Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 44 films notés

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  • LA VIE PRIVEE (1982)
    Note : 15/20
    Intéressante étude de caractère réalisée par un vétéran du cinéma soviétique.
  • LA CAVALCADE DES HEURES (1943)
    Note : 10/20
    De "La cavalcade des heures" il n'en restera rien ou si peu de choses.
  • LA VIE FUTURE (1936)
    Note : 16/20
    Un des grands décorateurs de l'histoire du cinéma qui eut comme géniale intuition de passer aussi, de temps à autre, à la réalisation pour nous proposer quelques raretés cinématographiques inoubliables, d'une acuité et d'une finesse indéniables.
  • LE ROSIER DE MADAME HUSSON (1931)
    Note : 7/20
    Pauvre Maupassant, dont la savoureuse nouvelle est fort malmenée.
  • LA VIE DE LOUIS PASTEUR (1936)
    Note : 14/20
    William Dieterle, spécialiste de la biographie de personnages illustres façon Warner Bros, livre ici encore un travail de qualité servi par un excellent Paul Muni qui obtint l'Oscar d'interprétation et la Coupe Volpi au Festival de Venise. Les scénaristes reçurent deux Oscars, celui du meilleur scénario et celui de la meilleure histoire.
  • L'HÉRITIER DES MONDÉSIR (1939)
    Note : 11/20
    Petite comédie bien sympathique, avec quelques scènes plutôt kitch et farfelues et un Fernandel au mieux de sa forme, interprétant moult rôles différents.
  • VERTIGES (1975)
    Note : 12/20
    Oeuvre peu connue d'un cinéaste souvent sous-estimé, qui mérite notre attention.
  • LES BLEUS DE LA MARINE (1934)
    Note : 6/20
    Souvent bête, voire ridicule, une oeuvre bien médiocre.
  • LEUR DERNIERE NUIT (1953)
    Note : 14/20
    Lacombe / Gabin, un duo vraiment efficace dans un film jamais ennuyeux.
  • STRAIGHT ON TILL MORNING (1972)
    Note : 6/20
    Insupportable et prétentieux, une rature totale !
  • AFRICAN TIMBER (1989)
    Note : 9/20
    Une coproduction franco-allemande qui joue la carte du dépaysement, mitonnée de policier et de folklore local, sans jamais dépasser le cadre d'un honnête téléfilm.
  • ARCHIPEL (1992)
    Sans aucun intérêt, hormis la présence de Melvil Poupaud.
  • LES JEUX DE L'AMOUR (1959)
    Note : 16/20
    Premier long métrage du metteur en scène Philippe de Broca, d'une énergique et marquante pétulance, véritable maelstrom de vitalité et de fantaisie imprégnant l'ensemble du scénario d'un déferlant tourbillon de gaieté, d'humour, de rires et de sourires fortement contagieux. Seul bémol annexe et surnuméraire, qui n'a rien à voir directement avec l'œuvre en question, l'incroyable dégringolade cinématographique de l'étonnante et subjuguante actrice principale, Geneviève Cluny, qui en fin de carrière s'est fourvoyée dans quelques minables et cacochymes productions teutonnes.
  • MOULIN ROUGE (1952)
    Film presque oublié du grand John Huston.
  • HARRY PLOTNICK SEUL CONTRE TOUS (1969)
    Note : 13/20
    Sympathique nonchalance yiddish !
  • DERNIÈRE LIMITE (1992)
    Note : 7/20
    Outre une version française catastrophique, l'ensemble piétine dans un inintérêt cons(tant,ternant).
  • L'ATLANTIDE (1932)
    Note : 14/20
    Une rareté qui nous permet de retrouver l'étonnante Brigitte Helm.
  • CLIN D'OEIL (1991)
    Note : 13/20
    Un court métrage monté avec précision qui ne manque ni de suspens ni d'humour. La chute qui clôture le film, surprendra plus d'un spectateur.
  • J'IRAI CRACHER SUR VOS TOMBES (1959)
    Note : 11/20
    Plutôt relire l'évident roman de Boris Vian.
  • LES AMIES DE COEUR (1992)
    Note : 15/20
    Un regard humble et d'une sensibilité sans afféterie aucune. Une jolie réussite qui passe avec agilité et doigté de l'humour à la tragédie. Michele Placido n'est donc pas seulement un bon acteur, mais se distingue aussi dans la réalisation.
  • LA LIGNE DE MIRE (1959)
    Note : 10/20
    Premier long métrage du réalisateur qui ne bénéficiera pas d'une sortie en salles, une sanction couperet fort compréhensible au vu de son ancrage lourdement "nouvelle vague" tentant de créer un effet hypnotique chez le spectateur par la lourde répétition de plusieurs plans et séquences, entre autres, dix plans de joueurs de billard, onze plans du personnage principal jouant de la guitare, quinze plans du château alors qu'il neige, etc... Par contre, il reste une étrange séduction, entre mélancolie et nonchalance, qu'on retrouve aussi dans certains films de Rozier, qui flotte en nébuleuse dans bien des scènes, sans oublier le bonheur de retrouver l'hilarant et lunaire Claude Melki.
  • MONSIEUR LE DÉPUTÉ (1992)
    Note : 9/20
    Pour le (facile) dernier 1/4 heure uniquement.
  • VIEILLE CANAILLE (1992)
    Note : 13/20
    Un festival Michel Serrault, décidément le meilleur acteur français de sa génération.
