Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 42 films notés

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  • 49ÈME PARALLÈLE (1941)
    Note : 17/20
    Une oeuvre superbe, de propagande certes, d'une étonnante fluidité.
  • ZAPPA (1982)
    Note : 16/20
    Première oeuvre projetée en France du réalisateur danois Bille August, un film délicat et sensible qui témoigne d'un talent certain. A voir de toute urgence.
  • QUILOMBO (1984)
    Oeuvre intéressante, par un réalisateur incontournable, qui concrétise un certain renouveau du cinéma brésilien longtemps moribond.
  • PARIS MINUIT (1985)
    Note : 10/20
    Premier film sympathique, mais qui manque de rythme et de maîtrise.
  • PRIMA DELLA RIVOLUZIONE (1964)
    Note : 17/20
    Une œuvre d'une rare intelligence filmique où chaque séquence, chaque plan pris isolément, détient sa vérité dans un enchantement et un enchaînement d'images d'une densité et d'une résonance idéologiques et humaines constantes, transformant la vision du film en une griserie intellectuelle permanente, séduisante, inépuisable.
  • PERFECT (1985)
    Note : 9/20
    Sur le problème des libertés de paroles et d'écriture et des limites de la presse, un sujet comme les aime James Bridges, mais traité on ne peut plus maladroitement.
  • LE TUEUR S'EST ÉVADÉ (1956)
    Note : 16/20
    Excellent, avec une superbe interprétation de Wendell Corey !
  • PASSAGE SECRET (1984)
    Note : 14/20
    Un premier long métrage intéressant même si inabouti. Dominique Laffin y est, à son habitude, excellente et ajoute beaucoup à l'émotion.
  • DES SOURIS ET DES HOMMES (1992)
    Note : 14/20
    Un constant respect de l'univers de John Steinbeck, une magistrale interprétation de John Malkovich, proche du cabotinage ; on aime bien.
  • THE WAY IT IS (1984)
    Note : 15/20
    Dans la lignée du cinéma underground new-yorkais, un film esthétiquement irréprochable et au ton original. Un exemple de très bon cinéma indépendant.
  • LA PORTE DU CIEL (1944)
    Note : 10/20
    Un fastidieux salmigondis mélodramatique, pétri d'un catholicisme sentencieux dont on ne retiendra que quelques rares plans annonciateurs des futures réussites de Vittorio de Sica. Sans grand intérêt donc, loin de notre bénédiction.
  • LE RETOUR DES CHARLOTS (1991)
    Que dire qui n'ait déjà été dit des centaines de fois ? Les Charlots dont la carrière cinématographique est jalonnée des pires produits commerciaux furent, durant quelques années, des valeurs sûres du box-office français. En 1991, cette sinistre pochade rencontra un échec pleinement mérité.
  • BRÈVES VACANCES (1973)
    Note : 12/20
    Un portrait de femme empreint de respect et de sensibilité qui eut mérité amplement une sortie dans les salles de l'Hexagone.
  • PLENTY (1984)
    Note : 13/20
    Passé aux States, le réalisateur australien est bien moins intéressant.
  • FAIS COMME CHEZ TOI (1992)
    Note : 12/20
    Une comédie américaine de plus, plutôt amusante grâce au sympathique duo Goldie Hawn / Steve Martin.
  • LES GUICHETS DU LOUVRE (1973)
    Malgré un sujet dramatique, trop souvent occulté par le cinéma et les historiens et qui nécessite un dévoilement critique urgent, le film déçoit beaucoup par son coté bien ficelé, grossièrement manichéen, une interprétation souvent douteuse et archétypale.
  • LES MAÎTRES DE L'OMBRE (1989)
    Note : 13/20
    Un sujet peu abordé par le cinéma américain contemporain et qui retient donc l'attention bien que la mise en scène de Joffe n'en soit pas toujours à la hauteur.
  • LE BOSSU (1944)
    Seconde version après la réalisation de Jean Kemm en 1925.
  • L'AMIE MORTELLE (1986)
    Note : 11/20
    Pas une grande réussite, mais comme tous les films de Craven, vaut le détour.
  • QUAND LA CHAIR SUCCOMBE (1961)
    Note : 17/20
    Par-delà un titre français d'une navrante stupidité racoleuse, une œuvre d'une excellente facture esthétique et mélodramatique où prédomine un magnifique noir et blanc, à travers de somptueuses prises de vue d'un extrême raffinement visuel et une magistrale interprétation des principaux comédiens visiblement investis dans leurs pitoyables personnages sur fond de durable noirceur existentielle.
  • SIMPLE MEN (1992)
    Note : 17/20
    Oeuvre superbe, maîtrisée, d'une nonchalance extrême, entre déchirure et dérision.
  • Y A-T-IL UN FRANÇAIS DANS LA SALLE ? (1982)
    Note : 12/20
    Mocky au gros mortier ; sympathique, fort brouillon et un peu raté !
  • LE QUINTETTE DE SVEN KLANG (1976)
    Une petite production suédoise longtemps restée inédite sur les écrans de l'hexagone, qui bénéficia, début des années 1980, enfin d'une sortie en salles et que l'on découvrira avec curiosité et sans déception majeure.
