• INTACTO (2001)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une géniale idée de départ souvent malmenée dans son traitement trop maniéré.
• BUONGIORNO NOTTE (2003)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Film politique sur une page sanglante de l'Histoire transalpine dont on apprécie en particulier la pertinente analyse idéologique de l'affaire et de ses conséquences.
• L'INTRUS (2004)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  D'une étrange beauté désespérée, une oeuvre hautement fragile, d'un puissant envoûtement élémentaire, desservie par une histoire en perpétuel déséquilibre, comme "échappée" à la mainmise cartésienne des scénaristes et qui, paradoxalement, par là même, en tire un puissant charme impalpable, flirtant sans cesse avec un potentiel chef-d'oeuvre resté paradoxalement inabouti.
• GANGSTERS (2001)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Personnages bien trop forcés qui transpirent l'outrance et la caricature.
• THE UNDYING MONSTER (1942)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une intrigue fantastico-policière d'une grande indigence scénaristique qui mène à grands crocs à une forme de pesante et stupide lycanthropie.
• JEEPERS CREEPERS 2 (2003)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Quelques scènes bienvenues pour un ensemble qui manque de souffle !
• THE FLYING DUTCHMAN (2001)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Scénario intéressant, constamment malmené par un traitement bancal et une interprétation grossièrement surjouée.
• AÏE (2000)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une oeuvre ambiguë et décalée.
• APRÈS LA VIE (2003)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Expérience unique dans le cinéma, cette solide et peu banale trilogie mérite un détour obligatoire et confirme le talent du metteur en scène !
• LA PLANÈTE BLEUE (2003)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  A parier, ce genre de documentaire, avec les dramatiques échéances écologiques qui nous guettent, va fleurir désormais sur nos écrans. Message certes précieux et dénonciateur, mais peut-être déjà vain et inutile.
• LE SUD (2004)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Approche d'une tranche de vie chaotique. Malgré sa carapace, une imperceptible fêlure va briser une femme fragile. Douleur, torture, incapacité de construire. Souvent déchirant, tendre et déroutant, sans mièvrerie ni complaisance aucune. Réalisation batave d'une grande intelligence, affirmant la capacité à faire surgir les forces et les faiblesses de chacun. Un film abrupt et poignant !
• ÇA IRA MIEUX DEMAIN (2000)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Cinq chapitres, pour les cinq jours ouvrés de la semaine, et plein de drôlerie.
• FALL OUT (1998)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Et aussi sur le spectateur !
• LES MYSTERES DU SALON DE COIFFURE (1923)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un incroyable salon de coiffure ou règne la folie, le surréalisme et l'outrance.
• MOOLAADE (2004)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Règne des traditions, rythmes millénaires, gestes scandés d'incantation dans un ballet rouge sang. Souffrance, soumission, esclavage et infranchissable fatalisme que seules l'information et l'éducation peuvent détruire. Au nom des droits de l'homme au féminin, un excellent film à ne pas manquer !
• UNE TÊTE SANS PRIX (1942)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Court métrage d'une grande intensité émotionnelle, efficace et concis dans sa puissante dramaturgie, d'un réalisateur décidément essentiel.
• DELIVRE-NOUS DU MAL (2001)
  Critique CF

