Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 41 films notés

Page 198 sur 332 (16566 critiques au total)

  • CARMEN NUE (1984)
    Version érotisée de la nouvelle de Prosper Mérimée, sans intérêt.
  • LE MATELOT 512 (1984)
    Note : 11/20
    Sur un sujet romanesque, un film à la limite du théâtral. Un peu aride.
  • WEEDS (1987)
    Note : 1/20
    Un sommet absolu de la niaiserie totale !
  • LA RONDE DE L'AUBE (1958)
    Note : 14/20
    Douglas Sirk for ever !
  • NEW YORK DEUX HEURES DU MATIN (1983)
    Note : 14/20
    Du déjà vu plutôt conventionnel.
  • LA NUIT FANTASTIQUE (1941)
    Note : 12/20
    Le film de Marcel L'Herbier semble aujourd'hui fortement dater, mais séduit encore par la poésie de certains de ses généreux décors et le charme naïf des personnages qui nous laissent souvent une agréable impression surannée.
  • POULE ET FRITES (1987)
    Le degré zéro de la comédie !
  • NOSTALGHIA (1983)
    Note : 15/20
    D'une âpre beauté, une oeuvre aux maintes résonances poétiques.
  • LA MORTE-VIVANTE (1982)
    Note : 11/20
    Petit maître de l'érotisme fantastique à la française, avec quelques incursions dans le porno, Jean Rollin nous livre un charmant conte gore.
  • LE MYSTÈRE DE SAN PAOLO (1950)
    Note : 12/20
    Petit film noir bien ficelé.
  • PHENOMENA (1985)
    Note : 13/20
    Du style et des limites.
  • FEU À VOLONTÉ (1964)
    Note : 9/20
    Malgré l'habituelle et sympathique décontraction d'Eddie Constantine, l'ensemble de la réalisation est plutôt fadasse et quelconque.
  • MIDI GARE CENTRALE (1950)
    Note : 14/20
    Encore un intéressant et consistant "film noir" de l'efficace Rudolph Maté, décidément à l'aise dans ce genre cinématographique, avec un William Holden presque parfait, qui mérite pleinement le ferroviaire détour.
  • AOÛT (1991)
    Note : 7/20
    Prétentieux et déjà bourré de maints tics de mise en scène, un premier long métrage fort agaçant, parfois même ridicule.
  • LES PAS PERDUS (1964)
    Note : 13/20
    Naissance, épanouissement et fin d'une passion, sur fond littéraire d'un René Fallet en filigrane dont la pertinence émotionnelle stimule la plupart des dialogues, empêchant le film de tomber dans un ennui et une banalité catastrophiques, plutôt gênant pour stigmatiser les errements du sentiment amoureux. On retiendra surtout l'étonnante scène de la confrontation entre Jean-Louis Trintignant en amant intimidé et Michel Vitold, l'époux sûr de ses droits et de ses vérités.
  • LA THUNE (1991)
    Note : 6/20
    Difficile de ne pas s'insurger face à ce genre de spectacle, qui sous prétexte d'aborder de sérieux problèmes contemporains, par le biais de la comédie se permet de dangereuses et fallacieuses approximations. La chose est d'autant plus regrettable que les deux jeunes protagonistes forcent la sympathie.
  • L'ÉCOLE DES PRINCESSES (1987)
    Médiocrité générale d'une œuvre stupide et bête qui frise constamment le ridicule et la nullité.
  • RELAXE-TOI CHÉRIE (1964)
    Note : 10/20
    Pantalonnade désuète à l'humeur grivoise et lourdingue !
  • MON PÈRE CE HEROS (1991)
    Note : 12/20
    Du Lauzier de bon ton avec un Depardieu en forme. Pourquoi cracher dans la soupe, même si ce dernier, dans quelques années, deviendra imbuvable ?
  • LE NINJA BLANC (1986)
    Stupefiant d'insignifiance.
  • LE REPAS DES FAUVES (1964)
    Note : 15/20
    Caustique et brillant à souhait, avec les incontournables "bons mots" d'un Henri Jeanson à nouveau inspiré, des acteurs brillants, remarquablement investis dans leurs rôles, une oeuvre d'une froide méchanceté qui en dit plus long sur la part d'ombre de la nature humaine que bien des discours hautement académiques.
  • LA MESSE DORÉE (1974)
    Pour les uns, une sombre rature, pour d'autres, une torride fulgurance.
  • KICKBOXER 2 (1989)
    Quand cessera-t-on de nous infliger des suites encore plus idiotes que les originaux ?
  • UNE SOURIS CHEZ LES HOMMES (1964)
    Sur le mode parodique, une oeuvre poussive qui n'arrive jamais à faire rire sérieusement, malgré les incontestables efforts et contorsions des trois principaux acteurs. Une évidente déception qui laisse un goût amer.
  • CHAQUE SOIR A NEUF HEURES (1967)
    Note : 16/20
    Une oeuvre étonnante, d'un envoûtement constant dans sa folle dramaturgie.
  • LE MARI DE LA FEMME À BARBE (1963)
    Note : 14/20
    Marco Ferreri dans sa période la plus contestataire et la plus tourmentée.
  • BORDER LINE (1991)
    Note : 8/20
    Pour certains une oeuvre délicate, parfaitement conduite par Danièle Dubroux, pour d'autres, de la mélasse sentimentale à bas prix.
