• AMELIA LOPES O'NEILL (1990)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre fort intéressante, riche et d'une extrême densité.
• MADLY (1970)
  Critique CF

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  Note : 4/20

  Quel sombre gâchis que cette histoire mal gérée, indigeste et plutôt saumâtre.
• LES MONSTRES DE L'ESPACE (1967)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Un chef-d'oeuvre du cinéma fantastique dont le dernier quart d'heure reste un moment d'anthologie dans le genre, d'une maîtrise et d'une efficacité parfaites.
• LA TOUR DES AMBITIEUX (1954)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  De solides acteurs confirmés pour un ensemble tout à fait honorable.
• MAYERLING (1935)
  Critique CF

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  Un sujet qui a tenté moult metteurs en scène, ici correctement réalisé.
• TOUTES SES FEMMES (1964)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Premier film en couleur de Bergman, qui reste son oeuvre la moins intéressante.
• LE SOUS-SOL DE LA PEUR (1991)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un "Wes Craven" fort réjouissant qui mérite une visite des lieux !
• TOUS LES MATINS DU MONDE (1991)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Hommage à la musique baroque, le film touche par l'intelligence de sa mise en scène, la grâce de sa photographie et l'audace constante de son traitement. Un des plus beaux films d'Alain Corneau à ce jour.
• LA FILLE AUX BRIQUETS (1987)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une oeuvre qui a le mérite de réhabiliter la condition des handicapés.
• RIEN QUE DES MENSONGES (1991)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Profondément féminin, sans pour autant avoir le moindre intérêt.
• MAMAN KÜSTER S'EN VA AU CIEL (1975)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Le prolifique Fassbinder a encore frappé, fort et bien.
• TA MERE OU MOI ! (1991)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Film qui passe sans cesse de la comédie à la bluette sentimentale sans convaincre.
• LE MARCHAND DES QUATRE SAISONS (1971)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Chef-d'oeuvre de Fassbinder pour ce terrible drame humain dans lequel Irm Hermann interprète finement un rôle surprenant d'authenticité et de profondeur.
• PAYSAGE AVEC FEMME (1976)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Unique réalisation d'un metteur en scène yougoslave trop tôt disparu.
• FOR THE BOYS (1991)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Une impression de déjà vu et des comédiens vraiment trop envahissants.
• L'ANNONCE FAITE A MARIE (1991)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  De sérieuses coupes dans le texte de Paul Claudel et un parti pris d'interprétation monolithique risque de décourager les plus audacieux. A voir malgré tout.
• LA GUERRE DU FER (1982)
  Critique CF

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  Schématisation des personnages et des situations, une oeuvre quelconque et terne.
• LARRY LE LIQUIDATEUR (1991)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Sans rythme et sans invention, une réalisation fort décevante de Jewison.
• SEPT JOURS EN MAI (1964)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Sur un scénario habilement construit, une réflexion sur les failles du système démocratique américain. Certainement un des meilleurs films de John Frankenheimer.
• MAYRIG (1991)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Chaleureux et plaisant !
• SOUL MAN (1986)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Bonne conscience et facilité pour un film de consommation courante !
• QUELQUES JOURS DANS LA VIE D'OBLOMOV (1979)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Teintée d'une attachante nostalgie, une oeuvre raffinée, de grande qualité.
• LES VIERGES (1962)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un excellent scénario, construit, selon le dossier de presse de l'époque, d'après quelques milliers de témoignages féminins recueillis par le metteur en scène Jean-Pierre Mocky, via un concours organisé par l'hebdomadaire "Ici Paris" sur le thème : "Racontez votre première nuit d'amour", qui nous propose de bienvenus tableaux d'époque, plus méchants que drôles, plus caustiques qu'indulgents. Une mention spéciale à Gérard Blain pour son hilarante composition d'un jeune aristocrate guindé et zézayant et à l'éphémère Catherine Derlac en laborantine follement énamouré, dont ce sera hélas la seule apparition sur un écran de cinéma.
• LE TEMPS DU ROCK'N ROLL (1980)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Spectacle distrayant sans grande envergure et rapidement oublié.
• MAGIC (1978)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Réalisation correcte, sans faille ni surprise !
• TOUTE LA VILLE EN PARLE (1935)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une comédie fort légère qui ne figure pas parmi les réussites majeures du réalisateur John Ford, mais que l'on peut voir sans déplaisir.
• LES SAINTS INNOCENTS (1984)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Excellente dramaturgie, jeu d'acteurs exceptionnel, une oeuvre forte et dense qui annonce le renouveau du cinéma espagnol avec la libéralisation du pays.
• TOUTE UNE NUIT (1982)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Une juxtaposition de nombreuses scènes impressionnistes et réalistes. Intéressant, mais l'ensemble manque cruellement d'émotion.
• LISTEN UP : THE LIVES OF QUINCY JONES (1990)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  On peut surtout reprocher à ce film, la pitoyable rareté de séquences musicales.
• LA VOIX (1992)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Hautement prétentieuse et d'un ennui certain, une oeuvre, bien sûr fort bavarde, et sans aucun intérêt comme nous en a habitué le réalisateur.
• DINGO (1990)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Une oeuvre sympathique, un peu bancale qui ne démérite pas.
• L'HOMME A LA TETE FELEE (1966)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Humour noir et grinçant pour une oeuvre "hénaurme" et dénonciatrice.
• L'HOMME QUI A PERDU SON OMBRE (1991)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Film bancal et dialogues désastreux.
• L'EPEE DU VAILLANT (1984)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  La présence de Sean Connery au générique n'aura pas suffi à légitimer une sortie française de ce film médiocre relégué au marché de la vidéo.
• LE DERNIER DRAGON (1985)
  Critique CF

