Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 43 films notés

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  • SEPT JOURS DE MALHEUR (1959)
    Note : 11/20
    On rit fort peu et bien légèrement.
  • INTIMES CONFESSIONS (1992)
    Note : 10/20
    Un début prometteur, mais le dernier quart d'heure sombre dans le plus profond ridicule. Passable.
  • L'ATLANTIDE (1992)
    Note : 9/20
    Une fort médiocre adaptation.
  • LE MORT DANS LE FILET (1959)
    Note : 7/20
    La pesanteur d'un certain cinéma teuton d'après-guerre, avec ses insipides déshabillés plus ou moins vaporeux, d'un semblant d'érotisme introuvable.
  • ANGOISSE À DUBLIN (1986)
    Note : 10/20
    Simplement passable !
  • LE BATEAU (1981)
    Note : 14/20
    Une superproduction qui connut à sa sortie un incontestable succès international. Intéressant de par son rythme soutenu et une habile mise en scène.
  • CRUSH (1991)
    Note : 15/20
    Après un début prometteur, un dénouement outrancier et décevant.
  • TOYS (1992)
    Note : 11/20
    Une lourde parabole manichéiste reposant sur une seule idée.
    Un bon conseil : "Allez tout simplement jouer ailleurs !".
  • LE CYCLISTE (1988)
    Note : 15/20
    Une oeuvre importante qui a largement mérité une sortie en salles dans l'hexagone, même tardive. A (re)découvrir de toute urgence.
  • VAGABOND (1991)
    Une oeuvre certes profondément sincère, mais dont la lenteur, le sujet et le traitement cinématographique sont discutables.
  • UNE JOURNÉE CHEZ MA MÈRE (1992)
    Note : 4/20
    Gags éculés et répétitifs, cabotinage sans limite. Un désastre total et vertigineux.
  • CARMEN OF THE KLONDIKE (1918)
    Peu de chances pour le cinéphile de (re-)voir ce film très rare.
  • FLAMES OF PASSION (1989)
    Note : 7/20
    Une version gay du celebre "Breve Rencontre" de David Lean. Anecdotique et plutot maladroit.
  • A-GE-MAN (1990)
    Note : 12/20
    On suit avec humour, décontraction et curiosité, les errements et les avatars sentimentaux de la belle égérie, non sans être handicapé par notre ignorance des complexes us et coutumes nippones, sociales et friponnes.
  • LE VENT SOMBRE (1991)
    Note : 13/20
    D'évidentes bonnes intentions, mais l'intrigue piétine et la réalisation s'embourbe.
  • UN FAUX MOUVEMENT (1992)
    Note : 16/20
    Un thriller de très bon niveau au scénario original et convaincant !
  • LES EXPERTS (1992)
    Note : 13/20
    Un rythme qui ne faiblit pas, quelques gadgets plutôt impressionnants, mais rien de franchement novateur non plus. Sans grand intérêt finalement, mais prenant.
  • LOUIS ENFANT ROI (1992)
    Note : 9/20
    Reconstitution soignée, mais excessivement laborieuse. Au bout de quelques temps, c'est l'ennui qui devient désormais royal.
  • UNE ETRANGÈRE PARMI NOUS (1991)
    Note : 14/20
    Bien plus qu'un simple film policier dans un milieu particulier, une sensible étude psychologique emprunte du plus pur style de Sidney Lumet.
  • SANTA SANGRE (1989)
    Note : 18/20
    Impossible de résumer brièvement l'intrigue de ce poème cinématographique à connotation divine et satanique à la fois. Une parade incongrue, magique, sublime.
  • HOLLYWOOD MAVERICKS (1988)
    Note : 15/20
    De pertinentes illustrations pour un documentaire très instructif.
  • MENDIANTS ET ORGUEILLEUX (1991)
    Note : 12/20
    Un premier film tourné par l'ex-assistante de Youssef Chahine. Un ton heureux,.
  • SOCIETY (1989)
    Note : 7/20
    Un film-culte nous dit-on, dans les sphères branchées. De quoi rester perplexe, car rien ici ne s'éloigne de l'habituelle médiocrité de ce genre de sous-produits.
  • PROMENADE AVEC L'AMOUR ET LA MORT (1969)
    Note : 15/20
    Très belle œuvre humaniste, rarement distribuée dans l'hexagone qui reste un excellent moment de cinéma, à découvrir d'urgence.
  • L'OEIL QUI MENT (1991)
    Raul Ruiz ou le plaisir de l'intelligence, une fantaisie tenue en bride et dirigée de main de maître. Admirable, comme bien des réalisations du Maître.
  • LA BATAILLE DE SAN PIETRO (1944)
    Note : 16/20
    Excellent et signifiant documentaire d'une maîtrise et d'un réalisme étonnants proposé par un des grands réalisateurs de la scène cinématographique mondiale.
  • LA CRISE (1992)
    Note : 9/20
    Joli point de départ pour une comédie inégale et vite oubliée.
