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CONTRE-ESPIONNAGE-1943-
Nationalité : Grande-Bretagne
Titre VO : They met in the dark
Durée : 1h44
Date de sortie en France : 05/09/1947
Genre : ESPIONNAGE
Réalisation : KAREL LAMAC
Inspiration : D'après l'histoire originale "The Vanishing Corpse" de Anthony GILBERT
Prise de vues : Otto HELLER
Musique : Benjamin FRANKEL
Montage : Terence FISHER
Distributeur : National Film
Visa d'exp. : 5336
Résumé
Dégradé par un radical et véloce tribunal militaire, pour avoir perdu son navire, après s'être conformé à de fallacieux ordres de navigation, adroitement falsifiés et retransmis par l'ennemi, l'ancien commandant Richard Francis Heritage n'aura désormais de cesse qu'il n'ait prouvé son innocence et découvert les vrais coupables de sa déplorable indignité. A la recherche d'une amie manucure, avec laquelle il avait rendez-vous, il se retrouve dans un obscur cottage où il croise une jeune femme d'origine canadienne, Laura Verity, venue rendre visite à ses deux oncles introuvables et qui découvre dans une des pièces de l'étage, une demoiselle étranglée, avec un étrange billet dans sa rigide main droite, indiquant le nom d'une agence théâtrale londonienne. Bien sûr, une fois la police alertée, plus de cadavre et notre étrangère soupçonne fort Héritage d'être (à tort) mêlé à l'affaire. Bon an, mal an, les deux protagonistes vont se côtoyer, se supporter et même se rapprocher pour découvrir un puissant réseau d'espionnage aux moult ramifications. En effet, grâce à l'emploi discret d'une drogue hypnotique, d'un subtil code secret caché dans les anonymes notes de musique d'un harmonica et de la collaboration involontaire d'un réseau de séduisantes théâtreuses en herbe, que des renseignements militaires cruciaux sont extorqués à d'innocents galonnés.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Réalisateur pragois à la copieuse filmographie qui débute à l'époque du cinéma muet (1919) pour se poursuivre, après l'avènement du Troisième Reich, en partie en Angleterre, Carl Lamac nous propose une œuvre policière touffue, voire quelquefois confuse, qui nous permet de retrouver un James Mason pertinent et serein qui confirme à nouveau un talent qui va pleinement s'épanouir les années à venir.
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Bibliographie