• LA CONFERENCE DE WANNSEE (1984)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  A l'origine un téléfilm, cette oeuvre, un peu théâtralisée, a le grand mérite de dénoncer l'intolérable.
• MARIA CHAPDELAINE (1984)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On préfère de loin la version de Julien Duvivier.
• L'ÉCRAN MAGIQUE (1982)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Profond hymne d'amour pour le septieme Art et consequente denonciation des "Chemises Noires".
• CHARULATA (1964)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une des oeuvres les plus marquantes du réalisateur, un magnifique et bouleversant portrait de femme fort justement primé au festival de Berlin.
• VIVRE À TOUT PRIX (1967)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Pas vraiment transcendant ni convaincant.
• HEIMAT (1984)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Une incroyable saga historico-familiale de plus de quinze heures de films, sur le destin de quelques personnages hauts en couleur d'un petit village allemand, entre les années 1919 et 1982 qui fut fort justement couronnée par le Prix de la Critique Internationale au festival de Venise 1984. Il est à noter que cette oeuvre fait partie d'un trilogie. Un travail d'orfèvre, par un des plus rigoureux réalisateurs allemands.
• UNE VIE INDEPENDANTE (1991)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  En émotion et densité, légèrement inférieur au film précédent.
• LILITH (1964)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un des films les plus connus de Rossen qui reste bienvenu !
• LA FEMME DE L'EPICIER (1991)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Entre Keaton et Beckett, une oeuvre superbe, sombrement réjouissante.
• L'AVENTURE FANTASTIQUE (1954)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un western tourné sur le mode de la comédie et qui vaut surtout pour la présence du réjouissant couple Robert Taylor / Eleanor Parker.
• COEURS D'OCCASION (1980)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Platement réalisé, mal interprété, dialogues inconsistants, de seconde main.
• LA PUTAIN (1991)
  Critique CF

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  Note : 4/20

  On ne pourra guère s'empêcher de ricaner à la vision de cette infamie qui hésite constamment entre la parodie (involontaire ?) et le drame.
• ATOLL K (1950)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  On oubliera bien vite.
• DE JOUR COMME DE NUIT (1991)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un documentaire de haut niveau et singulièrement émouvant, à voir en salles.
• BABETTE S'EN VA-T-EN GUERRE (1959)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Pour l'inénarrable Francis Blanche dans son inoubliable rôle de "Papa Schultz".
• IP5 (1991)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Malgré d'innombrables maladresses, un film à sauver !
• LES ARPENTEURS (1972)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Entre un subtil humour fait de dérision, d'absurdité et d'attentions, une tendresse diffuse et constante et un marivaudage discrètement déjanté, une oeuvre étrangement poétique qui s'apprécie en toute délicate harmonie.
• LES CONFESSIONS DU CHEVALIER D'INDUSTRIE FELIX KRULL (1957)
  Critique CF

