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Critique(s)/Commentaire(s) Publiques de
Ridley Sheppard

  • PULP FICTION (1993)
    Arrêtez de nous casser les couilles "Pulp fiction" est tout simplement un bonheur pour cinéphiles et pourtant j'avais lu trois tonnes d'articles dessus avant d'aller le voir, défaut que je devrais d'ailleurs rectifier. Le problème c'est que la surmédiatisation de "Pulp fiction" a entraîné vers ce film un type de public qui a du se demander pourquoi on avait fait autant de battage, alors qu'en temps normal, il serait devenu culte chez certains cinéphages un peu frappés.
  • BATMAN (1989)
    Non mais qu'est-ce que j'entends un peu partout? Que le Batman est nul? Propos recueillis il est vrai auprès d'individus aussi cinéphiles qu'un banc de sardines. Banc de sardines qu'à du aller voir le film, parce qu'on en parle même chez Foucault Jean-Pierre. Mais bandes de pequenots, vous n'étiez pas obligé d'y aller. Faut pas croire tout le temps ce que dit la télé et les journaux. Soyez un peu adulte; est-ce que moi je m'occupe de critiquer la dernière saison du PSG ?Non. Alors fermez vos gueules. J'adore ce film, mais je dois avouer ques les nains cinéphiles, les pequenots ont du décrocher quand Nicholson abat la batwing avec son revolver, s'ils avaient pas décroché avant.
  • NOCE BLANCHE (1989)
    Mais qu'est-ce que c'est que cette mentalité, à ne voir l'essentiel du film, que dans le contenu ? C'est ce genre de discours qui fait qu'Hitchcock n'a jamais eu l'Oscar et que Spielberg ne l'aura sans doute, jamais. Avec ce film, Brisseau a réalisé un chef-d'œuvre, équivalent au "Vertigo" d'Hitchcock.
  • OUTRAGES (1989)
    Oui ce type est vraiment un malade. Ce type est un voyeur. Contrairement a ce qu'on a voulu faire croire, De Palma ne dénonce pas les horreurs de la guerre, non, ce qui prime pour lui, avant tout, c'est de faire du cinéma. Cette impression de voir le meurtre de « Body double » étalé sur 45 minutes. Géant, malsain, pervers, tape à l'œil, surtout pas réaliste, cinéma à l'état pur, diamant noir, chef-d'œuvre ...
  • FAUX-SEMBLANTS (1988)
    Nous faire croire, alors qu'on sait pertinemment qu'il n'y a qu'un seul acteur, qu'il s'agit de deux personnages et y réussir, rien que pour cela, le film serait un chef- d'oeuvre. Mais en plus, on s'aperçoit, à la fin du film, qu'on a implosé intérieurement.
  • COMME UN CHIEN ENRAGÉ (1985)
    Que dire. Que c'est mon seul choc cinématographique depuis bientôt deux ans ? Le problème, c'est que je n'ai toujours pas trouvé d'équivalent. C'est avec ce genre de choc que tu continues à aimer le cinéma, à chercher des moments comme çà qui te font continuer. Que dire qui ne soit en dessous de ce qu'est ce film, de ce qu'il est pour moi. C'est le seul des films que j'aime, ou je ne m'énerve pas quand quelqu'un n'aime pas, car celui-ci est à moi, au fond de mon cœur à jamais et le reste a peu d'importance…
  • INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT (1984)
    Indy 2 est tout simplement le coté noir d'Henry Jones junior, de son passé tumultueux. N'oublions pas qu'il se déroule avant le premier. Il y traine une réputation de pilleur de tombes. Il est dans les limbes et doit s'en sortir, s'assumer. Détail amusant : le personnage qui lui dit qu'il a entendu parler de lui alors qu'il était à l'université. Or, il est évident qu'ils ont le même âge, voire même que le personnage est légèrement plus vieux que lui. Preuve est que cette allusion préparait déjà le personnage crucial du 3e chapitre...
  • E.T. L'EXTRA-TERRESTRE (1982)
    E.T. c'est notre jeunesse comme beaucoup de films de Spielberg. C'est un film qui appartient à l'histoire.
  • LA PLANÈTE DES SINGES (1967)
    Un épisode géant de « Twilight Zone ». une sécheresse et un dépouillement de la mise en scène rare. Une musique quasi-expérimentale du grand Jerry Goldsmith et comme aujourd'hui nous sommes habitués au maquillage des singes, le propos est encore plus fort, plus lisible et je m'aperçois qu'au fil des multiples rediffusions, je n'avais jamais vu le premier film ou alors j'étais trop petit pour comprendre la première fois.