  • VANESSA (1976)
    Du soft teuton qui mele etroitement tous les cliches habituels du genre sur fond d'exotisme de pacotille.
  • CANDYMAN (1992)
    Note : 12/20
    Un sujet séduisant, hélas malmené par une réalisation "tape-à-l'oeil" !
  • LE CAHIER VOLÉ (1992)
    Note : 11/20
    La découverte de la sensualité par une tendre midinette : rien de trépidant ni d'inoubliable. Gentil, propre et sans saveur.
  • LES HOMMES CONTRE (1970)
    Note : 14/20
    Oeuvre dénonciatrice du grand Francesco Rosi, restant en-deçà de sa réputation.
  • LES SURVIVANTS (1992)
    Note : 8/20
    Une histoire pathétique gâchée par un détestable traitement à l'américaine.
  • L'INSTINCT DE L'ANGE (1992)
    Note : 6/20
    Exécrable interprétation, absence totale de mise en scène. Ou va-t-on ? Et l'instinct de tourner un bon film ?
  • LA LOI DE LA NUIT (1992)
    Note : 10/20
    A voir ce produit sans consistance, on se demande où résidait la nécessité d'un remake du chef-d'oeuvre de Dassin.
  • LA MARQUE (1957)
    Note : 16/20
    Un classique du film fantastique qui reste un modèle du genre.
  • LA CHUTE DES FEUILLES (1968)
    Note : 15/20
    Une chronique fraîche et subtile ponctuée d'accents poétiques.
  • VENT D'EST (1992)
    Note : 11/20
    Une histoire dans l'Histoire, peu connue, malheureusement mal(traitee) par un Robert Enrico bien pale.
  • LE CHEVALIER DU ROI (1954)
    Film bienvenu dans la plus pure tradition du genre, tourné par un solide technicien.
  • LE SOUFFLE DU DEMON (1992)
    Note : 7/20
    Sans intérêt, prétentieux, un scénario insipide et stupide.
  • SCHTONK ! (1992)
    Note : 10/20
    Une comédie grinçante, couronnée de succès, mais d'une lourdeur irritante.
  • LA VALLEE PERDUE (1971)
    Note : 11/20
    Un sujet passionnant, mais la mise en scène manque d'ampleur.
  • FOREVER YOUNG (1992)
    Note : 11/20
    Une action menée sans surprise avec un minimum de savoir-faire. Un pur produit de consommation, pour un metteur en scène constamment mineur.
  • HITMAN (1991)
    Note : 9/20
    Un début de polar qui tourne vite au drame pyschologique. Le point de départ s'avérait intéressant, malheureusement l'origine théâtrale de cette production se fait vite sentir. On oublierait rapidement le tout, sans la présence de Forrest Whitaker, toujours aussi remarquable, dans un rôle qui lui va comme un gant.
  • SOMMERSBY (1992)
    Note : 14/20
    Du cinéma romanesque hollywoodien techniquement irréprochable. A voir donc, avec comme handicap, les propres limites du genre.
  • VAUDOU (1943)
    Note : 16/20
    Dans le genre et sur la thématique, ce qui s'est fait de mieux et de plus fin.
  • DE FORCE AVEC D'AUTRES (1992)
    Note : 13/20
    Une petite oeuvre sympathique proche d'une sincère et douloureuse autobiographie, teintée d'un pesant et gênant narcissisme.
  • SALMONBERRIES (1991)
    Note : 13/20
    Honnête dans son ensemble, malgré quelques pénibles effets de style.
  • JOURNAL INTIME D'UN PÉCHEUR (1985)
    Note : 14/20
    Adaptation réussie d'un roman gothique de l'écrivain écossais James Hogg : "The Private Memoirs and Confessions of a Justified Sinner" (1824) cette pénultième œuvre cinématographique se veut surtout et avant tout une indirecte dénonciation de l'hypocrisie morale et du rigorisme sociétal de l'époque qui fustigent les plaisirs de la chair / chère et tous débordements amoraux et licencieux. Il est à noter un indéniable talent pictural de la prise de vue, dans le choix et le traitement du décor, ainsi que de l'approche de la nature, le tout immergé dans une somptueuse plasticité visuelle.
  • GLENGARRY GLEN ROSS (1992)
    Note : 15/20
    Une approche en profondeur de personnages de prime abord quelconques. Un résultat plus qu'estimable et une dénonciation acerbe de certaines méthodes de vente.
  • SHAG (1989)
    Petite comedie americaine sans merite particulier. Pour nostalgiques des sixties uniquement.
  • SEULE DANS LA NUIT (1967)
    Note : 11/20
    D'après la pièce de Frederick Knott, une œuvre plutôt quelconque, sans intérêt particulier qui se regarde néanmoins sans réel ennui.
  • SINGLES (1992)
    Note : 8/20
    Des personnages falots non représentatifs d'une génération et une morale ultra-conservatrice nous laissent pantois devant tant d'inutilités et de fadaises.
  • LES VISITEURS MAUDITS (1956)
    Note : 16/20
    Premier film remarqué et remarquable qui distille une insidieuse tension constante.
  • LA FEMME TATOUÉE (1981)
    Une oeuvre d'une lenteur qui peut paraître déconcertante, sur une tradition ancestrale de la symbolique nippone, où se mêle bien des thématiques concomitantes, érotisme, libération de la femme, sadomasochisme.