Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 44 films notés

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  • LA ROUTE DE SALINA (1969)
    Note : 11/20
    Un scénario somme toute intéressant, hélas galvaudé par des tonnes d'invraisemblances et de lourdeurs, aux oripeaux vaguement post-soixante-huitards.
  • MANON (1948)
    Note : 16/20
    Un étonnant Serge Reggiani, suivi de près par un Michel Auclair impeccable, dans une réalisation parfaite d'Henri-Georges Clouzot, décidément irréprochable !
  • DRAGON L'HISTOIRE DE BRUCE LEE (1992)
    Note : 8/20
    Un "biopic" stupidement édifiant qui n'échappe pas au ridicule !
  • LE ROSIER DE MADAME HUSSON (1950)
    C'est fort bien interprété par l'ensemble des comédiens, mais la véritable vedette reste Guy de Maupassant, avec sa verve et son humour si subtils.
  • LES ALLUMEES (1991)
    Note : 9/20
    Cadrages incongrus, usage abusif de filtres jaunâtres, maquillage ridicule et une pelletée de clichés parsèment cette œuvre soviétique d'une consistante médiocrité.
  • GORILLA BATHES AT NOON (1992)
    Note : 10/20
    La verve provocatrice et poétique de l'auteur du mémorable "Sweet Movie" s'est bien affadie. Quelques notes d'humour discutables dans un ensemble confus, sans ligne directrice et transpirant l'amateurisme. Pas de réel intérêt !
  • MIDI MINUIT (1969)
    Note : 7/20
    Pas vraiment de quoi exhumer du fin fond des tiroirs poussiéreux du cinéma bis des années 1960/1970, ce pesant et fastidieux ectoplasme se voulant inspiré, exsudant la fatuité à connotation fantastique, qui fut (heureusement) la seule réalisation fictionnelle d'un metteur en scène originaire de la télévision, pourvoyeur de quelques émissions de variétés lourdement datées, genre "Dim Dam Dam" et autres niaiseries.
  • ÉLÉGIE (1982)
    Note : 11/20
    Nouveau montage d'un film tourné dix ans auparavant. Une modeste production faisant preuve d'un remarquable souci esthétique.
  • MR BLUESMAN (1992)
    Note : 12/20
    Une comédie policière fort mouvementée tournée en Allemagne : les décors sont insolites et la jeune Deborah Falconer surprenante.
  • LA ROSE ECORCHEE (1969)
    Note : 10/20
    On songe bien sûr inévitablement à cet incontournable et inclassable chef-d'oeuvre que sont "Les yeux sans visage" au vu de cette douteuse et navrante proximité scénaristique. C'est d'ailleurs bien la seule comparaison visible et possible. Car là où Georges Franju nous entraînait dans un fascinant malstrom d'horreur, de poésie et de folie, Claude Mulot bégaie et piétine lamentablement dans une insipide et lourde réalisation, parsemée d'un peu d'érotisme bas de gamme et de quelques symboliques reliquats d'un fantastique mal digéré, pour finalement s'enliser dans l'incongru et le saugrenu comme une piteuse et nauséeuse mouche à merde sur son étron.
  • L'ENFANT DU TUNNEL (1989)
    Note : 13/20
    Une sympathique evocation de la situation politique d'alors a travers le regard d'une emouvante petite fille.
  • MAD DOG AND GLORY (1992)
    Note : 10/20
    Une comédie (?) sinistrement languissante.
  • BODYGUARD (1992)
    Note : 10/20
    D'épouvantables longueurs qui ralentissent l'action, un scénario sans aucune surprise qui alimente des flots d'ennui tenace, pour un ensemble qui transpire lourdement le traditionnel "téléfilm" de série, sans plus.
  • LA SARABANDE DES PANTINS (2) (1952)
    Note : 15/20
    Bienvenu et plaisant !
  • GRANDEUR ET DESCENDANCE (1992)
    Note : 7/20
    Un scénario sans consistance, des gags douteux ou éprouvés. Rien de vraiment drôle dans cette farce poussive.
  • TOUT PEUT ARRIVER (1969)
    Note : 16/20
    A l'époque de sa sortie, on avait beaucoup aimé (malgré quelques désastreux points de vue de certains pontifiants critiques du moment). On était jeune, peut-être péremptoire, mais on attend donc (toujours) vainement (2012) de revoir ce film pour confirmer et développer notre appréciation du moment.
  • LE MILIEU DU MONDE (1974)
    Note : 14/20
    Chronique d'un amour voué à l'échec. Un film rare de l'incontournable Tanner.
  • LA TAVERNE DU CHEVAL ROUGE (1945)
    Note : 12/20
    Western tourné sous l'air d'une gentille et non ennuyeuse comédie sentimentale.
  • LES DÉSARROIS DE L'ELEVE TÖRLESS (1966)
    Note : 16/20
    Une oeuvre excellente en tous points qui décrypte avec efficacité et lucidité les inévitables rapports de force entre individus et la cruciale notion de responsabilité.
  • LE RETOUR D'AFRIQUE (1973)
    Note : 15/20
    Un des thèmes favoris de Tanner : l'échec de toute tentative d'évasion.
  • UNE JOURNÉE TRANQUILLE À LA FIN DE LA GUERRE (1970)
    Note : 14/20
    Intéressant court métrage et première réalisation du cinéaste (film de fin d'études).
