• KUPROQUO (1999)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Les dialogues de la première partie sont fort savoureux, mais la fin déçoit cruellement.
• BEAUTY (1970)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Conglomérat cinématographique qui se veut à la fois pulsionnelle et "détramée" par rapport à certains codes de l'écriture et du genre cinématographique, entre jonglerie prospective et dérivation inconsciente,
  liberté et gratuité musicale avec jonction aléatoire de l'image et du son.
• LES PLUS BELLES ESCROQUERIES DU MONDE (4) (1963)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Pas de quoi perdre le nord !
• LE PRE (1998)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Film d'une profonde beauté, traversé par un courant de poésie qui évoque avec un bonheur certain et une lumineuse évidence le meilleur d'un Kiarostami.
• LA VIE EST BELLE (1997)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Férocement émouvant et dénonciateur.
• L'ULTIME MISSION (1998)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Heil Bush !
• FLOWER GIRL (1999)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Des nipponneries bien quelconques.
• MODEL FOR MURDER (1960)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Dans la tradition d'un certain polar britannique, aux personnages malheureusement stéréotypés et simplistes, ce qui nous laisse un peu insatisfaits.
• L'ARBRE DES POIRES (1998)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Emouvant et correctement réalisé !
• LULU (1998)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre de qualité, une actrice de qualité, une réalisatrice à suivre.
• TÊTES DE FEMMES FEMMES DE TÊTE (1916)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Rareté vue au Festival du Film Muet de Pordenone, qui mérite surtout une vision, pour la courte apparition de Françoise Rosay, en convive dans "un dîner de têtes".
• BABEL (1998)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Rien à redire en ce qui concerne la prestation des acteurs, chacun dans son rôle bien défini, noir ou blanc, gentil ou méchant. Du côté de la réalisation, aucun faux pas apparent ni d'ailleurs de séquences inoubliables. Seul reproche anecdotique qui perdure pourtant durant l'ensemble de la projection, une propension à glisser dans la mièvrerie "bon enfant" et une certaine gratuité scénaristique qui auraient tendance à prendre les jeunes spectateurs pour des nigauds gâtés ou des gogols gâteux.
• AVERE O LEGGERE ? (1998)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une idée intéressante mais très mal développée.
• LA FAUTE D'ORTHOGRAPHE (1918)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Une rareté sans réel intérêt sinon celui de croiser subrepticement Fernand Ledoux !
• F. EST UN SALAUD (1998)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Inconsistant et mal(traité) !
• DINER INTIME (1996)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Pas de quoi en faire un plat !
• TRAIN DE VIE (1998)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Toute la subtilité et la saveur du fameux humour yiddish, dans une oeuvre plutôt bienvenue, souvent "hénaurme" qui se regarde avec un plaisir évident.
• FAIT D'HIVER (1998)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Mais aussi pour le spectateur qui s'ennuie mollement dans cette pochade sans âme et sans frisson émotif où les acteurs semblent peu convaincus de leurs rôles.
• UN CHÂTEAU EN ESPAGNE (1998)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Beaucoup de tendresse dans ce joli film porté par la touchante présence de l'admirable Lucia Sanchez.
• UN CONSEIL D'AMI (1916)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Rien de particulièrement remarquable dans ce court métrage, hormis une sympathique prestation de l’acteur principal, grand coeur et gros nigaud débordants.
• LE FANTÔME DE L'OPÉRA (1998)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Dans la bonne moyenne des films du réalisateur.
• LA POMME LA FIGUE ET L'AMANDE (1999)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un film subtil et chaleureux qui confirme le talent de Joël Brisse.
• LE POULPE (1997)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Bienvenu et hilarant, une oeuvre décontractée et nonchalante.
• THE INVADER (1997)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Du deja vu qui ne presente guere d'interet particulier.
• ROULE MA POULE (1999)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Emmanuelle Devos a ici l'occasion de montrer la pleine étendue de son talent. Elle est irrésistible de drôlerie et contribue en grande partie au plaisir procuré par le film.
• ARNAQUES CRIMES ET BOTANIQUE (1998)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une oeuvre superficielle qui fonctionne essentiellement à l'esbroufe.
• RIEN NE VA PLUS (1919)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un Harold Lloyd plutôt moyen !
• QUAND LE SOLEIL FAIT TOMBER LES MOINEAUX (1999)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un premier film qui prend son temps pour exposer son sujet mais dont la mise en scène ainsi que la prise de vue ne manquent pas d'intérêt. A voir.
• UNE FILLE À SOLDATS (1965)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  A ne pas rater !