  • VIVA EL PRESIDENTE (1978)
    Note : 14/20
    Une superbe saga politique, hélas réduite à 150 minutes !
  • MAX ET JEREMIE (1992)
    Note : 12/20
    Un polar extrêmement original dont le sujet véritable est l'amitié passionnelle. Noiret, Lambert et Marielle sont parfaits, voire irréprochables.
  • DORTOIR DES ANGES (1966)
    Note : 6/20
    Niaiserie sous l'aube et débilité à l'eau bénite.
  • LA MEMOIRE DE L'EAU (1991)
    Note : 9/20
    Il ne suffit pas que le propos soit d'une grande urgence et d'une évidente dignité, pour faire un bon film. Hélas.
  • LE 17ÈME CIEL (1965)
    Note : 13/20
    Entre poésie et sympathie !
  • NICK GENTLEMAN DETECTIVE (1936)
    Note : 13/20
    Souvent drôle, entre humour, intrigue policière et décontraction !
  • LE CARREFOUR DE LA MORT (1947)
    Note : 16/20
    Un étonnant Richard Widmark !
  • MARCELLINO (1991)
    Note : 7/20
    Consternant de mièvrerie et d'imagerie pieuse, comme le Christ en croix s'animer !
  • NEW MEXICO (1961)
    Note : 13/20
    1er long métrage fort prometteur du cinéaste Sam Peckinpah qui s'était déjà bien aguerri dans quelques solides séries télévisées, durant les cinq années auparavant.
  • PORTES OUVERTES (1989)
    Note : 11/20
    Sorti en France deux ans après sa réalisation, ce film de Gianni Amelio intéressera plus par son sujet que par sa mise en scène par trop transparente.
  • LE JEUNE MÉDARD (1923)
    Note : 13/20
    Une bienvenue rareté proposée par le Ciné-Club de France 3 en avril 1992.
  • RENDEZ-MOI MA FEMME (1951)
    Film mineur où Marilyn Monroe interprète le rôle d'une secrétaire !
  • DERNIER ATOUT (1942)
    Note : 13/20
    Dans l'ensemble, on sent que ce n'est pas vraiment transcendant, éblouissant, la partie est loin d'être gagnée, mais on ne s'ennuie nullement dans cette toute première réalisation d'un long métrage du futur séduisant metteur en scène du fameux "Casque d'Or" et de l'inoubliable "Touchez pas au grisbi".
  • LES ENVOUTÉS (1987)
    Note : 12/20
    Une oeuvre fort moyenne !
  • AUX FRONTIERES DES INDES (1959)
    Beaux décors, actions d'éclat parsèment ce film fort honorable !
  • LES HOMMES DE LA CROIX BLEUE (1955)
    Note : 14/20
    Le grand metteur en scène Andrzej Munk et son indéniable foi dans l'Homme.
  • JOHNNY STECCHINO (1991)
    Note : 13/20
    Quelques idées éparpillées dans une comédie trop longue et lourdingue.
  • DÉSIR (1936)
    Note : 16/20
    Comédie sentimentale incontournable.
  • UNE FILLE TRÈS AVERTIE (1959)
    Note : 10/20
    Sorti aussi sous le titre, "Toujours ces femmes", le film se voudrai une satire de la publicité et de son environnement, mais n'arrive absolument pas à son but.
  • LIONS'LOVE (1969)
    Note : 14/20
    "Documenteur" passionnant, un collage amusant et ironique sur les Etats-Unis.
  • NOUS SOMMES TOUS DES VOLEURS (1974)
    Note : 14/20
    Adapté du même roman que "Les amants de la nuit", le film d'Altman s'attarde plus sur les aspects sociologiques et politiques du récit. Une oeuvre exemplaire.
  • FEMMES ENTRE ELLES (1955)
    Note : 15/20
    Un sombre et violent tableau contre la nature féminine, mais où l'homme n'en ressort ni grandi, ni meilleur. Une oeuvre solide et prenante !
  • PROTECTION RAPPROCHÉE (1987)
    Peter Hunt, comme a son habitude, travaille sur le mode mineur.
  • ILLUSIONS PERDUES (1941)
    Note : 16/20
    Une comédie injustement méconnue du maître incontesté du genre. Quelques morceaux d'anthologie dont la prodigieuse scène du repas avec les convives d'origine hongroise. Subtil et irrésistible du début à la fin.
  • NOUS L'APPELLERONS ANDRE (1972)
    Note : 7/20
    Quel spectacle affligeant que cette triste pochade sénile !
  • UNE CHANCE PAS CROYABLE (1987)
    Note : 12/20
    Une petite comédie sympathique qui se laisse voir sans ennui !
  • LA DAME AU MANTEAU D'HERMINE (1948)
    Note : 13/20
    Dernière réalisation de Lubitsch où l'on ne retrouve malheureusement qu'en de trop brefs moments sa célèbre "touch", l'ensemble demeurant plaisant, même séduisant.