une rareté du grand Wolfgang Dieterle, avec un excellent Douglas Fairbanks (junior), pour un mélodrame passionné et passionnant, aux moult rebondissements.
• URI (1994)
  Critique CF

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  Note : 4/20

  Russell et Geller, même combat, de l'esbroufe et de la médiocrité.
• COMMENT JE ME SUIS DISPUTÉ... (MA VIE SEXUELLE) (1996)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Arnaud Desplechin est toujours aussi brillant dans sa magistrale et mouvante scénographie des âmes en peine d'existence et de compréhension de leur mécanisme vital. Mais que cela devient finalement vain et dérisoire, déconnecté des réalites économiques et sociales et quelque part d'une préciosité dérangeante.
• LA VIE DE JÉSUS (1997)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Une première oeuvre étonnante de maîtrise, d'efficacité et de simplicité.
• LE CIEL, LA TERRE (1965)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Un hommage et un honneur à tout un peuple qui sut par l'ingéniosité de sa résistance et sa légendaire obstination terrasser l'ogre américain.
• COÛTE QUE COÛTE (1995)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre criante de vérité où l'économie bataille avec l'humain.
• SAN CLEMENTE (1981)
  Critique CF

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  Classique du film documentaire sur la folie portant sur l'aliénation un regard lucide et pénétrant, avec une intéressante distanciation, proche du travail d'un Wiseman.
• NOUS BÂTISSONS (1930)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Oeuvre muette, simple et méthodique qui dévoile tout le talent de Joris Ivens.
• DIABOLIQUE (1995)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Un navrant remake lourd, pesant et sans âme qui cherche par tous les moyens à séduire, sans y parvenir.
• HUSTLER WHITE (1996)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre plutôt étonnante, à la limite de la pornographie, dont l'humour est toujours présent et qui réfère explicitement aux fameux films underground des années 1960/1970, aujourd'hui à nouveau stupidement invisibles.
• LE SOUFFLE (1996)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Prétentieux, stupide, mièvre !
• SORTEZ DES RANGS (1996)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un sujet rarement abordé au cinéma, pour un film sincère et courageux.
• TWO STARS IN THE MILKY WAY (1931)
  Critique CF

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  Une rareté qui ne se refuse pas.
• SYMPHONIE INDUSTRIELLE (1931)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  La plupart des filiales et succursales du groupe industriel refusèrent le film, inutilisable pour de la publicité, par ses images trop négatives pour la société.
• SUNCHASER (1996)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  A retenir la solide interprétation de l'excellent Jon Seda !
• L'AMOUR EN QUATRE DIMENSIONS (1) (1963)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  C'est fort médiocre et souvent stupide !
• LA MORSURE DU FROID (1997)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un solide et passionnant réalisateur norvégien, jamais décevant !
• DES NOUVELLES DU BON DIEU (1995)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Superbe premier long métrage, un excellent scénario et des acteurs remarquables.
• L'AMOUR EN QUATRE DIMENSIONS (2) (1963)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  A peine médiocre, et encore !
• PAPA EST ENCORE FATIGUE (1996)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Oeuvre fort insupportable et irritante, insipide et bien prétentieuse.
• FLIRTER AVEC LES EMBROUILLES (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Délicieuse petite comédie américaine, où l'on ne s'ennuie jamais et dans laquelle, on rit quelquefois de bon cœur, sans atteindre une finesse remarquable.
• L'AMOUR EN QUATRE DIMENSIONS (3) (1963)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Dernier sketch (dans la VF) qui ne présente pas plus d'intérêt que les trois autres.
• ZUIDERZEE (1930)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une œuvre importante, sur des travaux essentiels.
• BREAKING THE WAVES (1996)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Une somptueuse interprétation de l'inoubliable Emily Watson !
• L'AMOUR EN QUATRE DIMENSIONS (4) (1963)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Tout juste de quoi sourire !
• LA FLECHE ARDENTE (1911)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Premier film de Joris Ivens tourné à l'âge de treize ans.
• A L'ANGLE DU MONDE (1937)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  En grande partie documentaire, cette oeuvre peu connue du fameux réalisateur britannique, entièrement parlée en langue gaélique, ne souffre pas de la comparaison avec le célèbre film de Robert J. Flaherty, le magnifique "homme d'Aran" même si de toute évidence, on se place plusieurs degrés en-dessous.
• J'AI HORREUR DE L'AMOUR (1997)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre fort sympathique qui pèche un peu par sa longueur et sa lenteur, mais dont les principaux acteurs méritent entièrement notre attention.
• LE PORTEUR DE CERCUEIL (1996)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  A enterrer dare-dare !
• TOUS LES HOMMES SONT PAREILS (1994)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  La médiocrité d'un certain cinéma ibérique.
• MICHAEL (1996)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  On peut rêver à ce qu'aurait fait un Frank Capra d'un tel scénario !
• LA REDEMPTION (1997)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Rien de fort intéressant dans ce sujet fortement "minoritaire".
• CERVEAUX DE RECHANGE (1936)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Pour la présence et la prestance de l'incontournable Boris Karloff.
• ANACONDA LE PRÉDATEUR (1997)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On a connu bien pire !
• LE DIX-SEPTIÈME PARALLÈLE (1967)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Un modèle de cinéma et une déculottée de l'oncle Sam.
• SHINE (1995)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  John Gielgud reste incontournable !
• ADRESSE INCONNUE (1944)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Rareté projetée en France pour la 1ère fois au Festival du Film Maudit, Biarritz, 1949.
• L'AIGUILLEUR (1986)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Le bienvenu absurde "stellingien" !
• LA JUREE (1995)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Bien joué, mais d'une totale et insupportable invraisemblance.
• ANNA KARENINE (1927)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une œuvre agréable et bienvenue qui a pour particularité d'avoir été tournée avec une fin alternative : une conclusion heureuse, le couple se retrouvant après une longue séparation et le décès de l'époux ; une fin dramatique qui voit la jeune femme se précipiter sous un train, en gare. Autre singularité, la divine actrice Greta Garbo interprète le même rôle, huit ans plus tard, dans une version sonore.
• LA COLLECTIONNEUSE (1997)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une première oeuvre finnoise bienvenue mais qui manque énormement de fluidité, souvent fort pesante, avec quelques inutilités et fausses "nécessités" scénaristiques.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)