• DE LA COUPE AUX LÈVRES (1919)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Quelques gags savoureux sur un rythme souvent enlevé.
• LE NID FAMILIAL (1977)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une oeuvre proche du documentaire qui montre sans pudeur l'infranchissable fosse entre les générations et les deux sexes.
• LA LIONNE BLANCHE (1996)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Il fallait bien que les fameux romans de Mankell soient un jour adaptés au cinéma. C'est chose faite, et l'ensemble reste cohérent et sympathique.
• LE ROYAUME DE TULIPATAN (1919)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Les gags ne sont pas nombreux, mais l'ensemble sympathique.
• DE LA CONFITURE AUX COCHONS (1999)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une histoire correctement ficelée, dans l'esprit d'une courtoise entraide galactique, avec des acteurs convaincants et une réalisation sans fautes.
• LE SADIQUE BARON VON KLAUSS (1962)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Un "Jess Franco" bien sage et finalement quelque peu ennuyeux et lénifiant. Très peu de scènes à retenir pour un ensemble qui manque en fait de folie.
• POUR LE COEUR DE NINA (1924)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Harry Langdon est irrésistible en nettoyeur de rues !
• HLA IDENTIQUE (1999)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  De belles qualités d'écritures servies par une mise en scène et une prise de vue à la hauteur ainsi qu'une interprétation homogène. Un jeune réalisateur à suivre.
• LOVE IS THE DEVIL (1998)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une œuvre à connotation biographique qui mérite le détour.
• LE MOINEAU DE LA TAMISE (1950)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Même si la réalisation dégouline parfois d'une sirupeuse et constante gentillesse agrémentée d'une pesante bonhommie générale (certains parleront de mièvrerie) on retiendra pour notre part, surtout les succulentes interprétations d'Alec Guinness et de Finlay Currie, respectivement chef du gouvernement et cerbère de la reine.
• LE FÉTICHISTE (1999)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Sur une thématique bunuelienne, le réalisateur brode un récit rendu troublant par l'interprétation convaincue de Jérémie Renier.
• COMPTE A REBOURS (1995)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Explosif à souhait !
• TROIS DAMES ET UN AS (1952)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Sans jamais verser dans la méchanceté et la prévarication, mu seulement par une légitime et compréhensible ambition, dénué de tous sentiments de malversation, de cupidité ou de malhonnêteté, le personnage incarné par le toujours étonnant Alec Guinness ne peut qu'attiser notre bonhomme sympathie et notre discret assentiment.
• CHALEURS DANOISES (1973)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  Mon Dieu que c'est mauvais : d'une bêtise confondante, d'un érotisme soporifique, cette insipide et réfrigérante production danoise ne présente de chaleur que dans son titre accroche-couillon qui à sa sortie a dû faire courir du monde.
• LUNA PAPA (1999)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Impressionnant festival baroque et loufoque entre humour subtil, tendresse diffuse et cacophonie permanente qui rappelle certains bienvenus délires d'Emir Kusturica, se permettant un dénouement fantasque et fantastique d'une étonnante facture aérienne.
• CAPITAINE PARADIS (1953)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Certainement la meilleure réalisation du fort méconnu metteur en scène britannique Anthony Kimmins, cinéaste d'une vingtaine de films par ailleurs plutôt quelconques, qui nous permet de retrouver un savoureux Alec Guinness au meilleur de sa forme parlant avec délectation et ravissement l'andalou et le berbère kalikan, une suave langue locale (bien sûr) imaginaire, dans un étonnant rôle bipolaire illustrant à merveille le phallocratique adage marin "une femme dans chaque port".
• LE CHATEAU DES MESSES NOIRES (1973)
  Critique CF

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  Note : 3/20

  Mon Dieu que c'est mauvais et risible, à perdre son latin, son ail et son crucifix, surtout les scènes censées se dérouler dans les sous-sols et souterrains du manoir, lors de prétendues orgies démoniaques où de vagues créatures chantent et dansent, les seins nus et l'ennui dans le regard, pour invoquer les mânes de la défunte et embrumer l'esprit des inconscients et stupides invités.
• MENTEUR (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Belle réussite d'un jeune réalisateur dont on attend impatiemment des nouvelles.
• MILO (1998)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Outre le fait d'être ennuyeux, l'ensemble transpire la bêtise.
• L'EXÉCUTEUR NOIR (1973)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Malgré une désinvolture bien sympathique nous sommes tout de même fort éloigné des chefs-d'oeuvre passés de Gordon Douglas.
• BATTERED (1998)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un film curieux qui flirte avec le surréalisme et permet de découvrir un metteur en scène original et attachant.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)