Aucun résultat pour cette recherche
LA VIE EST UN LONG FLEUVE TRANQUILLE-1987-
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 03/02/1988
Distributeur : MK2 Diffusion
Visa d'exp. : 66108
Résumé
Bapaume, une petite ville du nord de l'Hexagone, la France profonde et deux familles, les Groseille et les Quesnoy que tout sépare. L'une, prolétaire, débrouillarde et assistée lisant "Détective" et fredonnant les complaintes sirupeuses de Linda de Suza et de l'autre, B.C.B.G. chrétienne jusqu'au bout des ongles, régates le 15 août, prêchi-prêcha, vouvouement et certitudes "maison". Malignité du destin qui va se faire rencontrer et se côtoyer ces deux incroyables antinomies d'existence.
Critiques et Commentaires
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Humour grinçant, décapant, cinglant, tendresse aussi, sur un microcosme social criant de vérité et de bêtise en pagaille, qui se regarde avec un plaisir évident.
Critiques - Commentaires Public
1634
signature non-référencée
Par la déclaration d'amour que je vous ai faite précédemment, je ne voudrais pas que vous me preniez pour une nymphomane ... C'était plutôt un cri d'alarme et pour vous dire qu'il y avait longtemps, que je n'avais pas vu un aussi bon film. Cela fait des années que je n'avais pas mis les pieds dans une salle de cinéma, car je trouve qu'il manque quelque chose dans les films actuels que je ne peux pas qualifier ..... Désormais, quand vous sortirez votre prochain film, je vous le promets j'irai le voir; je me précipiterais même. Vraiment, j'aime beaucoup ce que vous faites ....... A QUAND VOTRE PROCHAIN FILM ? ERIKA.
1632
"La vie est un long fleuve tranquille" est une satire trop bien menée pour être entendue et appréciée à sa juste valeur par un quelconque public... Cette œuvre est typique d'une époque et d'une société. Etant moi-même issue d'un milieu catholique du Nord, J'AFFIRME que de caricature, il n'en est rien.. Je ne pense pas qu'un public n'ayant pas vécu cette société de l'intérieur puisse comprendre cet humour froid et décapant. Isolées de leur contexte et reproduites à l'écran les scènes de la vie quotidienne auxquelles nous n'apportons pas plus d'intérêt que celui accordé à l'habitude et au banal prennent une ampleur et un degré d'humour sarcastique des plus savoureux. Un film donc qui ne peut enthousiasmer qu'une élite du public. On adore ou on déteste.. Mais on ne demeure pas indifférent....Le vrai but de tout film est dès lors atteint.
1631
inconnu(e)
Pourquoi le réalisateur(?) de ce film n'est-il pas resté cantonné dans la pub, nous épargnant ainsi la bêtise, la complaisance d'une soi-disante critique sociale ? "Affreux, sales et méchants" était autrement génial .
24992
signature non-référencée
Cher Etienne Chatiliez, je n'ai que trois mots à vous dire : je vous aime. ERIKA.
1630
Ca commence comme du théâtre de Bouvard-sketches à gogo pour passer rapidement la vitesse supérieure, celle d'une satire sociale au vitriol, impeccablement et très intelligemment construite et jouée sabre au clair par une compagnie déchaînée. Si le petit Momo-Maurice exerce une bien mauvaise influence sur sa nouvelle famille, cette première œuvre de la pub-star Chatiliez est une cure tonifiante QUI, si j'ose dire, DECOIFFE ...
25191
signature non-référencée
Nul, nul, nul et nul. Après tout le tapage fait sur ce film, grosse déception. PATRICIA A.
25190
Hahhh! un bon film, enfin, ça fait du bien. mais si, arrêtez un peu, les Français aussi savent faire des bons films, la preuve. Ce sont justement ceux qui ne se voient pas comme des réalisateurs "français" ceux qui sont des réalisateurs tout court. Etienne Chatiliez est de ceux-là. Certains auraient pu faire de cette histoire une merde franchouillarde à la collaro-bidasses-mon curé-chez-les-nudistes, d'autres un cri déchirant qui pue le fric pour soi-disant raconter la vie des pauvres qu'ils ne connaissent pas, et bien d'autres saloperies. Chatillez nous offre une œuvre superbe qui restera dans les annales. C'est tout.
25189
Film nul, minable, ringard et totalement surfait.
(19-02-90)
1628
inconnu(e)
Lettre à Etienne Chatiliez Toi ? Grand blond ? Tes pubs ? Rêve américain ? Ton film ? Mon miroir Esteban, je sais, tu ne liras jamais ma lettre; salutas, grand amour philosophique, Berri, n'a qu'a bien se tenir, écris-moi...