• UN GARÇON PLEIN D'AVENIR (1965)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  D'une simplicité et d'une force étonnantes !
• AU BOUT DU MONDE (1927)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Une œuvre délibérément pacifiste, qui fait songer à une autre réalisation allemande à la charnière du muet et du parlant, se déroulant en grande partie en huis clos, avec un magnifique travail sur les décors et une parfaite composition des principaux acteurs.
• HALODHIA CHORAYE BAODHAN KHAI (1987)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Excellente oeuvre dénonciatrice de l'incontournable principe du bakchich.
• LE COUPABLE (1917)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Le réalisateur André Antoine confirme à nouveau la qualité de sa mise en scène et l'excellence de sa maîtrise des éléments de la dramaturgie.
• MERCI POUR LE CHOCOLAT (2000)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une sympathique réalisation de Claude Chabrol qui vaut surtout par l'excellente interprétation de ses principaux acteurs.
• LA FAMILLE HEUREUSE (1973)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Décidément, les courts métrages de Patrice Leconte se suivent et se ressemblent :
  toujours aussi inutiles, faciles, imbéciles.
• RÉVEIL DIFFICILE (1999)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Superbe !
• À LA HAUTEUR (1930)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Un festival Harold Lloyd, au sommet de sa gloire !
• LE CHEMINEAU (1917)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Excellente interprétation d'Henry Krauss, tour aussi efficace derrière la caméra.
• LA SETTIMA DONNA (1978)
  Critique CF

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  Note : 3/20

  Vulgaire et putride, une oeuvre nullissime dans laquelle s'est égarée incroyablement la pauvre Florinda Bolkan. Une récurrente habitude !
• TINTARELLA DI LUNA (1985)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Même si la fin est inattendue, l'ensemble reste quelconque.
• STUPEUR ET TREMBLEMENTS (2002)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Superbe Sylvie Testud, égale à elle-même, comme à son habitude, vive, brillante, convaincante, dans une oeuvre finalement futile et vaine, voire lourdement inutile.
• SEX IS COMEDY (2002)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Prenant comme référence scénaristique de départ, une séquence d'un film antérieur ("A ma sœur" tournée en 2000 avec la même actrice) Catherine Breillat nous livre une œuvre en partie démystificatrice sur les tournages, avec pour alter ego, l'évidente Anne Parillaud, d'une présence et d'une conviction indéniables.
• LA SEPTIÈME VICTIME (1943)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un magnifique noir et blanc qui fascine et envoûte pour une histoire trop "incertaine", aux personnages souvent passablement imprécis, certainement à cause de maintes coupes opérées au montage, et dont l'épine dorsale narrative s'étiole au fur et à mesure de l'avancée d'une intrigue quelquefois chancelante.
• SILHOUETTE DE LA MORT (1992)
  Critique CF

