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SI J'AVAIS UN MILLION-1932-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : If I had a million
Durée : 1h28
Date de sortie en France : 17/03/1933
Themes
Voitures
- cinéma américain -
Prisons
- cinéma américain -
Prostitution
- cinéma américain -
3e âge
- cinéma américain -
Distributeur : Paramount
Visa d'exp. : 11617
Résumé
Selon ses médecins, le riche John Glidden n'a plus beaucoup de temps à vivre, alimentant ainsi la cupidité de ses moult héritiers, attendant avidement son imminent décès supposé. Aussi décide-t-il de verser un million de dollars à huit personnes choisies par hasard dans l'annuaire téléphonique...
La première, Henry Peabody, marié à une épouse lourdement acariâtre, travaille dans un magasin de porcelaine et voit régulièrement sa fiche de paie diminuée du montant correspondant à la casse occasionnée par sa fréquente et fort gênante maladresse. Le chèque du brave Glidden lui permettra de se venger avec contentement par des bris en chaîne sur son (ancien et désormais lointain) lieu de travail...
La seconde, Bonheur et contentement pour Violet Smith, une prostituée, qui pourra avec cette inattendue somme d'argent enfin quitter le turbin et s'offrir comme premier plaisir, une nuit dans un hôtel de luxe, dans un lit à une place !
La troisième, un certain Eddie Jackson, faussaire et truand à la petite semaine, sans réelle envergure ni personnalité, spécialisé dans la régulière falsification de chèques volés, n'aura hélas pas la possibilité d'encaisser celui d'un montant d'un million de dollars que John Glidden lui aura remis, personne ne croira à l'authenticité du fameux bout de papier qui finira malheureusement en cendres...
La quatrième, Emily La Rue, ancienne artiste de music-hall à la retraite, mariée au volubile et démonstratif Rollo, trouvera dans l'inattendu chèque, un moyen original de se venger désormais des chauffards de tous poils...
La cinquième, John Wallace, condamné à mort et en passe d'être exécuté incessamment, n'aura pas les moyens de différer la douloureuse sentence, malgré le montant mirobolant du chèque qui sera pour sa pauvre épouse...
La sixième, Un certain Phinéas V. Lambert, un vieil employé considéré comme "modèle", de nature effacé et soumis, décide, à sa manière, d'un onomatopée flatulente, de dire ainsi tout son mépris à son odieux patron...
La septième, Steve Gallagher, un Marine frondeur, ne croira guère à la véracité du chèque qui lui est parvenu un 1er avril, et l'échangera contre un billet de dix dollars afin de pouvoir faire la fête avec ses deux copains et une demoiselle dont le paternel bénéficiera de cette manne inespérée...
La huitième, Mary Walker, aimable et gentille pensionnaire d'une stricte et austère maison de retraite pour vieilles dames esseulées, saura redonner de la vie et de la joie à ses compagnes d'infortune et mettre une folle ambiance de détente et de bonheur dans l'austère et fort rigoriste établissement.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Même si l'ensemble des différents sketches est de qualités plutôt inégales, on ne peut qu'applaudir à cet étonnant film à tiroirs fort bienvenu et de facture classique.
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Bibliographie