• ESPRITS REBELLES (1995)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un discours sommaire et caricatural mais une mise en scène honorable. "Esprits rebelles" est à l'enseignement ce que "Top gun" fut à l'aviation...
• DEDE (1989)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un premier film qui s'inspire largement de "Hamlet". Intéressant, même si globalement inabouti.
• MAUSOLEE (1983)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Rien que du déjà vu, dans un ensemble plutôt maladroit !
• TÉMOIN MUET (1995)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une excellente idée de départ bien exploitée dans la première partie du film. Mais l'ensemble manque toutefois de rigueur et donc d'efficacité.
• L'ÉTOILE CACHÉE (1960)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Superbe mélodrame, d'une excellente facture et d'une indéniable émotion.
• LA SALAMANDRE (1981)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Médiocre et mal filmé, avec des images ternes et baveuses où même les acteurs confirmés semblent s'ennuyer au possible et attendent la fin du film avec soulagement.
• LES PROXÉNÈTES (1972)
  Critique CF

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  Une relecture plutôt fantaisiste de l'"Illiade".
• JE T'AI DANS LA PEAU (1989)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Un premier film ambitieux, mais un tantinet schématique et handicapé par une inégale interprétation de la plupart des comédiens présents.
• LA CHASSE (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre brutale en profondeur, parfaitement maîtrisée qui souffre tout de même d'un déficit scénique laissant apparaître un certain ennui.
• LE CORIACE (1971)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Ce qui n'est pas le cas pour le film, perdu à tout jamais dans les rings de la médiocrité.
• LETTRES D'ALOU (1990)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Intéressant et fort démonstratif !
• LES VOYOUS (1993)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  On a connu Carlos Saura mieux inspiré et il ne faut donc pas être étonné que le film ne fut pas distribué en salles, dans l'hexagone.
• LA DERNIÈRE MARCHE (1995)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une oeuvre excellente, tant par la qualité de sa réalisation que par la finesse et la gravité apportées par les deux acteurs principaux dans leur composition respective, pour un sujet fort sensible, qui joue adroitement sur l'émotion qu'elle suscite.
• POURQUOI BODHI DHARMA EST-IL PARTI VERS L'ORIENT ? (1989)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une oeuvre résolument à part qui baigne dans une ambiance d'ascèse, loin des notions habituelles de narration et de psychologie.
• UNE SI GENTILLE PETITE FILLE (1977)
  Critique CF

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  Note : 4/20

  Horriblement bête et stupide !
• DEMAIN L'APOCALYPSE (1980)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  Même si la réalisation du besogneux Antonio Margheriti reste tout juste passable, elle ne compensera jamais l'abyssale médiocrité scénaristique, la désinvolture irréaliste du propos et l'indigence flagrante de l'interprétation.
• LA VÉRITABLE HISTOIRE D'ABE SADA (1975)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une oeuvre intéressante, d'une facture classique, dépassant largement sa thématique érotique, par un réalisateur nippon plutôt fripon.
• LES HOMMES TRAQUÉS (1935)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Un polar plutôt banal, malgré une charmante prestation de Jean Arthur.
• LE CHAT NOIR (1981)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Le transalpin metteur en scène Lucio Fulci, l'homme qui zoome plus vite que son ombre, est ici, un peu moins nul que d'habitude.
• SLACKER (1991)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Le premier long métrage du metteur en scène de "Before Sunrise", qui reste un incontournable document sur les représentants de la fameuse "génération X".
• SOMEBODY TO LOVE (1994)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Personnages et scénario attachants même si l'ensemble manque de souffle.
• LA MORT AU LARGE (1981)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  "Les dents de la mer" version italienne du pauvre, où la constante platitude scénaristique se conjugue avec l'exaspérante indigence du jeu des acteurs.
• DUMB AND DUMBER (1994)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Vulgaire, bêtifiant et sinistre !
• ÇA TOURNE À MANHATTAN (1994)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Film indépendant truffé de maladresses et laissant un sentiment d'inachevé.
• CANNIBAL HOLOCAUST (1979)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un classique du genre "gore" qui ne recule devant aucune complaisance et dont les scènes d'horreur sont quelquefois particulièrement saisissantes.
• LA RUE AUX STUPÉFIANTS (1958)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Première réalisation d'un estimable réalisateur yankee qui vaut surtout par une impressionnante et documentée séquence sur la perception et le ressenti éprouvés par un accroc à l'héroïne, durant la terrible et dramatique période de manque et de sevrage.
• LE PLUS BEL ÂGE... (1994)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Personnages caricaturaux, dialogues à la limite du ridicule et interprétation approximative. Un désastre.
• LA MAISON AU FOND DU PARC (1980)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  Totalement irrealiste, une oeuvre malheureuse qui ne merite aucune consideration.
• EMBRYO (1976)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Laborieux et quelconque, ne reste l'évidente et rare beauté de Barbara Carrera.
• MEURTRE A ALCATRAZ (1995)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Dans la grande tradition américaine des films à résonance et connotation libérales, une oeuvre certes, assez lourde, mais efficace dans sa démonstration.
• CHACUN CHERCHE SON CHAT (1995)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Délicieux et délicat comme un ronron de contentement !
• L'ÎLE DE LA VIOLENCE (1962)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un réalisateur à redécouvrir !
• QUAND LE RIDEAU TOMBE (1948)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Unique réalisation du metteur en scène, un film assez habile et joliment dialogué, mais qui manque malheureusement de personnalité et d'envoûtement.
• MAUDITE APHRODITE (1995)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un Woody Allen qui doit beaucoup à l'excellente Mira Sorvino.
• LA LETTRE INACHEVÉE (1959)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une oeuvre excellente quant à sa qualité technique et le bonheur de sa réalisation.
• LE MASSACRE DE FORT APACHE (1948)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  L'un des plus célèbres films du metteur en scène John Ford, qui est aussi le premier opus d'une trilogie consacrée à la cavalerie américaine.
• LE CHANT DE L'EXIL (1989)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Par la cinéaste de l'intéressant "Boat People", un film inédit en salles. A découvrir.
• LE GRAND BLANC DE LAMBARENE (1995)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Malgré l'interprétation sans faille d'André Wilms, le film manque de souffle.
• LES COMPLICES (1968)
  Critique CF