  • CELINE ET JULIE VONT EN BATEAU (1974)
    Note : 16/20
    Un film étonnant en forme de puzzle qui fait référence à l'univers fantasque de Lewis Carroll. Déroutant tout d'abord, puis passionnant.
  • LE JOUR DU VIN ET DES ROSES (1963)
    Note : 15/20
    Une oeuvre noire et pessimiste, qui serait de beaucoup la préférée du metteur en scène, ne versant jamais dans le démonstratif ou la moralisation à outrance.
  • INDOCHINE (1991)
    Note : 14/20
    Superproduction à la française emportée par un souffle romanesque quelquefois appréciable. Du travail de professionnel souvent irréprochable, mais sans génie.
  • CE CHER DISPARU (1965)
    Note : 15/20
    De cette folle aventure nécrophilique, d'une ravageuse hilarité, entre les Marx Brothers et Terry Gilliam, il ne reste qu'une maigre armature qui présageait d'une possible oeuvre "hénaurme", malheureusement inaboutie.
  • FRIDA KAHLO, NATURE VIVANTE (1984)
    Note : 17/20
    Une exceptionnelle et surprenante prestation d'Ofelia Medina, sublime dans un rôle merveilleusement investi, pour un film étonnant de qualités et de sensibilité.
  • UN HOMME ET DEUX FEMMES (1991)
    Note : 15/20
    Première oeuvre, excellente !
  • RAGE (1991)
    Note : 12/20
    Mémorable composition de Dennis Hopper en brute démoniaque dans ce premier film intéressant qui nécessite une prochaine confirmation.
  • PRIÈRE POUR UN TUEUR (1985)
    Tous les poncifs du genre pour une réalisation plate et stérile.
  • À QUOI TU PENSES-TU ? (1991)
    Un de ses films français boudés lors de leur sortie en salles et que l'on voit réapparaître très peu de temps après sur les écrans de télévision. Dans ce cas précis, il eut été plus intelligent de laisser cette fantaisie ratée aux rayons des oubliettes.
  • PROOF (1991)
    Note : 15/20
    Une réflexion passionnante sur l'ambiguïté de toute vérité, réalisée avec intelligence et finesse.
  • MÉMOIRE TRAQUÉE (1991)
    Note : 4/20
    Mais certainement pas le spectateur de ce navet sans rythme aucun.
  • IL ÉTAIT UNE FOIS LA TÉLÉ (1985)
    Note : 16/20
    Un documentaire passionnant et d'une rare justesse.
  • VIOLENCES SUR LA VILLE (1978)
    Note : 9/20
    Prophétique et lourde évocation de la violence urbaine chez les jeunes teenagers.
  • THAT'S DANCING (1985)
    Note : 12/20
    La première partie du film, consacrée au cinéma muet et surtout au travail de Busby Berkeley, s'avère instructive et fort distrayante. Pour le reste, à part une scène inédite du "Magicien d'Oz", les extraits choisis sont fort connus et les commentaires sans grand intérêt et redondants. Bien entendu, il est toujours facile et agréable de se laisser envoûter par certains numéros inoubliables.
  • INVASION USA (1985)
    Note : 4/20
    Manichéen comme pas possible, une oeuvre platement commerciale.
  • EUROPA (1991)
    Note : 18/20
    Fort novatrice, une oeuvre superbe à l'empoisonnante ambiguïté qui confirme pour le moment l'indéniable talent du metteur en scène Lars Von Trier.
  • LA TRICHE (1983)
    Note : 12/20
    Un film honnête, malgré le convenu de l'intrigue policière !
  • MACARONI (1985)
    Note : 13/20
    Plaisant et drôle !
  • LE FANTOME AU BAIN-MARIE (1988)
    Note : 7/20
    Quelconque et sans interet, une oeuvrette insignifiante.
  • VARIETY (1983)
    Note : 15/20
    Ecrit par une des chefs de file de la littérature underground américaine, ce film singulier et volontairement "dérangeant" n'est pas sans rappeler une autre réalisation de femme, le touchant "Wanda" de Barbara Loden. Passée inaperçue à sa sortie une oeuvre fort personnelle à redécouvrir de toute urgence.
  • LA BELLE HISTOIRE (1991)
    Note : 6/20
    Sur le thème de l'accomplissement des destins et de la réincarnation, une interminable histoire prétentieuse, grandiloquente, boursouflée où la bêtise la plus commune flirte allègrement avec la naïveté la plus profonde. Seul Claude Lelouch peut se permettre autant de profonde viduité, sans être lapidé !
  • SPLIT DECISIONS (1988)
    Note : 9/20
    Une oeuvre stéréotypée où toutes les situations sont prévisibles !
  • KRISS ROMANI (1962)
    Note : 16/20
    Malgré quelques invraisemblances scénaristiques et des lourdeurs insistantes voire folkloriques, cette oeuvre généreuse et courageuse nous donne une vision sans concession d'un certain rejet de la communauté tzigane, il y a quarante ans, hélas encore, et encore d'actualité aujourd'hui. Sous forme de fiction documentaire, alliant poésie suburbaine, croyances ancestrales et dénonciation sociale, une réalisation toujours bienvenue, d'une indéniable fraîcheur cinématographique, précieuse et rare.