• UNE VIREE AVEC MOISE (2001)
  Critique CF

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  Le niveau est inégal, les scénaristes enfants sont aussi les acteurs. Cette oeuvre a souvent du mal à rappeler au spectateur, la véritable signification du texte sacré.
• UNE PART DU CIEL (2002)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une première oeuvre prometteuse, intègre et solide !
• CRIME + PUNISHMENT (2000)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Pauvre Dostoïevski qu'on trahit et qu'on massacre éhontément !
• POUR UN SEUL DE MES DEUX YEUX (2005)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Courageux documentaire, engagé et dénonciateur, qui ne ménage pas les critiques contre la politique israélienne au Proche-Orient et dans les Territoires Occupés.
• URBAN LEGEND 2 (2000)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Encore une oeuvre pénible à suivre, non pas tellement par l'horreur qu'elle aurait pu distiller, mais uniquement pour sa stupide et constante platitude.
• D'UN RÊVE À L'AUTRE (2000)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Romance à connotation psychopathologique qui n'a rien de déplaisant.
• SEYYIT KHAN (1968)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Somptueuse composition cinématographique alliant avec efficacité et détermination les codes universels du mélodrame et de la vengeance, avec une mythologie toute aussi codifiée et discernable que celle du western à la sauce italienne et de son immuable héros, incarné avec autorité et prestance par Güney lui-même que la 33e édition "Il Cinema Ritrovato" de Bologne (2018) honora avec cinq de ses films.
• LE JOUEUR (1964)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une production nippone un peu ennuyeuse, de par un sujet, "le jeu de dés", en grande partie éloigné des "occupations" ludiques occidentales.
• SEVEN SWORDS (2005)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Epique époque, combats fulgurants, magie du geste et de l'action, une oeuvre fascinante de Tsui Hark, souffrant tout de même de certaines longueurs évitables.
• PROFILS PAYSANS : L'APPROCHE (2000)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  D'un intérêt évident !
• LE TROISIÈME OEIL (1970)
  Critique CF

