Le film prétend poser un regard cinglant sur la sexualité d'aujourd'hui mais sombre rapidement dans le ridicule le plus consternant. La réalisation est plate et même les comédiens nous laissent totalement indifférents.
Où il est surtout question d'un des plus mauvais film de l'année, stupide, prétentieux, insipide, mortel qu'affectionne de réaliser ce cinéaste britannique.
Mal filmé, réalisation bâclée, acteurs insipides et absence de crédibilité constante font de cette oeuvre une pénible déception. Du sexe, encore du sexe, hard pourquoi pas, mais sur une histoire tangible. Heureusement qu'il reste Catherine Breillat.
Une oeuvre fort bête qui n'en finit pas de tourner en rond, agaçante et brouillonne dans son saumâtre traitement d'une consternante et permanente médiocrité.
Un film courageux qui fut taxé, stupidement, de pornographique dans son pays d'origine. Une des évocations les plus intéressantes et les plus honnêtes du sadomasochisme, malgré certaines répétitions bien fastidieuses.
Sympathique petit film indépendant qui, après un début hésitant et sinueux, finit par trouver son parcours et ses marques. Plutôt plaisant dans l'ensemble.
Troisième collaboration fructueuse et bienvenue entre le réalisateur Amos Kollek et son actrice fétiche Anna Thomson : on ne change pas une équipe qui gagne.
Un film qui condense à lui tout seul tous les défauts inhérents au cinéma tchèque contemporain. Lourd et fort, mal mis en scène, qui rend profondément nostalgique du miraculeux printemps de Prague et ses œuvres de qualité !
Nouvel opus bienvenu des frères Coen qui se revitalisent, avec humour et décontraction, aux sources de la musique folk et auprès du texte mythique d'Homère.
Un slasher britannique plutôt sanglant qui ignore royalement le second degré, mais s'avère, au bout du compte, plutôt efficace dans sa démarche gore bien prononcé.
Un film destiné aux enfants, sans grand relief, mais qui devrait néanmoins convenir aux jeunes spectateurs qui ne sont pas souvent regardants à la véracité de l'intrigue.
Incursion inattendue d'Harmony Korine dans l'univers Dogme, "Julien donkey-boy" est un film étrange, plein de mystère et de poésie, qui confirme la singularité de son auteur.
Film "éducatif", de propagande aussi, pour donner à la jeunesse allemande, durant la guerre, plus de confiance, d'obéissance, de discipline et de camaraderie.
Un cinéma hautement novateur pour l'époque qui confirme Teinosuke Kinugasa comme un grand parmi les grands et dont la filmographie renferme quelques merveilleuses pépites dont l'un des plus beaux films de l'histoire du cinéma.
Premier film en costumes d'Olivier Assayas qui tente vainement d'inspirer un souffle romanesque à une saga languissante et terne située dans le milieu de la porcelaine et du cognac. Ennuyeux et quelconque.
John Woo s'est hélas américanisé pour notre plus grande déception, véhiculant les poncifs hollywoodiens du genre, ligoté par le suffocant vedettariat "tomcrusien".