  • QUE LA LUMIÈRE SOIT (1946)
    Note : 16/20
    Encore une importante contribution cinématographique du cinéaste John Huston, à travers une anonyme commande de l'Army Pictorial Service of U.S. Signal Corps, qui fut rapidement censurée et interdite de diffusion durant trente-cinq longues années.
  • LES REPAS (1966)
    Les débuts de la Nouvelle-Vague allemande. Remarquable.
  • QUI A TUÉ VICKY LYNN ? (1941)
    Note : 15/20
    Jolie réussite dans le domaine du film noir américain, une prestation remarquable du toujours inquiétant Laird Cregar pour une oeuvre souvent ignorée ou méconnue.
  • UN CHANT D'AMOUR (1950)
    Note : 16/20
    Chaque image est forte d'une poésie et d'une sensualité rarement égalées depuis.
  • L'INCANTATION (1968)
    Note : 15/20
    Une tragédie lyrique, illustrée par les très beaux textes de Washa Pschawela dits en voix off, qui donnent à ce film, une étrange poésie, entre philosophie et destin.
  • SWOON (1992)
    Note : 16/20
    D'après une histoire vraie ayant déjà inspiré le scénario du film d'Alfred Hitchcock, "La corde", cette oeuvre tente de proposer une lecture plus authentique de l'affaire, par un soin extrême porté à la mise en scène et la qualité de l'interprétation.
  • LE PAGE DU ROI GUSTAVE ADOLPHE (1960)
    Un film sans grand intérêt, ne serait-ce la prestation de l'actrice Liselotte Pulver, vivace et coquine, comme à son habitude. Sinon, rien à retenir pour le spectateur, aucun moment fort, même pas les scènes de batailles.
  • THE ANGELIC CONVERSATION (1985)
    Note : 15/20
    Un film austère donc, mais dont la rigueur esthétique est incontestable. A diffuser d'urgence dans les salles de cinéma françaises.
  • LES JOURS COMPTÉS (1961)
    Note : 15/20
    Seconde mise en scène d'Elio Petri qui scandaleusement ne fut distribuée dans l'hexagone que 50 années après sa réalisation, dépeignant avec humour et constance, une forme subtile d'aliénation au travail face aux étouffantes nécessités économiques de la survie qui laissent un arrière-goût d'amertume et de fatalisme que chacun de nous tente de contourner, détourner, atténuer d'une souvent dérisoire façon.
  • PETER'S FRIENDS (1992)
    Note : 14/20
    Sur un sujet proche des "Copains d'abord", un film parfois drôle mais trop volontairement dans l'air du temps.
  • LE PASSAGER (1988)
    Note : 11/20
    Sur le principe toujours bienvenu du film dans le film, une oeuvre fort dérangeante sur le lourd passé de l'Allemagne et qui pose certaines questions terribles et cruciales.
  • SEBASTIANE (1976)
    Note : 15/20
    Premier long métrage de Derek Jarman, tourne entièrement en latin ( avec des références dans les dialogues à Cecil B. de Mille et Fédérico Fellini !), Sébastiane est un festival de corps masculins musclés et bronzés. Pour les amateurs, un régal !
  • POKER (1987)
    Note : 13/20
    Une oeuvre nonchalante, désabusée comme certains personnages qui la traversent, méritant notre entière attention.
  • DEMENAGEMENT (1992)
    Note : 16/20
    Un film bouleversant, porté par une éblouissante mise en scène.
  • L'HOMME AU CHAPEAU DE SOIE (1983)
    Une rareté importante qui laisse un goût d'inachevé, obligés que nous sommes, de se contenter seulement d'extraits, aussi nombreux soient-ils.
  • LES TERRORISTES (1992)
    Note : 14/20
    Une satire efficace d'une certaine forme de terrorisme.
  • L'OEIL PUBLIC (1992)
    Note : 13/20
    Excellente composition de Joe Pesci, dans une oeuvre fort honnete.
  • DES OMBRES DANS UNE BATAILLE (1992)
    Note : 14/20
    Remarquable sujet traité avec délicatesse et discrétion par le talentueux cinéaste.
  • ÉVITONS LE SCANDALE (1941)
    Note : 11/20
    Cela manque vraiment de rythme. Dommage !
  • THE SNAPPER (1992)
    Note : 16/20
    Retour à un tout petit budget de production pour Stephen Frears au mieux de sa forme. Une comédie hilarante et une galerie de personnages véritablement irrésistibles.
  • LE ROI LEAR (1971)
    Excellente transposition de l'univers shakespearien, réalisée avec une force étonnante et une brillante intelligence, des qualités essentielles qui sont l'apanage de la plupart des grandes oeuvres du metteur en scène.
  • MENACE II SOCIETY (1992)
    Note : 13/20
    Le film-choc du Festival de Cannes 1993, tourné avec un petit budget par des jumeaux âgés de vingt ans à peine. Un drame urbain d'une extrême violence qui ebranlera plus d'un spectateur. Très prometteur.
  • LE ROI LEAR (1971)
    Note : 14/20
    Oeuvre à l'étonnante beauté lyrique que l'esprit slave a su éclairer d'une puissante densité dramatique, par un metteur en scène qui n'a plus rien à prouver.