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  Note : 5/20

  C'est vrai, cet ectoplasme de film est diaboliquement nul et insipide !
• LE CERF-VOLANT (2003)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre franco-libanaise incontournable, d'une grande sobriété dans la mise en scène où se côtoient finement émotion et absurdité, pour notre plus grand ravissement.
• LE BUNKER (2001)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Les interprétations / explications restent ouvertes, dans cette oeuvre finalement fort tenue voire minimaliste.
• UN BRAVE GARÇON (1943)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre longtemps invisible qui est réapparue pour la première fois en 1992 au Musée du Cinéma de Moscou et pour laquelle on comprend aisément la défaveur des instances politiques de l'époque, avec ce parti pris du réalisateur de ne pas encenser le résistant russe, avec tous les canons idéologiques afférents, au détriment d'une histoire à dimension fortement humaine, non dénuée d'humour et de légèreté.
• LE CHÄTEAU DANS LE CIEL (1986)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Chef-d'oeuvre de l'animation nippone !
• TERREUR POINT COM (2002)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Dans quelle galère vermoulue, s'est encore égarée la belle Natasha Mac Elhone ?
• LEMMING (2005)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une époustouflante Charlotte Rampling, toujours aussi étonnante, pour une oeuvre intéressante et prenante, gâchée par une dernière demi-heure fadasse et lourdingue.
• THE FATAL WITNESS (1945)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Plaisant et sans ennui !
• SAVAGE (1996)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Malgre le rebondissement final, le film ne merite aucune attention.
• À L'AMÉRICAINE (1928)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Cette oeuvre muette du grand Alfred, tournée en noir et blanc, fin des années 20, vaut surtout pour sa première demi-heure plutôt alerte, pour ensuite se déliter dans une monotone réalisation menant cahin-caha vers un happy end plutôt balourd et bâclé.
• LE CRIME FARPAIT (2004)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un sympathique festival d'humour grotesque, toujours bienvenu chez ce déjanté réalisateur hispanique, qui ne verse jamais dans une lourde et gênante surenchère.
• UN ETE PRODIGIEUX (1950)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Mon Dieu, quelle horreur ! Une balourdise écoeurante dans la catégorie "film propagandiste", à la gloire de l'odieux "petit père des peuples", entre piètre production musicalisée, genre "heimatfilm" bavarois et bavarde niaiserie unanimiste et confraternelle, typée carte-postale pro-soviétique idyllique. Pauvre Boris qui nous avait tellement séduit par ses immuables chefs-d'oeuvre de la période muette.
• LE GLANDEUR (2000)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Quelques îlots d'humour et d'impertinence dans un océan de facilité et de ridicule, nous oblige à laisser notre cher Jean-Pierre Mocky bavasser dans l'arrière-cour du cinéma revendicatif, en mâchouillant sa rancoeur et son aigreur envers une ingrate Commission de Contrôle du Cinéma qui est bien loin de s'effaroucher de ses tristes et pitoyables crachouillis d'adolescent "retardé" et rancunier.
• JUNON ET LE PAON (1929)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Curiosité et rareté en rien inoubliables dont il serait malséant de faire l'impasse.
• AU NOM DU FÜHRER (1977)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre essentielle, dénonciatrice d'un drame historique, souvent occulté, qui démontre radicalement l'odieuse réalité du régime hitlérien.
• LES MUTANTS DE L'ESPACE (2001)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un délire salutaire, hautement déjanté, d'un bienvenu amoralisme !
• LES PROIES DU VAMPIRE (1957)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Superbe noir et blanc qui rappelle avec bonheur l'esthétisme gothique d'un Bava au meilleur de son inspiration "Le masque du démon" ) ainsi qu'une étonnante prestation aristocratique de German Robles en vampire sanguinaire. Restent la plupart des trucages qui laissent souvent à désirer, avec ou sans crocs acérés.
• DARKNESS (2002)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Hormis une fin plutôt bancale, l'ensemble est de bonne facture !
• SCHIZOPHRENIA (1983)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Entre "Funny Games" et "Henry : portrait d'un sérial-killer", une oeuvre balayée de folie et de mort, dont l'incroyable réalisation colle dramatiquement aux meurtriers et obsessionnels phantasmes du personnage principal interprété par un acteur étonnant.
• 8 FEMMES (2001)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Délicieusement suave et finement hargneux !
• LES NEUF REINES (2000)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une histoire bluffante au possible, une intrigue complexe et touffue et un final percutant font de ce film argentin une oeuvre remarquable dans son ensemble, étonnante dans ses particularités et ses richesses scénaristiques.
• MARIS AVEUGLES (1919)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Une extraordinaire interprétation d'Erich von Stroheim en lascif séducteur galonné, aux mimiques suggestives, salaces et concupiscents, maîtrisant parfaitement son personnage et sa réalisation, pour nous offrir un vrai bonheur cinématographique, d'une prodigieuse et constante acuité psychologique, une rare pépite du Septième Art projetée à la Cinémathèque de Paris lors d'une fastueuse rétrospective d'une vingtaine de films environ de l'acteur / réalisateur, fin février / début mars 2019.
• THREE TIMES (2005)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On évoque la triple réincarnation d'un amour infini. Certes. Mais pourquoi un ennui aussi profond pour une oeuvre somme toute hautement surévaluée ?
• SPY GAME JEUX D'ESPIONS (2001)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Honnête et distrayant.
• LA MÉMOIRE DANS LA PEAU (2002)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Sur les complexes rouages des services secrets, une oeuvre de bonne facture.
• LE GRAND SAUT (1927)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un sympathique et véloce pot-pourri de gags et de situations burlesques, qui rappelle un peu les facéties d'un René Clair mâtinées de la fantaisie d'un Ernst Lubitsch, avec en contrepoint quelques envolées surréalistes qui n'empêchent pas l'oeuvre de souffrir de quelques longueurs, surtout durant la fastidieuse descente en ski qui n'en finit pas de se dérouler. Une attention particulière à l'excellente interprétation de Paul Graetz en lunaire et stylé serviteur aux moult inventions dignes d'un recueil de pataphysique sportive et au fameux coup de dents de Leni Riefenstahl auquel aucun cordage ne résiste vraiment longtemps.
• SHARK ATTACK 3 (2002)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Regarder le film jusqu'au bout, équivaut à se noyer.
• LE MONSTRE AUX FILLES (1961)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une curiosité !
• K-19 : LE PIÈGE DES PROFONDEURS (2002)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Pas de quoi s'immerger dans un intense et profond plaisir cinématographique, ni de s'abîmer dans l'ivresse des profondeurs, une oeuvre moyenne et visible.
• FEUX ROUGES (2003)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Adaptation fort personnelle de l'univers de Georges Simenon qui prend des allures de thriller fantastique, symptomatique de la fragilité et peut-être de l'ambivalence du couple, d'où se dégage la solide présence d'un Jean-Pierre Darroussin éblouissant.
• LA VOCATION D'ANDRE CAREL (1925)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre à voir absolument, moins pour la qualité de ses interprètes ou la sympathie de son scénario, mais plus pour l'exceptionnel coté documentaire du métier de batelier et de la beauté surprenante des paysages enchanteurs du lac Léman.
• LES FANTÔMES DE LOUBA (2000)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Malgré une excellente interprétation des quatre principales actrices (Louba / Jeannie, adolescentes, puis adultes) et une intéressante approche cinématographique des mécanismes traumatiques et des pulsions de vengeance, l'ensemble reste tout de même cousu de fil blanc par son scénario plutôt improbable, manquant cruellement de véracité et de plausibilité, au point de ne presque jamais y adhérer.
• LE CHAMPION DE L'AFFICHE (1924)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Pas de quoi grimper aux rideaux.
• PODIUM (2003)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Sans réelle envergure !

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)