De farfelues scènes de comédie musicale déjantée et l'absence époustouflante de tous sentiments amoureux au détriment de l'austérité et de la radicalité de l'expression sexuelle, enfermant et solidifiant le spectateur dans une étonnante solitude et un profond malaise existentiel, durablement voire en permanence...
"Un nuage au bord du ciel
Flotte au gré du vent
Son coeur est rebelle
Mon amant cruel
Nuage solitaire
Est sourd à mes appels
Il vit sans se soucier
Que se fanent les fleurs
Il consume son âge
Son ombre esseulée
Se moque du bonheur
Et passe comme un nuage"
Dernière chanson du film.