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UNE TRAGÉDIE AMÉRICAINE-1931-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : An american tragedy
Durée : 1h35
Date de sortie en France : 06/11/1931
Genre : DRAME
Themes
Trains et gares
- cinéma américain -
Hôtels
- cinéma américain -
Milieu judiciaire et juridique
- cinéma américain -
Photos et photographes
- cinéma américain -
Réalisation : Josef Von STERNBERG
Inspiration : D'après le roman éponyme de Theodor DREISER
Prise de vues : Lee GARMES
Distributeur : Paramount
Résumé
Lors d'une virée nocturne, en voiture, avec une bande de copains, Clyde Griffiths passager dans le véhicule, est le témoin d'un malheureux accident, le conducteur percutant mortellement une enfant. Paniqué à l'idée d'être inculpé pour non assistance à personne en danger, il décide de prendre la fuite du domicile parental, loin de ses géniteurs, un brave couple d'évangélistes. Après plusieurs emplois alimentaires, dans maintes régions du pays, il est reconnu par un richissime et lointain oncle, alors qu'il exerçait l'emploi de garçon d'hôtel à Chicago et qui va lui proposer un convenable poste de contremaître dans une de ses usines fabriquant des chemises. C'est dans la section des estampillages qu'il remarque une demoiselle récemment engagée, Roberta Alden, qui deviendra rapidement sa maîtresse, malgré les strictes consignes qui interdisent aux cadres toutes relations avec les employés subalternes. Parallèlement, il se sent fortement attiré par une certaine Sondra Finchley, une fille de la haute bourgeoisie locale, rencontrée lors d'un bal, qui semble fort convenir à ses persistants désirs d'ascension et de reconnaissance sociales. Mais lorsque Roberta lui annonce qu'elle est enceinte, tous ses rêves de réussite semblent s'effondrer lamentablement. C'est là que lui vient en tête la funeste idée de faire disparaître la jeune femme (qui ne sait pas nager) lors d'une promenade en bateau sur un lac de montagne isolé.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Une amère déception que nous propose le grand Sternberg, avec des acteurs fades et sans conviction, un récit poussif et sans relief et une prise de vue catatonique au possible, avec une longue séquence de tribunal d'une confondante banalité.
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Bibliographie