Critique(s)/Commentaire(s) Publiques de
JUNON
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LA VIE EST UN LONG FLEUVE TRANQUILLE (1987)
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Film nul, minable, ringard et totalement surfait.
(19-02-90)
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LA GUERRE DES ÉTOILES (1977)
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Pourquoi chercher des plans, des effets, des mises en scène, des dialogues, etc. dans certains films? Amenez-y des enfants et soyez-vous même un enfant. Deux heures, seulement du rêve, seulement de l'évasion seulement de la différence par rapport à l'habituel. Enfant, j'ai vu "Les dents du diable" avec Anthony Quinn. Dieu que c'était beau ... Adulte, j'ai revu ce film, Dieu que c'était mièvre .... et pourtant, au final, c'est mon opinion d'enfant qui l'emporte : les moments de rêve sont rares; il faut savoir les protéger. les Spielberg, Lucas et autres sont à applaudir : ils créent (pour partie) les rêves de nos enfants. Mon neveu aime et "les dents du diable" et "Star Wars". Il a raison.
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IL FAUT MARIER PAPA (1962)
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Nota : dans le film de Minnelli : "Il faut marier papa" (1963) Glenn Ford regarde à la télévision, une scène de "Mogambo" de John Ford (1953)..... Le petit garçon de ce film est le futur héros de la série télévisée "Happy days" où il apparaît dans le rôle de Ritchie. Il est également le réalisateur du film "Cocoon"
(09-04-89)
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LA NUIT DU CHASSEUR (1955)
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Ce film qui aurait pu être un chef-d'œuvre, pêche par le choix de l'acteur principal. Robert Mitchum est en effet pathétique et c'est bien là le drame. Le rôle nécessitait : force, puissance, violence et avidité. On ne peut qu'être déçu après avoir lu le livre. C'est dommage.
(09-04-1989)
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JEUNE ET INNOCENT (1937)
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S'il est vrai que le film est gentillet, je ne suis pas d'accord avec la définition du "jeune homme sympathique et rêveur": il est plutôt agaçant et mou ; ni avec le "happy end surprenant" qu'on attend dès le début et qui ne surprend guère. Seul point où nous sommes d'accord : la jeune femme de ce film est "adorable" et surtout, très convaincante.
(1-05-89)
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LES TRENTE-NEUF MARCHES (1935)
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Pour vraiment apprécier un film, il faut se replacer à l'époque de sa sortie. La scène où l'héroïne enlève ses bas en se laissant obligatoirement frôler par la main du héros - puisqu'ils sont "menottés"- fut considérée à l'époque comme à l'extrême limite du "montrable". Cette scène, pleine d'humour, faillit d'ailleurs disparaître.
(1-05-89).