  • LE TROUPEAU (1979)
    Une oeuvre exceptionnelle !
  • UNIFORMES ET GRANDES MANOEUVRES (1950)
    Note : 9/20
    Du Fernandel bas de gamme !
  • MARIA CANDELARIA (1943)
    Note : 17/20
    Un mélodrame mexicain splendidement dramatique !
  • LE SACRIFICE (1979)
    Calquée sur la légendaire histoire d'Abraham, cette oeuvre forte et significative met en évidence certains archaïsmes religieux mal compris, mal assimilés.
  • UNION CITY (1980)
    Note : 10/20
    Humour noir et grotesque qui languissent interminablement !
  • BUGAMBILLA (1944)
    Note : 15/20
    Un superbe mélodrame, illuminé par la présence de Dolores del Rio !
  • QIU JU UNE FEMME CHINOISE (1992)
    Note : 15/20
    Une oeuvre de qualité, pour une actrice des plus charismatiques !
  • LE VOISIN (1992)
    Note : 9/20
    Sans grand intérêt !
  • MACLOVIA (1948)
    Note : 14/20
    Le metteur en scène Emilio Fernandez et son inséparable complice Mauricio Magdaleno officiant comme scénariste nous proposent à nouveau un intéressant mélodrame, comme seul le cinéma mexicain savait en tourner.
  • LE MIROIR AUX SECRETS (1957)
    Note : 10/20
    Guère intéressant, hormis peut-être le dernier quart d'heure.
  • PECHES DE JEUNESSE (1941)
    Note : 12/20
    On a connu Maurice Tourneur plus inspiré.
  • QUARTIER INTERDIT (1950)
    Note : 15/20
    Nouvel exemplaire signifiant de la richesse du cinéma mélodramatique mexicain.
  • CENTRAL STATION (1988)
    Note : 8/20
    C'est cousu de fil blanc, souvent prétentieux et quasiment inintéressant. Autant descendre en marche.
  • KAIRAT (1991)
    Note : 15/20
    Narration en partie elliptique que d'aucuns jugeront déroutante. En tout cas, la mise en scène s'avère vraiment surprenante et poétique et le réalisateur a su conférer à son film un rythme envoûtant, souvent fort singulier.
  • RIO ESCONDIDO (1947)
    Note : 14/20
    Emilio Fernandez et Maria Felix, un ticket gagnant !
  • C'EST ARRIVÉ À ADEN (1956)
    Rien d'inoubliable !
  • TRAITÉ DE LA RÉUSSITE (1991)
    Note : 11/20
    Un court métrage bien bavard et qui accumule références et citations. Devrait décevoir même les inconditionnels du cinéaste.
  • LA VILLAGEOISE (1948)
    Note : 17/20
    Une émouvante et fort intense production mexicaine, entre limpide romantisme exacerbé et puissant mélodrame sentimental qui confirme l'excellence d'un cinéaste incontournable qui donna ces lettres de noblesse à la prolifique cinématographie de son pays, malheureusement peu diffusée sur les écrans de l'hexagone.
  • BATAILLE DANS L'ESPACE (1960)
    Note : 7/20
    Pénible réalisation bancale, trucages de sérail, scénario fort débile, le réalisateur nippon Inoshiro Honda nous déçoit durement cette fois-ci.
  • ANTIGONE (1992)
    Note : 14/20
    Straub et Huillet poursuivent leur travail sur Sophocle. Pour les amateurs.
  • LE FILET (1953)
    Note : 17/20
    Un chef-d'oeuvre du mélodrame, transfiguré par la photo d'Alex Phillips !
  • UN ÉTÉ FOU FOU FOU (1986)
    Des gags en excès, hélas pas toujours réussis.
  • MAGDA (1938)
    Note : 11/20
    Une mise en scène honnête dirigée par un réalisateur important, mais le film vaut uniquement pour la présence de la sublime Zarah Leander.
  • ATLANTIS (1991)
    Note : 10/20
    Cela voudrait du grand spectacle, mais finalement n'est guère plus intéressant que des émissions du Commandant Cousteau ou que quelques épisodes de "Thalassa".
  • MONSIEUR VINCENT (1947)
    Par un touche-à-tout du cinéma français, une évocation quasi hagiographique du fameux personnage emblématique de la religion chrétienne qui reste surtout dans les mémoires en raison de la remarquable interprétation de Pierre Fresnay dans le rôle titre. Mérite donc une petite génuflexion, à défaut d'une grande oraison !
  • SLOW DANCING (1978)
    Note : 14/20
    Sympathique petite oeuvre qui évite avec brio les écueils du médiocre mélodrame.
  • LA GRANDE PÊCHE (1960)
    Note : 11/20
    Le film vaut surtout pour son côté documentaire concernant la pêche aux harengs et ne laisse donc pas de souvenirs impérissables.
  • LES DÉMONS DE L'AUBE (1945)
    Note : 12/20
    Une oeuvre un peu oubliée dans la filmographie d'Yves Allégret qui vaut surtout le détour pour son coté largement documentaire.
  • LES BARONS NOIRS (1992)
    Note : 14/20
    Une comédie très drôle qui, dans ses meilleurs moments, rappelle, toutes proportions gardées, le Forman du décapant "Au feu, les pompiers". A découvrir.