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  Un film dont le seul véritable intérêt est la séance de combat finale, relativement spectaculaire. Le reste se noie dans une lourde fadeur désolante.
• NUAGE PARADIS (1991)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Personnage attachant et non dénué de poésie pour ce film plus qu'estimable.
• CONTRE-ESPIONNAGE (1943)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Réalisateur pragois à la copieuse filmographie qui débute à l'époque du cinéma muet (1919) pour se poursuivre, après l'avènement du Troisième Reich, en partie en Angleterre, Carl Lamac nous propose une œuvre policière touffue, voire quelquefois confuse, qui nous permet de retrouver un James Mason pertinent et serein qui confirme à nouveau un talent qui va pleinement s'épanouir les années à venir.
• UN HOMME A BRULER (1962)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Première oeuvre des frères Taviani, avec quelques très beaux moments, déjà !
• LA DAME DE PIQUE (1964)
  Critique CF

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  On ne peut pas dire que cette oeuvre enthousiasme vraiment les cinéphiles encore moins les lecteurs assidus d'Alexandre Pouchkine.
• TANGO (1980)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Incontestable et inoubliable chef-d'oeuvre du court métrage d'animation, un opprimant ballet en abyme, au pouvoir quasi hypnotique.
• LA COULEUR QUI TUE (1946)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Pas vraiment de quoi frémir dans ce policier médical où les personnages comme la photo sont bien ternes, hormis une bienvenue affiche du film.
• À LA RECHERCHE DE LA PANTHÈRE ROSE (1982)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Les meilleures plaisanteries sont les plus courtes.
• UNE RICHE AFFAIRE (1934)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Imperturbable dans son martyre, W.C. Fields est remarquable !
• ATOMIC CAFE (1982)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Un vrai petit film d'horreur et d'humour sinistre sur la mentalité yankee d'une époque pas si éloignée, avec une prolifération du nucléaire tous azimuts.
• LES CLÉS DU PARADIS (1991)
  Critique CF

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  Le réalisateur Philippe De Broca n'est plus désormais que l'ombre de lui-même et ces comédies, jadis suaves et bienvenues, se présentent comme quelconques.
• LA BARQUE EST PLEINE (1981)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Film intéressant sur l'attitude des Suisses face au Reich durant la guerre.
• LA MAISON DU SOURIRE (1991)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Sur un thème rarement abordé au cinéma : la vie sexuelle des personnages âgées, un film transalpin certes inégal, mais néanmoins intéressant, bénéficiant surtout de l'interprétation inspirée d'Ingrid Thulin et Dado Ruspoli.
• LES HORS-LA-LOI DU MARIAGE (1963)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Ni pire, ni vraiment meilleur que les productions du même type alors plutôt nombreuses, voire prolifiques en Italie. Il est surprenant que les frères Taviani aient pu signer cette pochade sans saveur et sans intérêt.
• 588 RUE PARADIS (1991)
  Critique CF

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  Une sincère autobiographie !
• LE PRÉ (1979)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Film profondément grave, d'une sourde tristesse et d'une subtile beauté. Une autre oeuvre essentielle et bouleversante des frères Taviani.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)