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  Note : 3/20

  D'une profonde et constante nullité, teinté d'un mortel ennui.
• LA MESSE (1967)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Sans ironie quelconque, ni message perceptible, Dusan Hanak filme le rituel d'une messe, dans un petit village slovaque, évoquant peut-être, indirectement le problème de la foi dans un monde cartésien et bien trop pragmatique.
• LA BÊTE DE MISÉRICORDE (2001)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  C'est foutraque au possible, comme hélas, la plupart des dernières réalisations de Jean-Pierre Mocky qui cette fois encore s'est attribué à nouveau le rôle principal, pour une histoire somme toute sympathique, péchant malheureusement d'un manque flagrant de moyens techniques et financiers et débordant souvent d'un m'enfoutisme déplorable voire foncièrement irrespectueux et pénible pour le spectateur.
• THE COAST GUARD (2002)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  On a connu mieux dans l'intéressante filmographie du jeune prodige sud-coréen et cette appliquée et culpabilisée errance d'un simple troupier de frontière n'ajoute rien de plus à sa renommée peut-être un peu excessive, en tous cas habilement dissertée par certaines médias plutôt systématiquement dithyrambiques.
• MADEMOISELLE DE LA SEIGLIÈRE (1921)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Plaisante réalisation et acteurs de qualité.
• ROUGE SANG (1995)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Du grinçant bienvenu, hélas médiocre !
• LE JARDINIER (1912)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une des toutes premières réalisations du grand metteur en scène suédois Viktor Sjöström, dont il ne reste malheureusement aucune version intégrale de disponible à ce jour et qui est déjà symptomatique des chefs-d'oeuvre à venir.
• OPUS 66 (1998)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Bien, mais malgré tout un peu facile !
• ADRESSE INCONNUE (2001)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre foisonnante et brouillonne qui exaspère souvent, tout en laissant des traces indélébiles, comme d'ailleurs la plupart des réalisations du metteur en scène !
• CETTE SALE TERRE (2001)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Omniprésence de la mort, de la peur et de la haine envers l'inconnu, raideur comportementale déshumanisée, rages primitives teintées de superstitions grossières, vision exsudée d'un univers chaotique que l'étonnante technicité narrative et constructive du réalisateur ne fait qu'accentuer. Horreur et beauté d'un monde "a-normal", périphérique, immensément douloureux et fascinant.
• INSOMNIES (2000)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un sujet intéressant, pas toujours à la hauteur de ses ambitions.
• LA VOIX DES ANCÊTRES (1919)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre de qualité !
• KONGA (1961)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Savant fou et dérives simiesques, un cocktail passablement sympathique !
• SAMARIA (2003)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une oeuvre étrange et fascinante, au-delà des notions de Bien et de Mal qui lorgne du coté de la rédemption et d'une certaine pureté informelle.
• LE VENDEUR DE BIBLES (1969)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Démystificateur et bienvenu !
• SEPT JOURS A VIVRE (2000)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Rien de bien nouveau sous les poutres vermoulues des maisons hantées.
• LE MONASTÈRE DE SENDOMIR (1920)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Pas vraiment un chef-d'oeuvre, cette courte réalisation du grand metteur en scène suédois Victor Sjöström véhicule avec un charme évident, certains "grands" sentiments et autres pulsions humaines, comme la vengeance, le pardon, la culpabilité, entre récit mélodramatique et conventionnelle histoire intemporelle.
• LA MONTAGNE SACRÉE (1926)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Un puissant et fascinant hymne à la nature, que ce soit le tumulte de l'onde ou la dureté de la roche par un metteur en scène passé maître dans l'appréhension de la montagne, et accessoirement un témoignage de l'indéfectible solidarité des alpinistes.
• THE EYE (2002)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Malgré d'ennuyeuses lenteurs, le film mérite tout de même notre extrême-onction !
• L'ENFANT (2005)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Acteurs magistraux et réalisation parfaite, une Palme d'Or amplement méritée !
• L'ÉLUE (2000)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Rien de transcendant du côté des ombres ou des pseudos lumières du cinéma.
• LA MONTRE BRISÉE (1920)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un Sjöström, acteur et réalisateur, convaincu et convaincant !
• SPIDER (2002)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Un étonnant Ralph Fiennes !
• LE VILLAGE DU PECHE (1927)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une excellente restauration de la Cinémathèque Française, vue lors du traditionnel festival "Il Cinéma Ritrovato" 2013 de Bologne, consacrant une rétrospective à Olga Preobrazhenskaya, considérée comme la première réalisatrice soviétique, qui travailla souvent conjointement avec Ivan Pravov, ne dédaignant nullement de passer de l'autre coté de la caméra, comme actrice dans une demi-douzaine d'autres films de l'époque. C'est avec un évident contentement que nous avons revu cette indéniable curiosité lors du 42e Festival International du Film de La Rochelle, l'année suivante.
• CACHÉ (2005)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Excellente et percutante réalisation d'un Michael Haneke confiant de son art et de son discours cinématographique, brassant avec hardiesse et habilité ses thématiques habituelles, toujours parfaitement maîtrisées.
• BRUISER (2000)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une première partie excellente, description patronale hénaurme entre grotesque et caricature, puis le film s'englue et se dissout lentement jusqu'à une stupide soirée masquée qui a dû permettre à Roméro de fêter à moindres frais la fin du tournage.
• LE PRESSENTIMENT (2000)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Oeuvre prétentieuse, artificielle, pédante, à l'interprétation plutôt surjouée.
• ADOLPHE (2002)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un rôle sur mesure pour Isabelle Adjani, à nouveau parfaite, dans cette intéressante adaptation d'un classique de la littérature française dont la version cinématographique pèche un peu par sa froideur impersonnelle.
• LE MOUCHOIR ROUGE (1964)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Policier nostalgique, entre amour impossible et mélancolique karaoké.
• BATAILLE DANS LE CIEL (2005)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  "Un ovni cinématographique" d'une incroyable virtuosité dont bien des spectateurs troublés ne retiendront hélas que les puissantes scènes érotiques.
• WITCHOUSE (1999)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  Vue et revue, des centaines de fois, une histoire parfaitement stupide, stérile et copieusement insipide, pour une réalisation catatonique.
• UNE HISTOIRE D'AMOUR (2001)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  "Une femme sous influence" version scandinave, griffée aux normes du "Dogma 95" pour une indéniable réussite, via des acteurs exceptionnels.
• OPEN HEARTS (2002)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Encore une oeuvre essentielle d'une des plus solides réalisatrices européennes !
• LE VAURIEN (1968)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Quelquefois fort confus !
• VERA DRAKE (2004)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une superbe composition de l'étonnante actrice Imelda Staunton, fort justement primée par un Prix d'Interprétation au festival de Venise, sans oublier la solide présence de quelques acteurs secondaires d'une étonnante et remarquable conviction.
• MES CHERS VOISINS (2000)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un facétieux festival d'humour noir, sur un rythme souvent trépidant, traversé par des personnages d'une incroyable et profonde méchanceté dévastatrice, comme les affectionne notre talentueux réalisateur ibérique décidément incontournable.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)