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  Adaptation du célèbre roman inachevé de Thomas Mann témoignant d'une étonnante ironie qui, ici, fait souvent étonnamment défaut. Pourtant, grâce à la présence d'Erika Mann au scénario, le film décolle cependant par moments, mais l'ensemble, soigné, manque réellement d'inspiration. Restent les performances de Liselotte Pulver et Horst Buchholz, tous les deux convaincants.
• POUR TOI J'AI TUÉ (1949)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Ce n'est pas le film noir de Robert Siodmak que l'on préfère, mais le détour en vous tout de même la peine, surtout pour la présence certaine de Burt Lancaster.
• OURAGAN SUR L'EAU PLATE (1985)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Sur un scénario qui aurait pu inspirer Charles Crichton ou Henry Cornelius, le cinéaste se contente de réaliser un produit plaisant, sans réelle personnalité.
• THE RAT (1925)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Excellent film muet, entre humour et melodrame.
• LE PÈRE DE LA MARIÉE (1991)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Remake du film de Vincente Minnelli, une agréable comédie assez bien ficelée.
• LA MORT DE MARIO RICCI (1982)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Surtout pour l'interprétation de Gian Mario Volonte, primé à Cannes.
• YOUNG SOUL REBELS (1990)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un film sympathique, malgré une intrigue policière inutile et une fin ridicule.
• DAISY CLOVER (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  On pense beaucoup à "Une étoile est née" et Natalie Wood rend l'ensemble fort estimable, cornaqué par un solide metteur en scène fort efficace.
• A BRIGHTER SUMMER DAY (1991)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Film bienvenu qui tranche avec le reste de la production asiatique nous parvenant.
• CHERE EMMA (1991)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Portrait de deux femmes dans un pays à la recherche de son identité, après le rejet de son passé communiste. Deux trajectoires émouvantes, grâce au regard chaleureux de Szabo et à l'interprétation de Johanna Ter Steege et Eniko Borcsok.
• PREMIER ABORD (1991)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une agréable variation sur le thème des rencontres amoureuses.
  Drôle et parfois touchant.
• LOS MONTES (1981)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Proche du documentaire, un court métrage bienvenu qui fait la part belle à la gent féminine.
• VERSAILLES RIVE GAUCHE (1991)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  De très bonnes idées de mise en scène fort bienvenues malgré quelques lourdeurs non préjudiciables dans la caricature sociale. Largement prometteur.
• LE TCHEKISTE (1992)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Fort dénonciateur, mais donnant hélas trop d'importance à l'horreur et à l'odieux.
• LES COMPAGNONS DE LA NOUBA (1933)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Laurel et Hardy et les femmes, les pauvres.
• PRAGUE (1991)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une oeuvre sans intérêt, mal interprétée et souvent ennuyeuse.
• LA REVANCHE D'UN HOMME NOMMÉ CHEVAL (1976)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On est loin de l'intérêt et de l'originalité de la première mouture.
• UNE LONGUE JOURNÉE QUI S'ACHÈVE (1992)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Après l'excellent "Distant voices, Still lives" le réalisateur Terence Davies poursuit l'évocation de ses souvenirs de jeunesse baignés d'une tenace nostalgie. Des saynètes se succèdent au rythme des musiques populaires de l'époque et trouvent leur unité grâce à une mise en scène personnelle et lumineuse.
• LE RETOUR DE FRANKENSTEIN (1969)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Jolie réussite, quelques scènes fortes, un Peter Cushing au mieux de sa forme.
• LA FEMME QUI REVAIT (1987)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Sur un sujet intéressant, un film qui n'échappe pas à certaines lourdeurs, comme d'ailleurs la plupart (hélas) des réalisations du metteur en scène.
• BEETHOVEN (1991)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  L'arrivée sur nos écrans d'une nouvelle star canine après Lassie, Rintintin et Benji. Le film se laisse voir sans déplaisir malgré un manque flagrant d'originalité.
• UN ÉTÉ POURRI (1984)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Délassant et sympathique.
• LES ANNEES CAMPAGNE (1991)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Chronique un peu fade et plutôt terne d'une enfance villageoise, ce premier film manque malheureusement de réelle personnalité. Rien de bien palpitant.
• LE PONT (1959)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une oeuvre de qualité, dans la grisaille de la production allemande de l'époque noyée dans les pesants Heimatfilme, qui dénonce avec efficacité le dérisoire et l'absurdité de tous conflit armé, les dangers du fanatisme borné et de la révoltante intoxication psychologique d'une jeunesse à chaque fois trop facilement manipulée.
• STICK LE JUSTICIER DE MIAMI (1985)
  Critique CF

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  Quatrième realisation de Burt Reynolds qui est loin de l'efficacité de son compère Clint Eastwood.
• DONOVAN'S BRAIN (1953)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Oeuvre somme toute négligeable qui ne mérite pas une distribution hexagonale.
• UNE SAISON ITALIENNE (1984)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Une petite oeuvre aimable sur une période obscure de l'enfance d'"Amadeus".
• UNE FENETRE GRANDE OUVERTE (1991)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Bonne idée au départ, fort mal gérée dans le registre "fantastique".
• TIEMPO DE MORIR (1985)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Sanctifiée par le Premier prix au festival de Rio de Janeiro en 1985, une oeuvre lente, quelquefois pesante mais qui dénote un style et une ambition.
• L'ESPRIT DE CAÏN (1991)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Après l'échec flagrant du "Bûcher des vanités", Brian De Palma retrouve son genre de prédilection : le thriller. Mais que dire de cette histoire grotesque aux effets faciles ?
• PAPA EST EN VOYAGE D'AFFAIRES (1984)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une œuvre parfaitement représentative du nouveau cinéma yougoslave, une Palme d'Or au festival de Cannes qui peut rester discutable.
• PYGMALION (1938)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Une éblouissante Wendy Hiller, transfigurée par son splendide rôle évolutif de souillon braillarde métamorphosée en duchesse raffinée et courtisée, (personnage qu'elle avait déjà interprété auparavant sur scène) avec un Leslie Howard plus british que nature qui se laisse piéger dans les rets de l'amour, pour une oeuvre éblouissante qui rappelle par sa thématique une autre pièce maîtresse de la comédie (cette fois américaine) le succulent "Comment l'esprit vient aux femmes" de George Cukor.
• ULTRAVIXENS (1980)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Réjouissant et d'un ton souvent "hénaurme" quant au scénario et aux interprètes.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)