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  Note : 4/20

  Conglomérat abscons d'insanités cinématographiques et de stupidités narratives, doublé d'un scénario archi-nul et d'une vague réalisation frisant le néant absolu.
• BOWLING FOR COLUMBINE (2002)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  D'une régulière et cruelle actualité. Incontournable !
• FÉLIX ET LOLA (2001)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Malgré des acteurs (qui semblent) convaincus de leurs rôles, une histoire un peu languissante et légère dont la minceur du sujet peut déconcerter.
• LE PETIT LIEUTENANT (2005)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  D'une excellente facture, souvent proche de la banalité quotidien d'un métier trop souvent magnifié au cinéma, avec un trio d'acteurs (Nathalie Baye / Jalil Lespert / Roschdy Zem) d'un présence indéniable. Seul ombre au tableau : une calamiteuse interprétation de Xavier Beauvois en inspecteur de police...
  Nota : encore plus nul le Beauvois qui, durant le festival de Cannes 2006, lors d'une altercation avec un chauffeur de bus, a exhibé une fausse carte de police.
• DAMA S MALOU NOZKOU (1919)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Première apparition sur un écran de cinéma de la pétulante Anny Ondra, ce moyen métrage tchécoslovaque, adroite combinaison entre film policier, romance sentimentale et scènes burlesques, ne laissera guère de souvenirs impérissables, possédant toutefois l'anecdotique particularité de la présence du grand réalisateur d'origine tchèque Gustav Machaty, comme acteur, dans le rôle principal.
• PENSÉES ET VISIONS D'UNE TÊTE COUPÉE (1991)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Incontournable Olivier Smolders, avec ses fascinants images-chocs, sa stylisée fantaisie mortuaire et violente et ses fulgurantes juxtapositions visuelles.
• MISS PINKERTON (1932)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On a connu Lloyd Bacon, plus inspiré dans le genre de la comédie policière !
• BULLET HEAD (2002)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Pénible et sans intérêt !
• LA SAVEUR DE LA PASTEQUE (2005)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  De farfelues scènes de comédie musicale déjantée et l'absence époustouflante de tous sentiments amoureux au détriment de l'austérité et de la radicalité de l'expression sexuelle, enfermant et solidifiant le spectateur dans une étonnante solitude et un profond malaise existentiel, durablement voire en permanence...
  "Un nuage au bord du ciel
  Flotte au gré du vent
  Son coeur est rebelle
  Mon amant cruel
  Nuage solitaire
  Est sourd à mes appels
  Il vit sans se soucier
  Que se fanent les fleurs
  Il consume son âge
  Son ombre esseulée
  Se moque du bonheur
  Et passe comme un nuage"
  Dernière chanson du film.
• SADE (2000)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  D'une sagesse horripilante !
• RÊVE D'ARTISTE (1988)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Pas de quoi honorer Méliès !
• CHOUCHOU (2003)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Un festival Gad Elmaleh sur lequel le film se repose et s'épuise !
• LA RECONSTITUTION (1968)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Efficace et grinçante dénonciation de l'omnipotence de l'Etat et de ses prérogatives, à travers la stupidité et la veulerie de ses moult représentants, à tous les échelons de la société, fièrement assermentés. Une rare redécouverte proposée par
  le 31e Festival Premiers Plans d'Angers (2019) lors d'un focus sur le cinéma roumain.
• BIGAMIE (1953)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Sans aucune orientation morale lourdement réprobatrice, une oeuvre bienvenue.
• DANGEREUSE PROPOSITION (2000)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Petit polar un peu fastidieux qui est loin d'etre ininteressant.
• IL FAUT QUE JE L'AIME (1995)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Plans fixes sur la tête de Valérie Mrejen, pendant plus de huit minutes, c'est long, même si sa bobine est gracieuse et le texte, en voix-off, pas trop nul.
• DESTINATION FINALE 2 (2003)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Petite série B plutôt bienvenue dont l'héroïne faucille à tous bras !
• RAPT (1952)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre rare, tout à fait bienvenue et sympathique.
• L'ÉCLAIREUR (2004)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Voilà le genre même de film qui a tout pour déplaire : de la prétention cinématographique, une vision du fantastique mal digérée, une viduité scénaristique qu'on tente de combler tant bien que mal par du remplissage superflu et une certaine lourdeur pachydermique fort exécrable et presque permanente.
• DIE WURGHAND (1920)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une œuvre à visionner, surtout pour la solide interprétation des personnages principaux avec en particulier l'excellente prestation de Carmen Cartelieri dans le rôle de la dévastatrice et constamment amorale séductrice.
• KANDAHAR (2001)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une dénonciation nécessaire et bienvenue qui souffre peut-être d'un parti-pris esthétique trop souvent recherché qui peut atténuer l'efficacité du propos.
• LA COQUILLE ET LE CLERGYMAN (1927)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Filmée sur un scénario conçu par Artaud, qui ne cherchait pas à retranscrire des images oniriques à partir d'un texte, mais bien à faire ressentir la force de l'expérience onirique, la puissance du rêve dans une élaboration spontanée, un peu comme l'écriture automatique, dans un récit visuel qui ne refusait ni les incohérences ni les incongruités, cette œuvre se place comme la première création surréaliste au cinéma.
• ET LES LACHES S'AGENOUILLENT (2003)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Plus intellectuel que poétique, hélas !
• LA COULEUR DES MOTS (2005)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Il est à noter que l'actrice principale, puissamment habitée par son rôle et son personnage, ne souffre aucunement de ce mal "étrange" et fascinant. Seuls en sont atteint son propre fils et l'aîné de celui du metteur en scène.
• DESTRUCTION TOTALE (2000)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  Ennuyeuse stupidité, genre "film catastrophe" sur fond d'espionnage chinois.
• FÉROCE (2000)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre utile et salutaire qui dénonce avec une réelle efficacité la malfaisante "peste brune" qui nous entoure, de plus en plus souvent drapée dans une traîtreuse respectabilité et des discours faussement lénifiants et rassurants.
• DOLLS (2002)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Oeuvre déconcertante qui n'échappe pas à un certain ennui formel, provoquant un inhabituel et progressif désintérêt pour les personnages et leurs drames intimes.
• THE SADDEST MUSIC IN THE WORLD (2003)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Hélas, on est loin de la magnifique poésie des premiers films du réalisateur !
• ASSUNTA SPINA (1947)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Pour le personnage principal du film : Naples et ses habitants.
• LE FABULEUX DESTIN D'AMÉLIE POULAIN (2001)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une bienvenue fantaisie souvent savoureuse, d'une bienveillante naïveté sous le micro-climat de la tendresse, avec des acteurs convaincants !
• GRAND-PÈRE AUTOMOBILE (1957)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un film franco-tchèque rarement projeté dans l'hexagone, d'un metteur en scène peu prolifique (cinq réalisations seulement entre 1947 et 1960) en hommage aux nombreux pionniers européens de la motocyclette et de l'automobile, de leurs précieuses découvertes et des moult innovations apportées à la voiture, début du 20e siècle. Une première partie des plus entraînante, ponctuée de moult extraits d'archives de l'époque, souvent étonnants et cocasses, suivie par un second segment plus monocorde, ronronnant comme un moteur en parfaite harmonie "bielleuse".
• MULHER POLICIA (1998)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre douloureuse et pessimiste d'une sincérité évidente.
• POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS (1924)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On a connu plus débridé.
• CLOVER BEND (2001)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  D'un mortel ennui et d'une gentille fadeur télévisuelle, ponctué d'un final d'une stupidité romantico-mélodramatique profondément risible.
• LA CHAMBRE DU FILS (2001)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Emouvant et d'un précieux humanisme !
• TERROR TRACT (2000)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Quelques rares scènes a re(garder).
• À L'ASSAUT DE LA MONTAGNE (1921)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Film en six actes, quasi documentaire, avec quelques étonnants et rares plans en couleur, qui met en évidence la force incommensurable de la nature et l'insignifiance de l'homme face aux éléments déchaînés, réalisé par un metteur en scène teuton considéré à juste titre comme un pionnier du cinéma de montagne.
• HELLO BABY (1924)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Quelques rares gags bienvenus !
• THE GRUDGE (2004)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Histoire somme toute peu originale dans son déroulement scénaristique, dont on retiendra surtout un traitement paroxysmique, visuel et sonore, les effets spéciaux "coups de poing" pour une résultante efficace dans le domaine de l’épouvante.
• LA BONNE FÉE (1935)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Pour la patte de Preston Sturges, scénariste.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)