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  Un remake du film "Mirage" réalisé en 1965 par le metteur en scène Edward Dmytryk, tourné à l'origine pour la télévision, puis distribué en salles.
• JUMANJI (1995)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Efficace sans plus.
• CHARLOT RENTRE TARD (1916)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Un superbe one-man-show de l'étonnant Charlot qui nous rappelle avec bonheur les facéties de son homologue comique, Buster Keaton.
• LES VOYOUS (1959)
  Critique CF

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  Largement charcuté par la censure franquiste et paradoxalement choisi pour représenter son pays au 13e festival de Cannes, ce premier long métrage du réalisateur Carlos Saura a comme singulière particularité d'être parfaitement dans la novatrice mouvance cinématographique de l'époque (free cinéma, nouvelle vague) tout en étant fortement imprégné des codes et des atours du néoréalisme finissant.
• LE CONTINENT FANTASTIQUE (1977)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  En n'étant pas trop exigeant sur la qualité des trucages ni sur le jeu des acteurs, en renonçant à y trouver une quelconque poésie, on survivra à cette énième adaptation du célèbre roman de Jules Verne bien plus envoûtant dans sa version littéraire.
• DÉTOUR (1945)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Superbe scénario tortueux à souhait qui confirme à nouveau l'excellence cinématographique de George Edgar Ulmer dans le domaine du polar noir américain.
• PEPPERMINT FRAPPÉ (1967)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Quatrième long métrage du réalisateur Carlos Saura qui venait de commencer avec son film précédent une incisive et régulière introspection des pharisaïques milieux bourgeois hispaniques sous l'étreinte politique et morale du franquisme. Une œuvre bienvenue qui percute avec sa radicalité vengeresse, encore bien timorée et lancinante et dont nous apprécierons particulièrement le double rôle de Géraldine Chaplin qui deviendra son égérie et sa compagne durant presque une vingtaine d'années.
• PETITES GUERRES (1982)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Jolie réussite du futur réalisateur de "Hors la vie" et de "La fille de l'air", pour lequel bien des cinéphiles déplorent la disparition prématurée.
• HAROLD CHEZ LES PIRATES (1919)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Dernier film de Harold Lloyd avec sa partenaire attitrée Bebe Daniels.
• LE PLUS GRAND DES HOLD-UP (1969)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Une parodie du genre qui manque tout de même de maîtrise cinématographique.
• STATE BUONI SE POTETE (1983)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  C'est frais et jovial, inattendu et plein de charme.
• HAROLD SE MARIE (1919)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Oeuvre moyenne dans la vaste et prolifique filmographie du grand Lloyd, acteur et aussi réalisateur, ici cornaqué par le célèbre Hal Roach.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)