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NOCE BLANCHE-1989-
Nationalité : France
Durée : 1h32
Date de sortie en France : 08/11/1989
Genre : DRAME
Theme
Milieu scolaire
- cinéma français -
Réalisation : Jean-Claude BRISSEAU
Scénario et Dialogues : Jean-Claude BRISSEAU
Prise de vues : Romain WINDING
Musique : Jean MUSY
Distributeur : Les Films du Losange
Visa d'exp. : 69529
Résumé
Un lycée à Saint-Etienne. La passionnelle relation entre François Hainaut, un professeur de philosophie de quarante-neuf ans avec l'une de ses élèves, Mathilde Tessier. Tout commence par un intérêt purement pédagogique d'un enseignant qui croit à sa vocation, pour une élève des plus "absentes" et des plus rebelles. Tout finit malheureusement dans la frustration, l'échec, la démission, la douleur, la mort et par un sentiment amoureux impossible, dénié dans les virtualités quotidiennes.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Vanessa Paradis confirme les moult facettes de sa personnalité controversée.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Un souffle de fraîcheur pour un vieux fantasme d'adolescence. L'évènement du film, c'est bien sûr, l'apparition au cinéma de Vanessa Paradis ... pas mal pour un début. (Avis aux malentendants, elle ne parle pas plus haut qu'elle ne chante! ). Le sujet du film est un peu bateau, mais il est agréable de se laisser voguer dans une ambiance écorchée vive d'adolescente à la dérive qui vient se fracasser contre le vieux roc qu'est Bruno Cremer. Et la quille n'éclate pas et c'est le rocher qui finira par aller à la mer. C'est un peu patronné par Kleenex, mais il y a eu goût de guimauve dans l'air qui nous rajeunit tant .
signature non-référencée
Bouleversant! Ce film plonge chacun dans ses années lycée, où l'absolu semblait possible. Bruno Cremer et Vanessa Paradis sont déchirants ! "Noce blanche" me fera longtemps encore rêver et pleurer. THIERRY L.
inconnu(e)
Vanessa joue bien, mais elle n'a pas choisi le bon film, qui reste cependant émouvant ...
Mais qu'est-ce que c'est que cette mentalité, à ne voir l'essentiel du film, que dans le contenu ? C'est ce genre de discours qui fait qu'Hitchcock n'a jamais eu l'Oscar et que Spielberg ne l'aura sans doute, jamais. Avec ce film, Brisseau a réalisé un chef-d'œuvre, équivalent au "Vertigo" d'Hitchcock.
Pour qui a vu les deux premiers films de Jean-Claude Brisseau, moments forts comme on n'en voit que trop rarement dans le cinéma français, ce troisième est une déception. Tout en restant fidèle à sa thématique (la jeunesse face au monde) et à son acteur fétiche (Bruno Cremer, toujours aussi remarquable) Brisseau s'est enlisé dans un romanesque à la limite de la mièvrerie, support marketing pour Vanessa Paradis, dont l'indispensabilité pour le rôle est discutable.
Bibliographie